L’EMV prétendrait-elle supplanter les textes canoniques ?

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"L’Ancien Testament, quant à lui, est évoqué en termes souvent négatifs, par « Jésus lui-même » :

« C’est toujours le Décalogue, ce sont toujours les prophètes. Mais l’homme les a dénaturés et, des sphères surnaturelles où ils se trouvaient, il les a amenés au niveau de la terre, dans le climat du monde ; son humanité a tout manipulé et tout altéré. » (VI, 129, 323)

S’il est difficile de comprendre la portée exacte de ce jugement, on retiendra que même avec l’interprétation la plus minimale, l’homme d’aujourd’hui n’a plus accès, sans autre moyen, à la limpidité du message. Cette posture n’est pas sans rappeler la manière dont le Coran évalue les tentatives de révélation qui l’ont précédé et la manière dont elles ont été dénaturées avant que ne vienne le Messager Mahomet."

 

---> Il est au contraire très facile dans ce passage - surtout lu intégralement, comme nous allons le faire maintenant - de comprendre la portée exacte de ce jugement, ne s’appliquant pas du tout à l’Ancien Testament ( « le Décalogue, les prophètes » ) qui échappe à toute critique négative de la part de Jésus : ce qui rend tout simplement grotesque la tentative de l'auteur de comparer cela avec la révélation coranique.

---> Bien au contraire, voici comment Il parle des prophètes bibliques, mais aussi de ses propres contemporains, dans un passage qui précède immédiatement :

(…) (…)

Une femme romaine : "Tu as raison. Tu es devin aussi bien que sage."

Jésus : "La sagesse, étant une forme de sainteté, donne toujours la lumière de jugement, que ce soit pour les événements passés ou présents, que ce soit pour l'annonce des événements futurs."

"C'est pour cela que vos prophètes..."

"C'étaient des saints. C'est pour cela que Dieu se communiquait à eux avec une grande plénitude."

"Étaient-ils saints parce qu'ils appartenaient à Israël ?"

"Ils étaient saints parce qu'ils appartenaient à Israël et parce que leurs actions étaient justes. Car ce n'est pas Israël tout entier qui est et a été saint, tout en étant Israël. Ce n'est pas l'appartenance fortuite à un peuple ou à une religion qui peut rendre saint. Ces deux choses peuvent aider beaucoup à l'être, mais elles ne sont pas le facteur absolu de la sainteté."

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---> Plus loin, dans le passage qui nous intéresse ici, Jésus se trouve seul avec sa Mère, et assis auprès d’elle sur un banc de pierre contre la maison, ils parlent intimement ensemble, au cour d’une soirée sereine d’été :

EMV 437.1 - Dialogue entre Jésus et Marie.

(…) (...)

ils parlent entre eux des parents... de Joseph d'Alphée toujours têtu, de Simon pas très courageux dans sa profession de foi, dominé comme il l'est par l'aîné des frères, qui est autoritaire et obstiné dans ses idées comme l'était le père. La grande douleur de Marie qui voudrait que tous ses neveux soient disciples de son Jésus...

Jésus la réconforte et pour excuser son cousin met en lumière sa forte foi israélite :

"Un obstacle, sais-tu ? Un véritable obstacle. En effet toutes les formules et les préceptes font obstacle à l'acceptation de l'idée messianique dans sa vérité. Il est plus facile de convertir un païen, pourvu que ce soit un esprit pas complètement corrompu. Le païen réfléchit et il voit la grande différence entre son Olympe et mon Royaume. Mais Israël... Israël, dans sa partie la plus cultivée... a du mal à suivre la pensée nouvelle !..."

"Et pourtant, c'est toujours la même pensée !"

