Celui qui fait la vérité vient à la lumière
"Il y aurait des propos antisémites dans l'EMV" !
"Méfiez-vous des faux prophètes qui viennent à vous déguisés en brebis, alors qu’au-dedans ce sont des loups voraces. C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez." ( Matthieu 7,15 )

( en cours de rédaction )
Voilà sans aucun doute la plus grosse pantalonnade que Miesel et Maillard aient pu faire à propos de l'EMV.
Sur quoi repose cette accusation ?
Si l'on en croit sosdiscernement.com - l'un des pires sites de désinformation jamais réalisé depuis les dernière décennies - ce serait d'abord :
1 ) à cause des propos des romains sur les juifs, tels que Maria Valtorta les a rapportés dans ses visions.
Il est certain que leurs mots n'ont souvent rien de tendre, mais à y bien penser ne serait-ce pas profondément normal ? Quelle tendresse pouvait-on attendre de la part de guerriers conquérants envers les juifs qu'ils avaient vaincus, et qui les haïssaient - notamment ceux que l'ont appelaient les zélotes, mais aussi tous les autres, d'une manière plus générale - ?
Par comparaison, on ne peut pas dire que les allemands aient eu beaucoup de tendresse pour les français ni durant la première, ni durant la seconde guerre mondiale ! La réciproque est tout aussi vraie.
N'est-ce pas compréhensible ?
De même, on comprend le sentiment de rejet qu'expriment sainte Marie Magdeleine et d'autres saintes femmes vis-à-vis de leurs frères de race, qui en sont venus à vouloir la mort de leur Maître et Seigneur, la réclamant à hauts cris auprès de Pilate !
Si l'on coupe ces expressions de leur contexte, et qu'on les prend arbitrairement non pas comme la transmission fidèle d'une vision venue du Ciel, mais comme l'expression de la pensée de l'autrice elle-même - alors que celle-ci n'y est strictement pour rien - le résultat est effroyable : et c'est précisément l'effet honteusement recherché sur sosdiscernement.org.
Commençons donc dans un premier temps par remettre ces phrases de l'EMV dans leur contexte :
1 ) Les soldats romains parlent des cadavres juifs comme « autant de serpents en moins ».
609.25- La mort de Jésus, suivie du tremblement de terre :
(...) Les soldats discutent ( et on constate qu'ils ne sont pas disciples du Christ, mais remplis d'animosité envers les juifs, ndt ) :
« Tu as vu les juifs ? Cette fois, ils avaient peur.
– Et ils se frappaient la poitrine.
– Les plus terrifiés, c’étaient les prêtres !
– Quelle peur ! J’ai senti d’autres tremblements de terre. Mais jamais comme celui-là. Regarde : la terre est pleine de crevasses.
– Et tout un passage de la longue route s’est effondré.
– Et dessous, il y a des corps.
– Laisse-les ! Cela fera autant de serpents de moins.
– Oh ! Un autre incendie ! Dans la campagne… (...)
---> Il s'agit donc ici d'un mélange de constatation effrayée et de rancoeur à l'égard des victimes, d'un sentiment de vengeance qui n'a rien de chrétien, mais venant de personnes païennes.
VERSUS :
EMV 161.3 - Guérison du petit fils du pharisien Eli
(...) « Seigneur, crois-tu que cela puisse le faire changer ? Ah ! Quel miracle inutile ! Laisse donc mourir ce petit serpent ! Le vieux mourra aussi de chagrin et… ça en fera un de moins sur ta route. C’est Dieu qui a pensé à…–
– Simon ! En vérité, en ce moment c’est toi le serpent. »
Repoussant sévèrement Pierre, qui reste tête basse, Jésus va de l’avant. (...)
---> Conclusion : tout comme Il avait sévèrement corrigé son apôtre Pierre pour ses propos insultants, Jésus aurait certainement fait de même avec les romains, après le tremblement de terre. Mais un petit détail ne peut pas nous avoir échappé.... c'est que Jésus était mort, à ce moment là !
N'est-ce pas, madame Miesel ?
2 ) Ils insultent la foule juive au point de la disperser « à coups de poing ».
---> Je ne retrouve pas le passage dans l'EMV, dont cependant je me souviens.
---> Aux informations, qui n'a jamais été témoin de débordements de violence lors d'une confrontation, tant du côté des CRS que de celui des manifestants ? C'est malheureusement assez banal, et depuis 2000 ans, il n'y a rien de nouveau sous le soleil, comme dit l'Ecclesiaste :
« Ce qui a été, c’est ce qui sera,
ce qui s’est fait, c’est ce qui se fera,
il n’y a rien de nouveau sous le soleil. »
— Ecclésiaste 1 :9
La stupéfiante objection de Miesel reprise par Maillard sous-entend donc ceci :
"Si par malheur, sale type, vous osez rapporter que des CRS se seraient montrés violents envers des manifestants !!! Alors, c'est que vous justifiez cette violence, en insinuant que les CRS ont bien raison d'agir ainsi par haine des gens !!!"
