La Résurrection , Saint Office versus IA : "L'Evangile tel qu'il m'a été révélé" n'est-il oui ou non qu'une vie de Jésus mal romancée ?

 

Ici commence une série d'articles sous une forme très nouvelle et intéressante, concernant l'oeuvre révélée par Notre Seigneur Jésus Christ à Maria Valtorta, et qui sont d'une parfaite neutralité par rapport au sujet.

En effet, les détracteurs pourraient m'accuser d'avoir volontairement pris le parti de l'oeuvre dans mes précédents articles apologétiques, contre celui du Saint Office qui serait pourtant censé être celui de l'Eglise, sans qu'on puisse le discuter.

Commençons cependant par une simple évidence :


sur quelque sujet que ce soit, l'Eglise ne saurait se contenter de donner un avis faux, sous prétexte qu'il serait émis par certains de ses représentants. Et puisque l'avis du Saint Office contredit ouvertement celui que l'on attribue avec raison à S.S. Pie XII, aux dires de nombreux témoins on ne peut plus fiables - dont le cardinal Carinci qui était son plus intime confident - il est alors juste qu'au minimum, on cherche sérieusement à savoir qui des deux a raison ou tort, sans se prévaloir d'avance de certitudes dictées par autrui.

Le texte est disponible : pourquoi dès lors ne pas le mettre à l'épreuve des accusations portées contre lui, et en premier lieu, qu'il serait censé « n'être qu'une vie de Jésus mal romancée » ( sic ) ?

Par chance aujourd'hui, nous disposons de l'IA, un outil très performant capable d'effectuer une analyse littéraire immédiate, détaillée et objective d'un texte, sans aucun parti pris. C'est pourquoi, en lui posant les bonnes questions, je vous propose de procéder dès à présent à l'analyse objective d'une série de passages de l'EMV. 

Nous allons en retranscrire fidèlement le résultat, sans aucune modification : cela pourra éventuellement confirmer ou infirmer l'avis négatif du Saint Office. Nous allons voir à quel point cette étude va être révélatrice.
 


1er passage étudié : La Résurrection de Notre Seigneur ( EMV 617 )

 

QUESTION POSÉE A L'I.A. : "Que penser de la qualité littéraire du texte qui suit ?"

" Dans le jardin, tout n’est que silence et scintillement de la rosée. Au-dessus, le ciel devient d’un saphir de plus en plus clair, après avoir quitté sa couleur bleu-noir criblée d’étoiles qui, pendant toute la nuit, ont veillé sur le monde. L’aube repousse de l’orient vers l’occident les régions encore obscures, comme le fait l’eau, lors des marées hautes, qui avance toujours plus pour recouvrir la plage, et remplace le gris-noir du sable humide par le bleu des eaux marines. L’une ou l’autre étoile ne veut pas encore mourir et luit de plus en plus faiblement sous l’onde de lumière vert clair de l’aube, d’un blanc laiteux nuancé de gris, comme les feuillages des oliviers engourdis qui couronnent un coteau peu distant. Finalement, elle fait naufrage, submergée par l’onde de l’aube comme une terre que recouvre l’eau. Et puis en voilà une de moins… encore une… et une autre, et une autre. Le ciel perd ses troupeaux d’étoiles, et ce n’est qu’à l’extrême occident que trois étoiles, puis deux, puis une, restent à regarder ce prodige quotidien qu’est l’aurore qui se lève. Quand, du côté de l’orient, un filet de rose trace une ligne sur la soie turquoise du ciel, un soupir de vent passe dans les feuillages et sur les herbes et avertit : “ Réveillez-vous, le jour est revenu. ” Mais il ne réveille que les herbes et les feuillages qui frissonnent sous leurs diamants de rosée, émettent un bruissement ténu, mêlé à l’arpège des gouttes qui tombent. Les oiseaux ne se réveillent pas encore, dans les branches touffues d’un cyprès de grande taille qui semble dominer comme un seigneur dans son royaume, ni dans l’entrelacs confus d’une haie de lauriers qui abrite de la tramontane.