"Oui. // C'est toujours le Décalogue, ce sont toujours les prophéties. Mais l'homme les a dénaturés, et des sphères surnaturelles où ils se trouvaient, il les a amenés au niveau de la Terre, dans le climat du monde ; son humanité a tout manipulé et tout altéré... // Le Messie, Roi spirituel du grand Royaume, qui s'appelle Royaume d'Israël parce que le Messie naît du trône d'Israël, mais qu'il est plus juste de nommer Royaume du Christ, parce que le Christ centralise ce qu'il y a et ce qu'il y a eu de meilleur en Israël, et l'élève à sa perfection de Dieu-Homme.

Le Messie, pour eux, ne peut être l'homme doux, pauvre, qui n'aspire pas au pouvoir et à la richesse, qui obéit à ceux qui nous dominent par suite d'un châtiment divin, parce que l'obéissance est sainteté quand elle n'infirme pas la grande Loi. À cause de cela, on peut dire que leur foi travaille contre la vraie Foi.

De ces gens entêtés et qui sont convaincus d'être justes, il y en a tant... dans toute classe... et même parmi les parents et les apôtres. Crois, ô Mère, que leur aveuglement pour croire à ma Passion vient de cela. C'est l'origine de leur erreur d'appréciation... Et aussi leur répugnance obstinée à apprécier les gentils, les idolâtres, en regardant non pas l'homme, mais l'esprit de l'homme, cet esprit qui a une seule Origine et auquel Dieu voudrait donner un seul Destin : le Ciel.

Tu vois Barthélemy... C'est un exemple. Il est très bon, sage, prêt à tout pour me donner honneur et réconfort... Mais devant, je ne dis pas une Aglaé ni une Syntica, qui est déjà une fleur en comparaison de la pauvre Aglaé que seule la pénitence fait fleurir hors de la boue, mais pas même devant une fillette, une pauvre fillette dont le sort provoque la pitié et dont la pudeur instinctive attire l'admiration, même devant cela son dégoût pour les gentils ne tombe pas, et même mon exemple ne le convainc pas, ni mon affirmation que c'est pour tous que je suis venu."

"Tu as raison. Et même justement Barthélemy et Judas de Kérioth, les plus instruits ou au moins : le docte Barthélemy et Judas de Kérioth dont je ne sais pas au juste à quelle classe il peut se rattacher, mais dont on peut dire qu'il est imbu, saturé de l'air du Temple, ce sont ceux qui résistent le plus. Pourtant... Barthélemy est bon et sa résistance est encore excusable. Judas... non. Tu as entendu ce qu'a dit Matthieu, allé exprès à Tibériade... Et Matthieu connaît la vie, cette vie-là surtout... Et Jacques de Zébédée a observé justement : "Mais qui donne tant d'argent à Judas ?" Car cette vie coûte... Pauvre Marie de Simon !"

Jésus fait avec les mains son geste, pour dire : "C'est ainsi..." et il soupire.

(...)
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---> Qu’est-ce qui pour Jésus est « toujours le Décalogue, toujours les prophéties », mais a « tout dénaturé et, des sphères surnaturelles où elle se trouvaient, a amené la Loi de l’Ancien Testament au niveau de la terre, dans le climat du monde » ? ; qu’est-ce qui a permis selon Lui de « tout manipuler et tout altérer » ? Quoi, sinon la mentalité hébraïque terriblement orgueilleuse, se nourrissant des innombrables rajouts talmudiques, ayant réussi à ensevelir la Loi Divine du Décalogue sous une avalanche de préceptes sans raison d’être, et à créer un sentiment d’appartenance à la seule race humaine, aimée par Dieu – la race hébraïque - ?

---> Les partisans du Temple connaissaient donc toujours l’Ancien Testament, mais d’une façon purement formelle, et qui ne les empêchait pas - comme Barthélémy - de concevoir du dégoût pour une fillette païenne, du moment qu’elle faisait partie de la race des « gentils », et d’être incapable de croire que le Messie puisse vouloir la sauver elle-aussi.

