Don Guillaume Chevallier, un monde de mensonge

"Méfiez-vous des faux prophètes qui viennent à vous déguisés en brebis, alors qu’au-dedans ce sont des loups voraces. C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez." ( Matthieu 7,15 )

A l'intention des lecteurs de Maria Valtorta qui seraient tentés de juger trop dure ma réponse aux articles de don Guillaume Chevallier,

je me permets de publier ici à titre d'exemple le message que notre Seigneur adressa à don Migliorini, une fois que ce dernier fut écarté par sa faute de la direction spirituelle de Maria Valtorta : 

 

Cahiers de 1945-50, p.399-400, p.430-431 :

( Jésus ) "Toi, Romualdo (don Migliorini), tu n'as été pour mon instrument ni un père, ni un directeur spirituel, mais un parâtre et un tentateur. (...)

Toi, un père pour Maria ? Non. Tu l'étais. Puis, très vite, Satan a circonvenu ta paternité et l'a altérée. De spirituelle qu'elle était, il l'a changé en matérielle : tu n'es plus devenu bon que pour les choses de la terre. Ensuite, au fur et à mesure que Satan resserrait les liens autour de toi, tu as même cessé d'être paternel en ce qui concernait la chair de cette personne, et tu es seulement devenu rigoureux, dur, mordant.

Directeur spirituel, toi ? Non. J'ai dû redresser la barre et la voile de cette pauvre âme, car ta conduite était un aquilon qui la déroutait et la portait à se heurter aux écueils de certaines connaissances, de certaines déceptions que je voulais lui épargner pour ne pas scandaliser cet enfant qu'est mon petit Jean, qui croyait fermement que tout prêtre est un autre Christ.

Un autre Christ ! En vérité, si J'avais été comme cela, Je n'aurais certainement pas attiré à Moi le doux André, ni Jean, l'aimant !

En vérité, si J'avais été comme toi, Je n'aurais pas attiré à Moi les enfants, les pécheurs ou les païens. Ne t'est-il pas cuisant comme une brûlure de penser : " J'ai détruis l'œuvre de mon Seigneur, qui avait ramené les Belfanti à l'Église, au sacerdoce" ?

Pierre, lui, a du moins pleuré sur le scandale qu'il avait causé la nuit de ma capture, jusqu'à en avoir les joues creusées. Mais toi ! " (...)
 

Don Guillaume Chevallier, en toute connaissance de cause et sans y être contraint par personne, a fait du bien mauvais travail.

Se réveillant un matin de 2020, il s'est sans doute dit : "C'est moi qui serai le tombeur de Maria Valtorta, celui qui réussira à la dénoncer publiquement, et à enfin éradiquer son oeuvre. Il n'est pas normal qu'elle concurrence ainsi la lecture des Evangiles chez les fidèles. " 

Ce jour-là, peut-être eût-il mieux valu pour don Guillaume Chevallier de ne pas se lever du tout, et de se rendormir tranquillement. Car en mettant son projet à exécution, la seule chose qu'il a vraiment réussie à faire est de se mettre en guerre ouverte contre Dieu, et contre son Christ.

 

En inventant un faux problème,

 il n'arrive à force de calomnies qu'à se dégoûter lui-même d'un très puissant outil d'évangélisation reçu du Ciel, qu'il n'aurait eu qu'à répandre dans le monde comme un feu pour voir se lever autour de lui de nombreux fervents apôtres du Christ, revenant de leurs égarements à la pratique des sacrements, à la lecture fructueuse des saintes Écritures, à l'obéissance aux Commandements d'Amour. 

Mais quoi qu'il en soit, il n'est pas juste qu'il en dégoute aussi les autres, sans aucun argument valable.

 

Comment la mort a-t-elle pu avoir pour lui plus d'attraits que la Vie ? 

Comment de si nombreuses preuves de ses erreurs ne lui ont pas sauté aux yeux ? Il y a en effet plus de 20 000 faits incontestables, attestant que Maria Valtorta ne peut en aucun cas être à l'origine de ces écrits.

C'est que souvent, fort malheureusement, les prêtres - et à fortiori ceux qui enseignent comme DGC - se croient tellement supérieurs, plus éclairés que les autres, qu'ils en viennent à confondre leur petit orgueil personnel avec de réelles compétences de discernement qu'ils n'ont pas, ou qu'ils ont perdu en s'enfermant dans des considérations théologiques desséchantes et mal comprises. 

 

Tels de nouveaux pharisiens,

affrontants l'aveugle-né guéri par Jésus, ce dernier n'ayant pas étudié : cela leur suffit à ridiculiser sa croyance en Quelqu'un qui sort de Galilée. 