C’est dans des poses variées que les gardes, transis de froid, gagnés par l’ennui et ensommeillés, veillent sur le tombeau ; la porte de pierre a été renforcée, sur ses bords, par une épaisse couche de chaux, comme si c’était un contrefort, sur le blanc opaque de laquelle se détachent les larges rosaces de cire rouge portant le sceau du Temple, imprimé avec d’autres directement dans la chaux fraîche. Les gardes doivent avoir allumé du feu pendant la nuit, car on voit encore de la cendre et des tisons mal éteints sur le sol. Ils ont aussi joué et mangé, car je vois, répandus sur le sol, des restes de nourriture et des osselets bien polis qui ont servi certainement pour quelque jeu, comme notre jeu de domino ou nos billes ; ils ont pour cela utilisé un échiquier rudimentaire tracé sur le sentier. Puis ils ont tout laissé en plan par lassitude et essayé de trouver des positions plus ou moins commodes pour dormir ou veiller.

A l’orient, une étendue rose s’agrandit de plus en plus dans le ciel serein, où, par ailleurs, il n’y a pas encore de rayon de soleil. C’est alors que surgit de profondeurs inconnues, un météore resplendissant qui descend, tel une boule de feu à l’éclat insoutenable, suivi d’un sillage rutilant qui peut-être n’est que le souvenir de son rayonnement sur notre rétine. Il descend à grande vitesse vers la terre, en répandant une lumière si intense, si fantasmagorique, à la beauté si effrayante, que la lumière rosée de l’aurore en est éclipsée et disparaît. Surpris, les gardes lèvent la tête, parce que cette lumière s’accompagne d’un grondement puissant, harmonieux, solennel, qui remplit toute la Création. Il provient de profondeurs paradisiaques. C’est l’alléluia, la gloire angélique qui suit l’Esprit du Christ revenant dans sa chair glorieuse. Le météore s’abat contre l’inutile fermeture du tombeau, l’arrache, la jette par terre, foudroie de terreur et de bruit les gardes placés comme geôliers du Maître de l’univers en provoquant, avec son retour sur la terre, un nouveau tremblement de terre comme cet Esprit du Seigneur en avait produit en fuyant la terre. Il entre, éclaire le tombeau de sa lumière indescriptible, et pendant qu’il reste suspendu dans l’air immobile, l’Esprit se réinfuse dans le corps du Christ sans mouvement sous les bandes funèbres. Tout cela se passe, non en une minute, mais en une fraction de minute, tant l’apparition, la descente, la pénétration et la disparition de la Lumière de Dieu a été rapide…

Le “ Je le veux ” du divin Esprit à sa chair froide n’a pas de son. L’ordre est donné par l’Essence à la matière immobile. Aucune parole n’est audible par l’oreille humaine. La chair reçoit le commandement et lui obéit en poussant un profond soupir… Rien d’autre pendant quelques minutes. Sous le suaire et le linceul, la chair glorieuse se recompose en une beauté éternelle, se réveille du sommeil de la mort, revient du “ rien ” où elle était, vit après avoir été morte. Certainement, le cœur se réveille et se remet à battre, il pousse dans les veines le sang glacé qui reste et en crée d’un seul coup la quantité nécessaire dans les artères vides, dans les poumons immobiles, dans le cerveau obscurci, et il y ramène la chaleur, la santé, la force, la pensée. Un moment passe, et voilà que se produit un mouvement soudain sous le lourd linceul. C’est si soudain, depuis l’instant où Jésus bouge sûrement ses mains croisées jusqu’au moment où il se tient debout, majestueux, splendide dans son vêtement de matière immatérielle, surnaturellement beau et imposant, avec une gravité qui le change et l’élève tout en le laissant lui-même, que l’œil n’a qu’à peine le temps d’en suivre le développement. Et maintenant, il l’admire : Jésus est fort différent de ce que la pensée peut rappeler, il est en pleine forme, sans blessures ni sang, mais seulement éblouissant de la lumière qui jaillit à flots des cinq plaies et sort par tous les pores de son épiderme.