---> Cette remarque de Jésus fait référence à l’épisode qui précède immédiatement dans l’œuvre, racontant le sauvetage d’une jeune fillette païenne du nom de Aurea Galla (baptisée Christiane), la jeune esclave gauloise affranchie à la prière de Jésus.
Aurea Galla (Christiane)

---> Fille d’esclaves de la guerre des Gaules, elle est élevée dans une île, avec d‘autres, dans un véritable "haras" pour être destinées aux plaisirs de leurs maîtres. À peine pubère, elle est acquise, pour une forte somme, par Ennius, un romain oisif et débauché qui veut en faire un événement lors d’une orgie. Jésus obtiendra sa libération par l’entremise de Claudia et de Valeria. Aurea, traumatisée par la perspective qui l’attendait, en tombe gravement malade et frôle la mort. Elle est emmenée à Nazareth auprès de Marie qui négociera auprès de Valeria qu’elle soit confiée à Myrta et à Noémi (6.131). Jésus qui l’a guérie de sa terreur mortelle, lui donne un nouveau nom, celui de disciple du Christ : Christiane. C'est avec elle que Barthélemy fait ses premiers pas de catéchiste (6.118).
Jésus lui épargnera le spectacle de sa Passion en la tenant loin de Jérusalem (8.38)

---> 13 ans environ. Chevelure touffue couleur de miel blond. Une fillette qui arrive à peine au seuil de la puberté, presque encore enfant, avec la beauté un peu immature de l'adolescence, l'air innocent.

---> Témoin de la Résurrection.

---> Parfaitement inculte et apeurée quand elle est recueillie par Jésus : Elle est tout à fait païenne, et même plus que païenne. Le maître qui l'a élevée a mis en elle le néant absolu. Une petite bête sauvage... Uniquement objet de plaisir.

---> Elle évolue au contact de Marie à Nazareth jusqu’à vouloir devenir disciple : Je sens que je resterai en Israël... pour connaître de plus en plus ce Père qui est mien... Et... à être la première disciple de Gaule. A l’évocation de la Rédemption, elle s’enflamme : Pour moi aussi tout cela !… Combien je coûte et combien je vous aime pour ce que je vous coûte ! Oh ! Mère de mon Dieu, bénis-moi pour que le prix que je vous coûte ne reste pas sans fruit...

Voici la succession des chapitres où l’on peut lire toute cette histoire :
1 ) EMV 426 - Avec les Romaines à Césarée Maritime. Prophétie en Virgile. La jeune esclave sauvée.

2 ) EMV 427 - Aurea Galla instruite par Barthélemy puis envoyée à Nazareth :

---> C’est au cours de ce chapitre que l’on se rend compte d’une certaine réticence de Barthélémy, vis-à-vis de cette jeune païenne qu’il commence à instruire, encouragé en cela par Jésus :
(...) (...)
Barthélémy : "À Toi d'y penser... Moi je vais retrouver la fillette qui ne cesse de se retourner. Elle se fie à moi, parce que je suis âgé... Je pourrais la garder... une fille de plus... Mais elle n'est pas d'Israël..."
Et il s'en va, le bon mais trop israélite Nathanaël.
Jésus le regarde partir et il hoche la tête.
"Pourquoi ce geste, Maître ?" Lui demande le Zélote.
"Parce que... cela me fait de la peine de voir que même les sages sont esclaves des préventions..."
(…)

3 ) Puis jusqu'en EMV 436 : l’épisode de la prise en charge d’Auréa ( baptisée Christiane ) se poursuit

---> La critique négative de l’Ancien Testament en est totalement absente.

---> C’est un nouveau flop dégécien.