C'est du grand, du très grand n'importe quoi. On cherche des poux dans l'EMV, et on n'en trouve pas. alors on invente.
F L O P !
3 ) Pilate renifle une fleur pour chasser l’« odeur de bouc » des Juifs
---> Qui a dit que Pilate était un grand ami des juifs, lui un chef romain détesté par eux, et qu'ils n'étaient venu voir que dans leur propre intérêt sadique, pour faire mettre à mort Jésus ? Pilate était tout, sauf naïf.
EMV 604.21 - Les procès et le reniement de Pierre. Considérations sur Pilate.
(...) " Celui-ci ?"
"Celui-ci."
"Que viennent ses accusateurs"
Et il va s'asseoir sur un siège placé sur une estrade. Sur sa tête les insignes de Rome s'entrecroisent avec leurs aigles dorées et leur sigle puissant.
"Ils ne peuvent pas venir. Ils se contaminent."
"Heu !!! Cela vaut mieux. Nous épargnerons des fleuves d'essences pour enlever l'odeur de bouc à l'endroit. Faites-les approcher au moins. Ici dessous, et faites attention qu'ils n'entrent pas puisqu'ils ne veulent pas le faire. Cet homme peut être un prétexte pour une sédition."
---> Il est évident que Pilate connaissait la perfidie des accusateurs de Jésus, et les tenait en piètre estime. Il chercha même à sauver le Christ de leurs mains. Sa phrase injurieuse à leur endroit n'a donc rien d'étonnant, d'autant qu'elle répond à la contrariété de voir le lieu du prétoire considéré par eux comme impur. Pilate ne fait donc ici que leur rendre la monnaie de leur pièce, à sa façon païenne.
4 ) « Les utérus hébreux conçoivent de vils parjures. Les utérus romains ne conçoivent que des héros. »
---> La ficelle est un peu grosse :)) Voyons de quoi il s'agit en réalité :
631.14 - Les apôtres envoyés au Golgotha, et leur retour au Cénacle.
(...) Mais les adversités de ce jour ne sont pas encore finies. Un groupe de légionnaires, qui se dirigent vers la taverne voisine, les croise et l’un d’eux les observe et les montre aux autres. Et tous se mettent à rire. Et quand ces pauvres disciples maltraités sont obligés à passer devant eux, un des soldats adossés à la porte les apostrophe :
"Heu ! Le Calvaire ne vous a pas lapidés et les hommes vous ont frappés ? Par Jupiter ! Je vous croyais plus courageux ! Et que vous ne craignez rien puisque vous avez eu le courage de monter là-haut. Les pierres du mont ne vous ont-elles pas reproché d’être lâches ? Et vous avez eu tant de courage pour y monter ? J’ai toujours vu les coupables fuir les endroits qui leur rappellent leur faute. La Némésis les poursuit, mais peut-être vous a-t-elle traîné là-haut pour vous faire trembler d’horreur, aujourd’hui, puisque, alors, vous n’avez pas tremblé de pitié."
Une femme, peut-être la maîtresse de la taverne, vient à la porte et elle rit. Elle a une figure de ribaude qui fait peur, et elle crie à haute voix :
"Femmes hébraïques, regardez ce que produisent vos ventres ! Des lâches parjures qui sortent de leurs tanières quand le danger est fini. Le ventre romain ne conçoit que des héros. Venez, vous, boire à la grandeur de Rome. Vin de choix et belles filles..."
Suivie des soldats elle s’éloigne dans son antre obscur. (...)
---> Conclusion : ce ne sont là que les propos vulgairement outranciers qu'une ribaude se moquant des apôtres humiliés et apeurés, qui sont reconnus par tous et raillés dans les rues de Jérusalem pour leur absence au pied de la Croix, cela n'a strictement rien d'antisémite ! Qui peut accorder du crédit aux propos d'une personne aussi antipathique ? Mais Maria Valtorta les rapporte, car c'est un peu son rôle, si on s'en souvient ... Ils ont un intérêt passager dans le récit : aussitôt prononcés, aussitôt oubliés.
Mais madame Miesel insiste : "Noooooooon !!! C'est pour nous faire lire ces paroles de ribaude que Maria Valtorta a écrit son oeuvre !!!"
---> Mais bien sûr. Ça alors : c'est ce qu'on peut appeler de l'objectivité.
5 ) Marie Salomé qualifie les Juifs de « lâches », alors que les Romains sont « justes et pacifiques » (p. 652).
6 ) Marie-Madeleine doute que des Juifs convertis aient le courage du martyre (p. 663).
7 ) « Les païens seront de meilleurs disciples de Dieu qu’Israël ne l’était. » (p. 852).