Peu leur importe que la grande majorité de la plèbe - selon eux, une masse d’irresponsables - adhère aux révélations du Christ transmises à Maria Valtorta, celle-ci ne demeurera pour eux qu'une obscure petite italienne sans importance, suspecte d'avoir beaucoup souffert dans sa vie, et dont les écrits n'auront jamais droit qu'au mépris amusé des grands esprits de ce monde qu'ils se croient être, sûrs malgré toutes les preuves du contraire que c'est elle qui a tout inventé afin de se faire un nom. 

 

Peu leur importe également l'avis favorable aux écrits de Maria Valtorta de tant d'éminentes personnalités d'Eglise depuis 1943 :

 au contraire, les contredire est pour eux une extraordinaire occasion de se faire valoir, en prétendant ainsi avoir été capables de voir ce que ceux-ci n'auraient pas su discerner à cause de leur trop grand enthousiasme. Lorsqu'on arrive soi-même à remettre en place un vénérable pape Pie XII, son conseillé intime Mgr Carinci de sainte mémoire, Mgr Roschini le plus grand mariologue du XXe siècle, le saint padre Pio en personne, le bienheureux don Allegra et bien d'autres, n'a-t-on pas le sentiment d'acquérir ainsi une importance inouïe, une sorte d'aura quasi illimitée ? 

Voilà certainement ce que devait ressentir Mgr Cochon, lorsqu'il condamna injustement sainte Jeanne d'Arc au bûcher. 

 

Mais la farce a désormais assez duré,

justice doit être faite dès à présent de toutes ces honteuses calomnies, la gloire et la louange doivent être rendues à Celui qui les mérite : Notre Seigneur Jésus-Christ, Auteur de ce don merveilleux pour notre temps, et la honte et l'opprobre doivent être également rendues aux calomniateurs aveugles et orgueilleux de ce monument de vraie spiritualité et de pure théologie catholique, accessible au plus grand nombre, capable d'opérer un si grand bien en nos temps troublés où il est presque aussi facile de tomber sur une "vie de Jésus" hérétique, qu'elle soit New Age, franc maçonne ou protestante, que de tomber sur une petite annonce pour un cercueil-roulant à 100 euros. 

 

En des temps où l'hérésie ne se gène pas pour diffuser son poison dans les esprits, 

il était simplement logique que Dieu ait pu prendre la liberté de remettre les pendules à l'heure, en réaffirmant la vraie foi catholique tout au long de cette oeuvre céleste, et en sauvant ainsi les âmes trop facilement séduites par les nombreuses contrefaçons de sa Bonne Nouvelle qui pullulent hélas en librairie depuis maintenant plusieurs siècles.

 

Les calomnies de don Guillaume Chevallier passeront sans laisser de trace,

mais Dieu, Lui, ne cessera jamais de répandre la Lumière de sa Vérité salvatrice sur le monde qu'Il aime. Et il Lui plaît de le faire par de nombreux moyens, ordinaires mais aussi extraordinaires, comme par l'intermédiaire de petites âmes privilégiées, telles sainte Marguerite-Marie Alacoque, la bienheureuse Maria d'Agreda, Anne Catherine Emmerich, ou encore Maria Valtorta, et tant d'autres.

 

Saint Paul le dit bien en 1 Thess 5,19 : "N’éteignez pas l’Esprit, ne méprisez pas les prophéties, mais discernez la valeur de toute chose : ce qui est bien, gardez-le." 

C'est ce que nous ferons en gardant précieusement et en diffusant "l'Evangile tel qu'il m'a été révélé", non pas comme un cinquième Evangile, ni un complément de la Révélation apostolique qui est close, mais seulement comme une révélation privée donnant la Vie en surabondance, car elle nous vient de Dieu, la Sagesse infinie.

 

L'Église est lente à accepter de rendre avec sagesse son verdict définitif, 

et ce n'est certainement pas par l'intermédiaire du pornographe Tucho - alias monseigneur Fernandez, chef provisoire du Dicastère pour la Doctrine de la Foi - qu'elle peut rendre un verdict fiable,

mais c'est une certitude qu'elle le fera, et notamment lorsque toutes les pièces du dossier apparaîtront enfin au grand jour. C'est une simple question de temps.

 

Actuellement, nous sommes encore pour un jour ou deux dans les douleurs de l'enfantement, 

mais bientôt tout ceci fera place à la joie de connaître encore mieux notre Bien Aimé Sauveur, avec l'approbation pleine et entière de notre sainte Mère l'Eglise - approbation qui est cependant déjà connue et certifiée, quoi que contestée sans raison par certains -.
 

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