 

" Plus explicitement, « Jésus » affirme ailleurs :
« Me prendre, c’est prendre ma doctrine, qui est pareille à l’ancienne pour la Loi divine, mais qui est complètement différente de cette loi, de cet amas de lois humaines qui se sont accumulées au cours des siècles pour former tout un code et un formulaire qui n’a rien de divin. (…) Vous, les Hébreux, avez assimilé lentement les exhalaisons humaines de ceux qui ont manipulé la Loi de Dieu, pure et surhumaine. » (VII, 166, 75)
Impossible de discerner dans ce texte si l’on parle de la Loi ou de ses interprétations surajoutées. "

 

---> Comme d'habitude, la citation que fait ici DGC est truquée.

---> Ici en effet, Jésus évoque ainsi, en compagnie de Pierre, la « substance de la science rabbinique », présente en Gamaliel :

472.1 – La nouvelle Loi est la question insidieuse d’un jugement sur un évènement survenu à Giscala.

( En rouge entre les //, la citation de DGC )

(…) (…)

"Elle ne me plaît pas du tout cette halte avec cet homme qui s'est uni à nous..." bougonne Pierre qui est avec Jésus dans un verger touffu.

Ce doit être déjà l'après-midi du sabbat car le soleil est encore haut sur l'horizon alors que c'était déjà le crépuscule quand ils sont arrivés au village.

"Après les prières, nous partirons. C'est le sabbat. Nous ne pouvions pas voyager, et le repos ici nous a fait du bien. Nous ne nous arrêterons plus jusqu'au prochain sabbat."

"Mais tu t'es si peu reposé. Tous ces malades !..."

"Autant qui maintenant louent le Seigneur. Pour vous épargner tant de route, je serais resté ici deux jours, pour donner à ceux qui ont été guéris le temps d'apporter la nouvelle au-delà des frontières. Mais vous n'avez pas voulu."

"Non ! Non ! Je voudrais être déjà loin. Et... n'aie pas trop confiance, Maître. Tu parles ! Tu parles ! Mais sais-tu que chacune de tes paroles en certaines bouches se change en poison pour Toi ? Pourquoi nous l'ont-ils envoyé ?"

"Tu le sais."

"Oui. Mais pourquoi est-il resté ?"

"Ce n'est pas le premier qui reste après m'avoir approché."

Pierre secoue la tête. Il n'est pas convaincu. Il mâchonne:

"Un espion ! Un espion !..."

"Ne juge pas, Simon. Tu pourrais te repentir un jour de ton jugement actuel..."

"Je ne juge pas. J'ai peur, pour Toi. Et cela c'est de l'amour. Et le Très-Haut ne peut me punir de t'aimer."

"Je ne dis pas que tu te repentirais de cela, mais d'avoir pensé du mal de ton frère."

"Lui est frère de ceux qui te haïssent. Il n'est donc pas mon frère."

Le raisonnement, humainement, est juste, mais Jésus observe :

"Il est disciple de Gamaliel. Gamaliel n'est pas contre Moi."

"Mais il n'est pas non plus avec Toi."

"Qui n'est pas contre Moi, est avec Moi, même s'il ne semble pas. On ne peut pas demander qu'un Gamaliel, le plus grand docteur que possède Israël, aujourd'hui, un puits de savoir rabbinique, une vraie mine dans laquelle se trouve toute la... substance de la science rabbinique, puisse rapidement tout répudier pour me prendre... Moi. Simon, il est difficile même à vous de me prendre en laissant de côté tout le passé..."

"Mais nous, nous t'avons pris !"

"Non. Sais-tu ce que c'est que de me prendre, Moi ? Ce n'est pas seulement m'aimer et me suivre. Cela est plutôt le mérite de l'Homme que je suis et qui attire vos sympathies.

// Me prendre, c'est prendre ma doctrine, qui est pareille à l'ancienne pour la Loi divine, mais qui est complètement différente de cette loi, de cet amas de lois humaines qui se sont accumulées au cours des siècles pour former tout un code et un formulaire qui n'a rien de divin. //

Vous, tous les humbles d'Israël, et aussi quelque grand très juste, vous vous lamentez et vous critiquez les subtilités formalistes des scribes et des pharisiens, leurs intransigeances et leurs duretés... mais vous aussi vous n'en êtes pas exempts. Ce n'est pas votre faute. Pendant des siècles et des siècles, // vous, les hébreux, avez assimilé lentement les... exhalaisons humaines de ceux qui ont manipulé la Loi de Dieu, pure et surhumaine. // Tu le sais.