8 ) Rome avait selon Marie raison de craindre cette « tribu de tueurs » (p. 642).
9 ) Un personnage romain déclare que « le culte d’Israël est devenu du satanisme » (p. 673).
10 ) Nicodème, en rejetant son identité juive, décide de sculpter une statue — future Sainte Face (p. 903).
11 ) Enfin, Maria Valtorta décrit que « tout le peuple juif réuni à Jérusalem voulait sa mort », alors que les détracteurs voudraient faire porter toute la responsabilité de cette Mort à Pilate.
12 ) Plus grave encore, Valtorta fait des Juifs des Déicides.
Nous examinerons cette objection trafiquée dans une seconde partie, en nous basant sur la Bible et sur le texte de l'EMV.
13 ) Les Romains ne sont pas responsables de la crucifixion, seul Pilate l’est.
---> C'est tout de même assez simple à comprendre, sauf pour madame Miesel. Un soldat ne peut pas être tenu pour moralement responsable d'exécuter l'ordre qu'on lui donne, autrement on devrait tenir tous les militaires partant à la guerre pour des assassins.
---> Effectivement, Pilate quant à lui est responsable, puisqu'il aurait pu résister aux juifs et protéger Jésus en s'exposant courageusement à la colère de ses accusateurs. Sa responsabilité est cependant moindre par rapport à celle de ceux qui lui livrèrent Jésus. C'est ce que dit textuellement Jésus dans l'Evangile selon saint Jean :
Jésus répondit : « Tu n’aurais sur moi aucun pouvoir s’il ne t’avait été donné d’en haut. C’est pourquoi celui qui m’a livré à toi est coupable d’un plus grand péché. »
— Jean 19 :11
14 ) À part les disciples du Christ, « tout le peuple juif réuni à Jérusalem voulait sa mort ».
---> Les disciples d'Emmaüs témoignent bien que "pas une seule personne de Jérusalem ne pouvait ignorer les événements de ces derniers jours".
---> C'est donc que tout Jérusalem ou presque s'étaient réunis - et non pas seulement une petite minorité de ses habitants - lors de la Passion de Jésus. C'est d'ailleurs la seule possibilité logique, puisque toute la population s'était déjà rassemblée la veille pour l'entrée triomphale de Jésus dans Jérusalem : comment, se sentant à ce point concerné par Lui, les mêmes foules qui avaient abandonné toutes leurs occupations pour Lui faire un triomphe, se seraient-elles subitement désintéressées de Lui juste un jour après, alors qu'Il allait être mis à mort ?? C'est complètement incohérent de penser cela.
---> Si donc il y avait eut des foules pour soutenir le Christ fasse à ses accusateurs, elles se seraient manifestée bruyamment pour réclamer sa grâce, et cela serait mentionné dans l'Evangile, au même titre qu'il y est fait mention de la présence de sa Mère accompagnée de quelques disciples au pied de la Croix.
---> Enfin, si les foules possédées n'avaient pas réclamé à haut cris la mort de Jésus, sans trop comprendre ce qu'elles faisaient, alors saint Pierre en personne ne dirait pas dans les Actes des Apôtres ce mensonge à 5000 hommes, comme quoi ils avaient mis à mort le Christ ! « Et maintenant, frères, je sais que vous avez agi par ignorance, tout comme vos chefs. »
— Actes 3 :17.
Conclusion : Non, madame Miesel, non monsieur Maillard, il n'y avait pas 5000 pharisiens pour assister à la crucifixion du Christ.
15 ) La ville entière se déverse pour railler Jésus comme des milliers de « hyènes enragées »
---> Les psaumes ne cessent de parler des mauvaises gens comme autant d'animaux féroces !
Psaume 7,3 – « Seigneur, mon Dieu, sauve-moi de tous mes persécuteurs, arrache-moi, de peur qu’ils ne me déchirent comme un lion, me mettant en pièces sans que personne me délivre. »
Psaume 10,9 – « Il se tient à l’affût dans son repaire comme le lion dans sa tanière, il se tient à l’affût pour surprendre le malheureux. »
Psaume 17,12 – « Comme un lion avide de proie, comme un jeune lion tapi dans les embuscades. »
Psaume 22,17 – « Car des chiens m’environnent, une bande de malfaiteurs m’entoure, ils ont percé mes mains et mes pieds. »
Psaume 59,7 – « Ils reviennent chaque soir, ils hurlent comme des chiens, ils font le tour de la ville. Tant qu'ils n'ont pas leur saoûl, ils grondent. »
Psaume 22,13 – « De nombreux taureaux m’entourent, des taureaux de Bashan m’encerclent. »
Psaume 58,5 – « Leur venin est pareil au venin du serpent, comme celui de la vipère sourde qui ferme l’oreille. »
Psaume 140,4 – « Ils aiguisent leur langue comme un serpent, ils ont sur les lèvres un venin de vipère. »
---> mais cela, madame Miesel n'est peut-être pas censé le savoir ?