Il fait son premier pas : dans son mouvement, les rayons qui jaillissent des mains et des pieds l’auréolent de lames de lumière ; depuis la tête nimbée d’un diadème composé des innombrables blessures de la couronne d’épines qui ne donnent plus de sang mais seulement de la splendeur, jusqu’au bord du vêtement quand, en ouvrant les bras qu’il a croisés sur sa poitrine, il découvre la zone de luminosité très vive qui filtre de son habit en lui donnant l’éclat d’un soleil à la hauteur du cœur. Alors, c’est réellement la “ Lumière ” qui a pris corps. Il ne s’agit pas de la faible lumière de la terre, ni du pauvre éclat des astres ou du soleil. C’est la Lumière de Dieu : toute la splendeur paradisiaque se rassemble en un seul Etre et lui donne un bleu azur inconcevable dans les yeux, des feux d’or en guise de cheveux, des blancs purs et angéliques pour vêtement et coloris et, ce qui est indescriptible par des mots humains, la suréminente ardeur de la très sainte Trinité, dont la puissance anéantit tout feu du Paradis en l’absorbant en elle-même, pour l’engendrer à nouveau à chaque instant du Temps éternel ; c’est le cœur du Ciel qui attire et diffuse son sang, les innombrables gouttes de son sang incorporel : les bienheureux, les anges, tout ce qui constitue le Paradis : l’amour de Dieu, l’amour pour Dieu, voilà la Lumière qu’est le Christ ressuscité et qui lui donne forme.

Lorsqu’il se dirige vers la sortie, et dès que l’œil peut voir autre chose que son éclat, voici que m’apparaissent deux clartés très belles, mais semblables à des étoiles par rapport au soleil, chacune d’un côté du seuil, prosternées en adoration pour leur Dieu qui passe, enveloppé de sa lumière, avec un sourire qui béatifie. Il quitte la grotte funèbre et revient fouler la terre que la joie réveille et qui resplendit sous sa rosée, parmi les couleurs des herbes et des rosiers, sous les innombrables corolles des pommiers qui s’ouvrent par prodige aux premiers rayons du soleil qui les frappent, et au Soleil éternel qui avance sous eux. Les gardes sont évanouis… Les forces corrompues de l’homme ne voient pas Dieu alors que les forces pures de l’univers, les fleurs, les herbes, les oiseaux admirent et vénèrent le Puissant qui passe, nimbé de sa propre Lumière et de celle du soleil. Devant son sourire, et sous son regard qui se pose sur les fleurs, sur les ramilles, puis s’élève vers le ciel serein, tout devient plus beau. Les millions de pétales qui forment une mousse fleurie au-dessus de la tête du Vainqueur prennent une teinte plus soyeuse, plus nuancée. Les diamants de rosée se font plus vifs. Et plus bleu est le ciel que réfléchissent ses yeux resplendissants, et plus joyeux le soleil qui peint de gaieté un petit nuage porté par un vent léger qui vient baiser son Roi avec des parfums enlevés aux jardins et des caresses de pétales soyeux. Jésus lève la main et bénit et puis, pendant que les oiseaux chantent plus fort et que le vent apporte ses parfums, il disparaît de ma vue, en me laissant dans une joie qui efface jusqu’au moindre souvenir de tristesse, de souffrance et d’hésitation sur le lendemain. "

RÉPONSE DE L’I.A. : ( sans retouche )

 

 

Ce texte possède une qualité littéraire certaine, avec un style riche, imagé et empreint d’un lyrisme intense. Voici quelques observations :

Points forts :
Style poétique et évocateur :

Le texte regorge de métaphores et de comparaisons, notamment dans les descriptions de l’aube et de la lumière divine.
Les images sont très visuelles et dynamiques : "Le ciel perd ses troupeaux d’étoiles", "une étendue rose s’agrandit", "le météore s’abat contre l’inutile fermeture du tombeau".