Quand quelqu'un continue pendant des années et des années à vivre d'une certaine manière différente de celle de son pays natal, parce qu'il est dans un pays qui n'est pas le sien, et qu'y vivent ses enfants et ses petits-enfants, il arrive que sa descendance finisse par devenir comme celle de l'endroit où elle se trouve. Elle s'acclimate au point de perdre jusqu'à l'aspect physique de sa nation en plus des habitudes morales et, malheureusement, au point de perdre la religion de ses pères...
- Mais voici les autres. Allons à la synagogue."

(...)

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---> Il s’agit bien évidemment ici de la tradition talmudique, et non de l’Ancien Testament qui a reçu de si belles louanges de la part de Jésus, comme nous l’avons vu précédemment.

---> Nous en avons la trace en Marc 7, 3-4 : « Les pharisiens en effet, comme tous les Juifs, se lavent toujours soigneusement les mains avant de manger, par attachement à la tradition des anciens ; et au retour du marché, ils ne mangent pas avant de s’être aspergés d’eau, et ils sont attachés encore par tradition à beaucoup d’autres pratiques : lavage de coupes, de carafes et de plats. »

---> Mais plus encore dans ce passage de Matthieu 15, 3-6 : « Et vous, pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu au profit de votre tradition ? Car Dieu a dit : “Honore ton père et ta mère” et encore : “Celui qui maudira son père ou sa mère sera puni de mort.” Mais vous, vous dites : “Si quelqu’un dit à son père ou à sa mère : Ce dont j’aurais pu t’assister est une offrande à Dieu, il n’a plus à honorer son père ou sa mère.” Vous annulez ainsi la parole de Dieu au profit de votre tradition. »

---> Il est d’autant plus impossible que la fameuse « substance de la science rabbinique », devant encore être répudiée par Gamaliel avant de prendre le Christ pour Lumière, soit en réalité l’Ancien Testament, que c’est précisément de ce Dernier - comme en particulier la prophétie de Daniel - dont l’Enfant Jésus s’entretient avec Gamaliel, lors du recouvrement au Temple ( EMV 41 ).

---> Ce que Gamaliel doit répudier, ce n’est certainement pas l’Écriture qui annonce le Christ et qui contient déjà sa Loi, mais tout le fatras rabbinique du talmud, comme c’est très clairement expliqué dans ce passage.

---> Qu’est-ce donc pour DGC ? Un flop ( un de plus ).

 

 

" Le discours les présente comme formant bloc. On comprend difficilement comment, par conséquent, « Jésus » peut tout de même recommander la fidélité « à la Loi du Sinaï » en même temps qu’à son commandement nouveau. Il est clair en tous cas que « Jésus » manipule les Ecritures de manière ambigüe et qu’il ne cherche pas à expliciter mais à parfaire la Révélation. "

 

---> Ici, DGC manipule complètement le sens de l’EMV pour lui faire dire ce qu'il veut, afin de parvenir à l’accuser. Jésus pourtant y recommande sans l’ombre d’une ambiguïté l’observance de la Loi du Sinaï, qu’Il n’est pas venu abolir, mais accomplir ( Matt 5,17 ). Mais pour le comprendre, il aurait fallu lire l'oeuvre avec simplicité et intelligence.

---> Les flops retentissants de DGC, qui en appellent toujours de nouveaux de sa part, ne peuvent que laisser totalement indifférents, et éveiller par contre un intérêt croissant à lire l’œuvre révélée à Maria Valtorta, si conforme en tout point au Jésus que nous connaissons par les quatre Évangiles.

 

 

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