16 ) Longin et les soldats romains tentent de minimiser ses souffrances, mais des bourreaux au « profil juif évident » (V : p. 563) flagellent le Sauveur et le clouent au sol.
---> Madame Miesel n'est peut-être pas censé connaître la tradition, qui nous dit que Longin devint un saint ? Comment, s'il n'avait pas été touché de compassion en voyant les souffrances du Christ ? Si lui le devint, pourquoi pas d'autres soldats romains également, même si tous ne furent pas touchés par la Grâce ?
---> Est-ce que peut-être les romains avaient reçu l'interdiction d'employer des juifs pour servir de bourreaux ? De la part de qui, puisque c'étaient eux les envahisseurs ? On cherche des poux dans l'EMV sans en trouver, alors on invente...
17 ) La supplication du Christ « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font » semble s’adresser aux voleurs qui se chamaillent, et non à ‘ses diaboliques persécuteurs juifs’.
---> Miesel ne sait vraiment plus quoi inventer. Voici le passage correspondant dans l'EMV, qui prouve son mensonge :
EMV 609.13 - Crucifiement et mort de Jésus
(...) Les larmes de Dismas ( le bon larron, ndt ) redoublent, ce qui déchaîne encore plus les moqueries de la foule et de son compagnon. La première crie :
« Bravo ! Prends-la pour mère. Cela lui fera deux fils criminels ! »
Et l’autre renchérit :
« Elle t’aime, car tu es une copie — une mauvaise copie ! — de son enfant bien-aimé. »
Jésus prend la parole pour la première fois :
« Père, pardonne-leur parce qu’ils ne savent pas ce qu’ils font ! »
Cette prière vainc toute crainte chez Dismas. Il ose regarder le Christ, et dit :
« Seigneur, souviens-toi de moi quand tu seras dans ton royaume. Pour moi, il est juste que je souffre ici. Mais accorde-moi miséricorde et paix dans l’autre vie. Un jour, je t’ai entendu parler et, dans ma folie, j’ai repoussé ta parole. Je m’en repens maintenant. Je me repens de mes péchés devant toi, Fils du Très-Haut. Je crois que tu viens de Dieu. Je crois en ton pouvoir. Je crois en ta miséricorde. Christ, pardonne-moi au nom de ta Mère et de ton Père très saint. »
Jésus se tourne et le regarde avec une profonde pitié. Avec un sourire encore très beau sur sa pauvre bouche torturée, il déclare :
« Je te le dis : aujourd’hui, tu seras avec moi au Paradis. »
Le larron repenti se calme et, ne sachant plus les prières apprises pendant son enfance, il répète comme une oraison jaculatoire :
« Jésus de Nazareth, roi des Juifs, aie pitié de moi. Jésus de Nazareth, roi des Juifs, j’espère en toi. Jésus de Nazareth, roi des Juifs, je crois à ta divinité. »
L’autre persiste dans ses blasphèmes.
Le ciel devient toujours plus sombre. Il est désormais rare que les nuages s’entrouvrent pour laisser passer le soleil. Ils s’amoncellent au contraire en couches de plus en plus épaisses, blanches, verdâtres, ils se surmontent, se démêlent selon les caprices d’un vent froid qui parcourt le ciel par intervalles, puis descend sur la terre, puis se tait de nouveau ; l’air est presque plus sinistre quand il se tait, étouffant et mort, que quand il siffle, coupant et rapide. (...)
---> Il ne "semble" rien du tout : c'est du pur n'importe quoi, de la pure calomnie de l'oeuvre et rien d'autre.
---> Voici à présent la vraie portée de cette Parole de Jésus en Croix, telle que l'enseigne Jésus dans l'EMV :
Catéchèse du mercredi 5 juillet 1944 : "Père, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu'ils font." ( par. 422 )
(...) La Lumière brille pour tous les hommes. La Voix appelle tous les hommes. La Vérité est prête à instruire tous les hommes. La Voie est ouverte à tous les hommes. La Vie veut se donner à tous les hommes. La plupart des hommes se bouchent les yeux et les oreilles pour ne pas voir la Lumière, pour ne pas entendre la Voix; ils s’éloignent de la Vérité qui enseigne; ils prennent des chemins à l’opposé de la Voie; ils se condamnent à une existence éphémère en repoussant la Voie. Ce sont des abîmes de ténèbres.
Il faut leur dire mes paroles: "Père, pardonne-leur parce qu’ils ne savent pas ce qu’ils font" C’est là leur seule circonstance atténuante: ils ne savent pas. S’ils savaient exactement ce qu’ils font et voulaient néanmoins persister, l’enfer ne leur serait pas une punition suffisante.