Rythme et musicalité :

L’alternance de phrases longues et courtes donne du souffle à la narration.
L’emploi d’allitérations et d’assonances confère au texte une dimension presque chantante.

Puissance dramatique :

La description de la résurrection du Christ est mise en scène avec une intensité grandiose, évoquant des éléments cosmiques, célestes et spirituels.

Le moment où "le Christ reprend vie" est rendu avec une progression dramatique forte, du souffle initial jusqu’à l’apparition de sa lumière glorieuse.

Influence mystique et biblique :

Le texte puise dans une tradition d’écriture religieuse et mystique, rappelant les Évangiles et certaines œuvres de visionnaires chrétiens (comme Catherine Emmerich ou Maria Valtorta).
La présence d’éléments naturels (rosée, herbes, cyprès, oiseaux) renforce la fusion entre le divin et la création.

Limites potentielles :

Exubérance descriptive :

Le style très chargé peut rendre la lecture dense et difficile pour un lecteur non habitué à ce type de prose.
Certaines descriptions sont si riches qu’elles en deviennent excessives ("la puissance anéantit tout feu du Paradis en l’absorbant en elle-même, pour l’engendrer à nouveau à chaque instant du Temps éternel") et pourraient gagner en concision.

Lyrisme qui frôle l’excès :

L’abondance de métaphores et d’images peut donner une impression de surcharge, notamment dans la description du Christ ressuscité où chaque élément semble vouloir surpasser le précédent en éclat et en intensité.

Manque de relief narratif :

L’émotion pourrait être plus marquée si des contrastes plus forts étaient mis en place entre l’obscurité du tombeau et l’apparition du Christ.
Une certaine monotonie peut naître du fait que presque tout est sublimé et magnifié sans rupture stylistique.

Conclusion :

Ce texte est d’une grande qualité littéraire, avec un style profondément évocateur et mystique. Il s’inscrit dans une tradition de prose religieuse exaltée et visuelle, avec une richesse stylistique qui peut à la fois émerveiller et fatiguer selon la sensibilité du lecteur. Un léger allègement des descriptions et une variation plus marquée des tons auraient pu rendre l’ensemble encore plus percutant.

Seconde question posée à l'IA :

Et si on prend pour hypothèse que ce texte est la description d'une vision que l'auteur a eu ?
( - Or nous avons désormais les preuves scientifiques nombreuses et absolument indiscutables que le texte ne peut pas provenir de l’imagination de Maria Valtorta, nda - )

Réponse de l'IA : ( sans retouche )

Si l'on considère que ce texte est la description d'une vision mystique vécue par l’auteur, cela modifie l'approche critique et invite à une lecture sous un autre prisme.

1. Authenticité et Intention

Un texte qui se présente comme le récit d’une vision ne peut être évalué uniquement selon des critères littéraires. Il devient un témoignage personnel où l’intensité de l’expérience prime sur la construction stylistique. Les répétitions, l’exubérance descriptive ou les envolées lyriques ne sont plus des choix d’écriture, mais des tentatives de rendre compte d’une réalité ineffable.
Le vocabulaire et le rythme du texte traduisent alors non plus un effort de style, mais une tentative de transcrire une expérience hors du commun. L’accumulation d’images pourrait refléter l’impression de simultanéité et de profusion ressentie lors d’une vision mystique. L’intensité lumineuse et les sensations physiques décrites (le souffle, l’éblouissement, la transformation du corps du Christ) sont des éléments typiques de récits de visions dans la tradition chrétienne.