Mais ce sont des abîmes. Ils devront répondre d’avoir voulu rester des abîmes bien que mes corédempteurs et moi ayons fait de nous un filet qui plonge au fond de l’abîme, quitte à accepter l’amertume des ténèbres — alors que nous sommes les fils de la Lumière — pour leur porter un souvenir de la Lumière, leur en donner l’envie, les amener à elle.
Les sortir des ténèbres, voilà l’œuvre des rédempteurs. Même quand il nous semble être nous-mêmes dans les ténèbres, nous qui ne sommes pas ténèbres — car, pour avoir l’héroïsme d’être des rédempteurs, il faut que nous soyons tous ardents, que nous ne fassions qu’un avec la Lumière —, nous avons une telle lumière en nous qu’elle paraît éclatante par rapport aux vraies ténèbres des âmes aveugles. Ils devraient nous aimer pour la lumière que nous leur portons. Or ils nous détestent, précisément pour cette raison. Bah, qu’importe! Nous, nous remontons de leur abîme au nôtre. Car nous nous trouvons, nous aussi, dans un abîme : en Dieu, abîme de Perfection. Nous remontons, et nous pardonnons. Plus que cela, nous prions pour qu’ils soient pardonnés et qu’ils aient le désir de la Lumière. Le désir est la première marche de la montée vers la Lumière.
À l’approche de sa Passion, Jésus se plaint de la résistance des Juifs à la conversion : « Qu’il est pénible d’être si près de la mort pour si peu de gens ».
( en cours de rédaction )
Il déteste le culte juif : « Je déteste vos solennités qui ne sont que des apparences. J’abolirai mon alliance avec la souche de Lévi…. » (V : p. 426).
---> Madame Miesel n'est peut-être pas censé connaître les prophéties d'Isaïe, d'Amos et d'Osée qui disent sensiblement la même chose ?
Isaïe 1,14 - "Vos nouvelles lunes et vos solennités, moi, je les déteste : elles me sont un fardeau, je suis fatigué de le porter. Quand vous étendez les mains, je détourne les yeux. Vous avez beau multiplier les prières, je n’écoute pas : vos mains sont pleines de sang."
---> Dieu, par la bouche d’Isaïe, reproche au peuple d’Israël de multiplier les rites (sacrifices, fêtes, néoménies = célébrations de la nouvelle lune) alors que leur cœur est éloigné de Lui. Ce n’est pas le culte en soi qui est rejeté, mais l’hypocrisie et l’absence de justice qui l’accompagnent.
Amos 5,21 - "Je déteste, je méprise vos fêtes, je n’ai aucun goût pour vos assemblées.
Quand vous me présentez des holocaustes et des offrandes, je ne les accueille pas ;
vos sacrifices de bêtes grasses, je ne les regarde même pas.
Éloignez de moi le tapage de vos cantiques ; que je n’entende pas la musique de vos harpes.
Mais que le droit jaillisse comme une source ; la justice, comme un torrent qui ne tarit jamais !
Des sacrifices et des offrandes, m’en avez-vous apporté pendant quarante ans au désert, maison d’Israël ? Vous portiez les statues de Sikkouth, votre roi, et de Kiyyoun, avec l’étoile de vos dieux que vous aviez fabriqués. Je vous déporterai au-delà de Damas. Le Seigneur a parlé. Son nom est « Dieu de l’univers ».
Osée 2,13 - "Je mettrai fin à toute sa gaieté, à ses fêtes, ses nouvelles lunes, ses sabbats, et à toutes ses solennités."
---> Ces passages sont cohérents : Dieu rejette des pratiques cultuelles qui ne sont pas accompagnées d’un cœur sincère et d’une vie juste. Le culte devient alors une offense plutôt qu’un hommage.
Mais madame Miesel insiste : "Nooooooooooon !!! Malgré cette parfaite concordance avec les prophéties bibliques, ce n'est là que l'expression de l'antisémitisme de Maria Valtorta !!! "
---> Mais oui, on est bien d'accord.
Plus tard, le Christ ressuscité déclare que Dieu s’est retiré des rites juifs et que le judaïsme est « mort pour toujours ». « Ses rituels ne sont que des gestes que n’importe quel histrion pourrait mimer sur la scène d’un amphithéâtre. » (V : p. 831) Il méprise Jérusalem comme le lieu où la synagogue a reçu le blâme de la répudiation de Dieu pour ses nombreux et horribles crimes. » (V : p. 869)
( cf ci-dessus )
---> Ces propos sont dans l'EMV des représentations explicites d’hostilité latente ou ouverte de personnages romains envers les Juifs, mais ne reflètent en rien des sentiments judéophobes de Maria Valtorta ! Elle ne faisait que consigner fidèlement ce qu'elle voyait et entendait, rien de plus.
Maillard voudrait donc que les dialogues et les opinions des personnages évangéliques soient aseptisés, alors que ceux-ci se trouvent pourtant pris dans une situation de conflit très difficilement imaginable, tant elle fut intense, blessante, humiliante. C'est dans tout ce contexte de violence - qui fut aussi verbale - que Jésus fut arrêté, torturé et enfin crucifié.
Vu le contexte justifiant complètement de tels propos, l'objection de Maillard n'a tout simplement pas lieu d'être.
2 ) Les Paroles du Christ Lui-même, dans l'oeuvre :
Les Carnets - dictée du 23 décembre 1948, à 11 h, pour Sa Sainteté ( Pie XII ).
" (...) L'Église de Mon Christ a mal interprété la parole de son Divin Fondateur, de sorte qu’elle se croit si forte, si invulnérable, que la majorité de ses membres, et même les meilleurs, ‘ont plus veillé à pratiquer ces actions qui la mettrait dans l’amitié de Dieu. Elle se surestime. Elle se croit supérieure à tout et à tous. Elle se dit : "Je suis bien établie. Rien ne prévaudra sur moi."
Non. Apprenez à comprendre les paroles de Dieu. Ne retombez pas dans les erreurs voulues par les scribes d’autrefois : ils ont eu la prétention d’interpréter les prophéties et les promesses de Dieu de la manière qui allait dans le sens de leur stupide orgueil de peuple élu, qui se croyait bien établis dans cette élection jusqu'à la fin des temps, quelle que soit sa manière de vivre. Cette erreur a causé sa déchéance et l’a conduit à l'extermination, à la dispersion, à la persécution. Et voici vingt siècles qu’il expie l'erreur qu'il a lui-même voulu faire. "
Ce que Maillard commente ainsi :
"Donc pour Valtorta c est le peuple juif (et non seulement une majorite de ses chefs religieux) qui est coupable de la mort de Jésus. C'est ça l'accusation antisémite du peuple déicide. Donc vous pouvez déverser les 8468 pages des écrits de Maria Valtorta, cela ne cachera pas cette ignoble insulte antisémite contre nos frères juifs. Combien de temps, les librairies catholiques vont elles vendre un tel torchon antisémite ?" ( sic ! )
versus plutôt rigolo :
"vous semblez ne pas me croire quand je dis que j'aime certaines scènes et visions de Maria Valtorta et que je travaille à une édition critique dont je désire qu'elle soit approuvée par l’église." ( sic ! )
---> En fait : non. On n'y croit pas, mais alors pas du tout, à cet "amour pour l'EMV", dont Maillard ne donne d'ailleurs jamais aucun exemple concret.
---> Dieu pourrait-Il donc châtier un crime de génération en génération sur une descendance humaine n'ayant pas personnellement participé au crime initial ?
Maillard semble extrêmement choqué à cette idée, qui est pourtant on ne peut plus fondée. Et la meilleure illustration de ce principe biblique est bien connue de tous, puisque pas un seul homme sur cette terre ne peut se prétendre non-concerné, et c'est bien entendu :
---> Le châtiment du péché originel
Il est clair que ce châtiment tel qu'il est décrit en Genèse 3,16-19 ne concerne pas uniquement Adam et Eve qui avaient mangé du fruit défendu de l'arbre de la connaissance du Bien et du Mal, mais toute leur descendance sans limitation dans le temps, et sans aucune autre exception que Marie, l'Immaculée Conception, et Jésus son Divin Fils, le Verbe de Dieu fait Chair.
C'est bien la preuve qu'une faute majeure, commise par des parents humains, peut avoir de très graves conséquences de génération en génération.
---> L'endurcissement de Pharaon du temps de Moïse
Voici un autre exemple très parlant, puisqu'il a pour conséquence la mort de tous les premiers nés des égyptiens : or ces enfants n'étaient certainement pas plus coupables que les autres enfants ! C'est pourtant sur eux que s'abattit le juste châtiment, punissant l'orgueil du monarque qui s'élevait contre Dieu.
Pourquoi cette accusation d'antisémitisme ne tient-elle pas ?
La première raison est que dans l'EMV, d'avantage encore que dans les Evangiles canoniques :
Jésus pleure très amèrement sur Jérusalem,
c'est-à-dire sur son peuple bien aimé ! ( EMV 590 ).
Cela ne colle pas avec le moindre soupçon de judéophobie.
Mais si cette plainte est parfaitement irrecevable, c'est surtout en regard de :
ce qu'enseigne la Bible à maintes reprises,
... et qui justifie pleinement la prophétie du Christ sur le peuple hébreux : Maillard, ex musulman, semble l'ignorer complètement.
Si dans l'EMV, Jésus se contentait d'énoncer la malédiction pesant sur le peuple juif, il pourrait y avoir un soupçon d'antisémitiste, mais pas ici : car Jésus montre au contraire son Amour sans limite pour ses ennemis qui se préparent à le mettre à mort, et regrette infiniment ce qui va leur arriver par la suite. il ne maudit pas de bon coeur, mais avec un extrême regret de devoir se montrer juste envers les coupables qui refusent de se convertir et d'avouer leur faute.