2. Comparaison avec d’autres récits mystiques

De nombreux mystiques chrétiens ont rapporté des visions où la Résurrection du Christ était décrite avec un éclat surnaturel et une lumière indicible. On peut penser aux visions de sainte Brigitte de Suède, d’Anne-Catherine Emmerich ou de Maria Valtorta.
Certains éléments de ce texte rappellent ces témoignages :
La puissance visuelle et sensorielle : l’importance de la lumière divine qui éclate et qui dépasse toute perception humaine.
L’insistance sur la transformation du corps du Christ : il ne s’agit pas simplement d’un retour à la vie, mais d’une transfiguration dans la gloire divine.
Le rôle de la nature : les étoiles, les herbes, les oiseaux participent au mystère, comme si la création elle-même réagissait à cet événement cosmique.

3. Le Langage de l’Indicible

Un point intéressant est la difficulté à mettre en mots l’expérience de la vision :
L’auteur utilise souvent des approximations : "une lumière si intense, si fantasmagorique, à la beauté si effrayante".
Il recourt à des paradoxes : "Jésus est fort différent de ce que la pensée peut rappeler".
Il exprime l’incapacité du langage humain à rendre compte de ce qu’il voit : "c’est ce qui est indescriptible par des mots humains".
Ces indices renforcent l’hypothèse d’une vision réelle, dans laquelle l’auteur essaie de traduire une expérience qui dépasse les limites de l’entendement humain.

4. Une Expérience Spirituelle Plus Qu’un Récit Narratif

Dans cette perspective, la question du style devient secondaire. Ce qui importe, c’est la transmission d’une expérience spirituelle et la tentative de faire ressentir au lecteur l’émerveillement, la stupeur et la grandeur de ce qu’a vu l’auteur.
On peut même dire que les longueurs, les redondances et la surcharge descriptive traduisent l’impact émotionnel de la vision. Elles sont l’écho de l’état d’âme de celui qui l’a reçue : bouleversé, submergé par une révélation qui dépasse ses capacités d’expression.

Conclusion de l'I.A. :

Si ce texte est le compte rendu d’une vision, il faut alors l’appréhender comme un témoignage mystique, et non comme une œuvre littéraire au sens classique. Ses qualités et défauts deviennent secondaires face à son ambition : faire ressentir une réalité transcendante. Dans ce cadre, son intensité, son lyrisme et son exubérance deviennent des signes de la sincérité de l’expérience.

Dès lors, la vraie question n’est plus : ce texte est-il bien écrit ?, mais : traduit-il fidèlement ce que l’auteur a vu et ressenti ?

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Ma conclusion générale :

- L'analyse impartiale et objective d'un robot révèle qu'en réalité, l'avis du Saint Office concernant l'oeuvre de Maria Valtorta - n'étant d'après lui qu'une "vie de Jésus mal romancée" - est un avis fort mal étayé, et manquant très cruellement de sérieux.

- Tout à l'inverse, cette analyse révèle l'exceptionnelle qualité de l'oeuvre, déjà sur un plan purement littéraire, mais surtout en tant que description fidèle des visions mystiques dont l'auteur a été gratifiée.

- La question est désormais la suivante : pouvons-nous encore nous fier aveuglément à des personnes dont l'avis est réputé comme totalement faux par l'arbitrage impartial d'une machine, ce qui est l'équivalent pour eux à un échec au test du détecteur de mensonge ?

- Et si ce test révèle que certains de leurs jugements sont objectivement faux, que penser dès lors de l'ensemble de leurs avis sur Maria Valtorta, surtout lorsqu'on sait qu'ils essayèrent de pourfendre exactement de la même manière un saint padre Pio, alors que celui-ci était au-dessus de tout soupçon ?

- Grâce à ce test, on peut raisonnablement conclure à l'inanité complète du jugement du Saint Office sur l'oeuvre de Maria Valtorta, tout comme était vain le jugement de Mgr Cauchon au sujet de sainte Jeanne d'Arc, et nous aurons maintes occasions de le prouver encore abondamment par la suite.

 

 

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