Si la Bible elle-même justifie cette notion de persistance du châtiment de génération en génération, c'est donc cela que croyaient les juifs eux-mêmes, à l'époque de Jésus comme à la nôtre, car la Bible est aussi bien leur Livre saint que celui des chrétiens ! Aucun juif n'accuserait la Bible d'être antisémite, et pourtant, elle prédit une telle punition se communiquant d'âge en âge.
Citations :
Exode 20, 5
« tu ne te prosterneras pas devant ces dieux et tu ne les serviras pas ; car moi, le seigneur ton dieu, je suis un dieu jaloux, punissant la faute des pères sur les enfants jusqu'à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent. »
Exode 34, 7
« [...] qui garde son amour jusqu'à mille générations, qui supporte faute, révolte et péché, mais qui ne tient pas le coupable pour innocent, et qui punit la faute des pères sur les enfants et les petits-enfants jusqu'à la troisième et la quatrième génération. »
Nombres 14, 18
« Le Seigneur est lent à la colère et riche en fidélité ; il pardonne la faute et la transgression, mais il ne laisse pas le coupable impuni ; il punit la faute des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et la quatrième génération. »
Deutéronome 5, 9
« [...] Car moi, le Seigneur ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, punissant la faute des pères sur les fils jusqu’à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent. »
---> or si cela est vrai pour les fautes graves non repenties, mais qui ne dépassent généralement pas le stade du meurtre d'autres hommes ( ce qui est déjà d'une gravité extrême ) c'est vrai de façon exponentielle - c'est-a-dire infinie - lorsqu'il s'agit du crime insurpassable en gravité, dont la culpabilite ne se peut comparer a celle d'aucune Shoa, d'aucun meurtre de masse, tant a lui seul il les dépasse infiniment en gravité.
---> En pareil cas qui n'est arrivé et n'arrivera jamais qu'une seule fois, ce n'est plus sur seulement 3 ou 4 générations, mais sur des millénaires, que tout un peuple est frappé par la main de Dieu, et surement pas à la mesure où il le mériterait, mais avec beaucoup de retenue, car on constate que les juifs n'ont pas connu depuis 2000 ans uniquement des périodes de persécutions, et que Dieu leur conserve cependant sa miséricorde, dans l'espoir de les voir enfin se convertir.
---> Mais les signes de cette malédiction se propageant de génération en génération chez les juifs sont évidents :
1 ) Le pays qui ruisselait de lait et de miel, celui que Maria Valtorta décrit dans ses visions comme étant un pur Eden parsemé des riches terres fertiles promises jadis aux hébreux conduits par Moïse à travers le désert, ce beau pays, qu'est-il devenu ? Il n'est plus désormais qu'un semi désert, triste et aride : qui posera le pied en Israël ne pourra comme moi que le constater...
2 ) La religion juive a perdu sa bénédiction qui en faisait la religion des élus, car elle n'a plus ni Temple, ni prophètes, ce qui n'était jamais arrivé auparavant, du temps de la prédilection de Dieu pour son peuple choisi.
Math 24, Marc 13, Luc 21 sont formels sur ce point : le Temple de Jérusalem, centre de la religion juive et foyer de sa bénédiction sera détruit à jamais, et remplacé désormais par le nouveau Temple véritable qui est son Corps Ressuscité et qui sera adoré désormais non plus par les juifs, mais par les chrétiens, le nouveau peuple élu de Dieu, universel celui-là.
3 ) Les juifs ont pris acte de cette malédiction : tous les jours depuis 2000 ans, ils se lamentent inutilement sur la ruine de leur Temple désormais écrasé par une mosquée, en signe d'humiliation irrémédiable.
L’empereur romain Julien l’apostat tenta de reconstruire le Temple de Jérusalem vers l’année 363 après Jésus-Christ, mais cette tentative échoua de façon spectaculaire. Julien l’apostat (empereur de 361 à 363) était le neveu de Constantin, mais rejeta le christianisme pour revenir au paganisme. il voulait affaiblir le christianisme et restaurer les anciennes religions, y compris le judaïsme. pour discréditer les Paroles de Jésus annonçant la destruction définitive du Temple (comme en Matthieu 24, 2), il décida de reconstruire le Temple juif à Jérusalem.
Julien autorisa et encouragea les juifs à reconstruire le Temple. Des travaux préparatoires commencèrent effectivement sous la direction de l'administration impériale. Les sources rapportent que des matériaux furent rassemblés et que des fondations commencèrent à être dégagées.
Des événements extraordinaires mirent fin au projet. Les principales sources rapportent que des « boules de feu » jaillissaient du sol et empêchaient les ouvriers de poursuivre les travaux, selon Ammien Marcellin (historien païen, mais favorable à Julien).
Grégoire de Nazianze, Ambroise de Milan, Rufin, et d’autres Pères de l’Eglise confirment l’événement et y voient une intervention divine, empêchant que la prophétie du Christ soit contredite.
Certaines sources mentionnent également des tremblements de terre, des vents violents, et des incendies spontanés sur le site.
Peu après cet échec, Julien meurt en campagne contre les perses, en juin 363, ce qui mit fin à ses politiques religieuses.
---> Les pères de l’église ont vu dans l’échec de julien une confirmation de la prophétie de jésus :
le temple ne sera pas rebâti. le culte ancien est définitivement dépassé : il n'a plus la bénédiction divine, mais une malédiction demeure sur lui, en raison de son refus de se conversir au christianisme, qui est pourtant la seule possibilité d'exister paisiblement sur terre.
4 ) leur exil sur toute la surface du globe depuis 2000 ans est à leurs propres yeux encore un autre signe que dieu n'est plus avec eux comme avant, puisque l'essence même de la religion juive est de former un peuple rassemblé dans un même pays, sous un même roi, près d'un temple qui fait l'objet de leur pélerinage annuel, avec l'éclairage constant de prophètes leur faisant connaître la volonté de dieu.
or :
- plus de temple ni de pélerinage depuis 2000 ans
- plus de prophètes depuis 2000 ans
- plus de peuple unifié sous l'autorité d'un roi de droit divin depuis 2000 ans...
5 ) il serait purement indécent de soupçonner quelqu'un d'ignorer quels massacres ponctuèrent l'histoire des juifs depuis 2000 ans un peu partout dans le monde, sous forme de pogroms, de persécutions, ... , et que dire de la shoa, qui est un tel drame que rien ne pourra jamais en atténuer la mémoire pour la suite des temps !
il ne faut surtout pas d'ailleurs s'en réjouir, comme si c'était "bien fait pour ces meurtriers" ! si jésus s'est lui-même lamenté sur jérusalem comme nous le disions en introduction, c'était parce qu'il prévoyait d'avance tous ces malheurs lointains qui allaient s'abattre sur son peuple élu, ce peuple qu'il avait aimé, choisi et préféré à tous les autres de la terre !
car une précision s'avère particulièrement importante : ce châtiment transgénérationnel ne signifie pas que dieu soit injuste. il faut lire ézéchiel 18 en parallèle, où dieu déclare que chacun est responsable de sa propre faute, ce qui montre une évolution dans la pédagogie divine :
ézéchiel 18, 20
« le fils ne portera pas la faute de son père, et le père ne portera pas la faute de son fils. la justice du juste restera sur lui, et la méchanceté du méchant restera sur lui. »
certes, il existe une malédiction globale qui atteint par contagions tout le peuple d'israël depuis 2000 ans, comme nous en avons vu ci-dessus les signes objectifs indubitables, même et surtout par les intréressés eux-mêmes,
mais rien ne doit nous faire oublier que les juifs sont simplement nos frères en humanité, et que pas un d'entre eux n'est en oublie devant la face du très haut, qui sait récompenser individuellement le bien qui se trouve caché au plus profond du coeur, sans faire acception de personne : tel est l'unique message du christ tout au long de l'emv, et en tant que juif, il s'adresse en tout premier lieu à ses frères juifs !
enfin pour conclure :
l'objection d'antisémitisme est particulièrement risible, d'une impressionnante sottise , puisque l'emv n'existe que pour convertir au christ ceux qui ne le seraient pas encore - et en tout premier les juifs d'aujourd'hui - afin que tous puissent profiter des abondantes benedictions qui s'ecoulent comme un fleuve de la croix du christ, du coeur transperce par amour de toute l'humanite de notre sauveur !!!
c'est donc dire si l'emv est antisemite !!! c'est tout au contraire le livre pro juif par excellence, pro juif car il parle on ne peut mieux de la fine fleur du judaïsme offert au monde entier comme "lumiere pour eclairer les nations, et gloire de ton peuple israel" ( emv 32 )
pro juif, car il est fait pour être lu par chaque juif du monde entier, pour lui attirer a nouveau toutes les benedictions divines perdues par la faute d'ancêtres lointains ayant failli extrêmement gravement a leur mission.
conclusion fatale pour maillard :
il pourra toujours jouer à colin-maillard avec sa "full-master-system-error" sur l'antisémitisme dans l'emv : il la retrouvera toujours scotchée dessous son nez, écrite bien gros sous ses bésicles. il ne pourra ni y échapper en ce monde, ni dans l'autre, et devra en rendre un compte très sévère, car si l'antisémitisme est une chose grave, accuser faussement autrui d'une faute qu'il n'a pas commise attire la plénitude des malédictions divines sur celui qui commet une telle abomination ! ( cf emv 248 ).