L'inspiration chez Maria Valtorta

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---> Trois motifs peuvent être cités ici en exemple, permettant de mettre l’œuvre de Maria Valtorta au-dessus de tout soupçon :

 

1 ) l’invalidité ou le caractère tout relatif de la sentence de mise à l’Index, 

puisqu’elle ne fut prononcée que pour un motif d’ordre disciplinaire, et non doctrinal : en effet, ce fut l’excès de zèle des promoteurs de l’œuvre - et non de Maria Valtorta entièrement soumise aux demandes de l’Église – qui voulurent la faire publier avant le temps prescrit, qui motiva cette mise à l'index disciplinaire, n’ayant rien à voir avec le contenu du livre. À contrario, si l’œuvre avait eu à subir une mise à l’index pour un motif d’ordre doctrinal, alors cela aurait concerné ses erreurs internes, et cela aurait été très grave pour elle : 

 

---> mais rappelons que même ses pires détracteurs acharnés du décadent ex saint office ne purent rien faire d’autre que de la louer 

( preuve s'il en est que Dieu existe ! ), sans y trouver la moindre erreur à dénoncer, si on met à part leur virulence sans objet réel, du style « c’est très mal écrit », ce qui ne trompe personne.

 

---> Et pour clore ce chapitre : même cette sentence disciplinaire fut tout simplement abolie

 en même temps que le saint office décadent, ce qui enferme dans la désobéissance ceux qui prétendraient cependant la maintenir par effet de leur volonté propre.

2 ) les opinions personnelles et injonctions de saints ou de papes,

 toutes vérifiables parce que reposant sur des témoignages oraux mais aussi écrits, comme par exemple :

---> le fameux avis positif de Pie XII et sa phrase mémorable invitant à « publier cette œuvre, ceux qui la liront comprendront », lors de l’audience privée accordée aux pères servites promoteurs de l’EMV, avis positif dont nous possédons une confirmation écrite de Mgr Carinci, ancien confident de saint Pie X, puis celui de Pie XII, en charge de dossiers aussi importants que la canonisation du premier de ses éminents confidents,

---> ou bien encore, l’apologie de l’œuvre de Maria Valtorta par le bienheureux don Allégra - béatifié par Benoît XVI - qu’il publia au lendemain de la fameuse « mise à l’index » que les saboteurs du décadent saint office n’osèrent produire qu’après la mort du plus fervent défenseur de l’EMV, à savoir Pie XII en personne, car visiblement l’obéissance n’était pas leur point fort.
 

3 ) Le caractère miraculeux de ces milliers de pages écrites sans ratures, comportant de multiples indications de temps et de lieux que l’auteur ne pouvait à l’évidence pas connaître.

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"Sans ratures" :

---> Par comparaison, n’importe quel auteur littéraire qui rédige un livre est obligé de faire un plan préalable, et de faire ensuite en brouillon une multitude de ratures, rajouts, gommages, déchirement de pages et autres corrections en tout genre, du moment qu’il est le seul auteur de ce qu’il écrit, car le cerveau humain est tout simplement trop faible pour éviter ses ratures. On peut le constater en visualisant par exemple les brouillons ultra raturés de Marcel Proust, de Victor Hugo et de tant et tant d’autres auteurs. Maria Valtorta, elle, n’a pas de plan, aucun brouillon, et pas la moindre rature dans ses cahiers ! Et cela, c’est déjà un prodige totalement inexplicable.

---> Mais ce n’est pas encore le meilleurs : nous venons de parler d’une œuvre littéraire, écrite du début à la fin, avec un plan. Mais non seulement Maria Valtorta n’avait aucun plan préétabli, mais 

elle reçut également ses visions dans le désordre,

 pour au moins un tiers d’entre elles, alors que chaque passage de ses écrits est à ce point détaillé et interdépendant avec le précédent et le suivant, que les rédiger au hasard, dans le désordre, sans aucun plan ni aucune préparation, et espérer ensuite atteindre une pleine cohérence entre eux, préservant parfaitement les nombreux fils conducteurs tricotés ensemble dans le récit, tient du pur délire, et a une probabilité de se réaliser égale à zéro ! Or, sans jamais que Maria ne se préoccupe de rien, tout s’imbrique comme un puzzle parfaitement pensé, parfaitement structuré, sans aucun défaut, lorsqu’on remet ses visions dans l’ordre : preuve que cet ordre ne venait pas d’elle, mais d’une Cause surnaturelle.

---> Ce fait tient du miracle absolu,

 et réussit même à convaincre son propre cousin Giuseppe Belfanti, alors perdu dans le spiritisme, de revenir avec toute sa famille à la foi catholique et à la pratique régulière des sacrements.

 

---> Autre élément et non des moindres :

 dans un roman intimiste ou psychologique, un auteur n’est généralement capable de mener de front que sept personnages principaux au grand maximum, pour un traitement en profondeur : au-delà de cette limite, il lui serait impossible de maitriser l’action impliquant autant de psychologies différentes.

---> Maria Valtorta, elle, sans produire le moindre effort de préparation, mène de front et en profondeur dans son récit une véritable multitude de personnages

 ayant chacun un caractère psychologique très distinct, chacun interagissant avec les autres au fil du récit, et gardant sa cohérence propre sans la moindre sensation d’artifice ou de difficulté, avec un rendu naturel extraordinaire qui tient du pur miracle, d’autant plus que nous reconnaissons effectivement en Jésus, en Marie, en chacun des apôtres, exactement ce que nous pouvons nous imaginer de lui, d’après les Évangiles canoniques.

 

Là encore : rien d’humain ne peut expliquer une pareille performance. 

Cela ne peut donc venir en aucun cas du seul talent littéraire de Maria Valtorta.
 

---> "comportant de multiples indications de temps et de lieux que l’auteur ne pouvait à l’évidence pas connaître" :

Par exemple, il faudrait expliquer comment un romancier pourrait écrire son oeuvre en se basant sur les résultats de fouilles archéologiques qui ne seront effectuées que trente ans après sa mort ! cela confine à l'absurde.

 

Il n’y a que deux solutions :


---> soit c’est Maria Valtorta qui a tout écrit d'elle-même, et alors son œuvre est une supercherie, 

puisque celle-ci proclame être le fruit de visions et de dictées données par le Christ à son humble instrument. Et dans ce cas, Maria Valtorta aurait donc produit tous ses écrits au hasard de son imagination, y décrivant avec un luxe inouïe de détails une multitude de lieux non encore redécouverts par les archéologues, mais aussi la faune et la flore de la Terre Sainte du temps de Jésus, l’astronomie, les coutumes sociales, le mode de travail, etc… choses qui lui étaient absolument inconnues et hors de portée de ses éventuelles investigations - on connait d’ailleurs précisément les livres qui étaient chez elle, et que sa mère Iside tenait sous clef, hors de portée de sa fille grabataire : et de toute façon, aucun d’entre eux n'aurait pu l'aider en quoi que ce soit pour écrire l’oeuvre - : tout ceci au hasard, avec donc une probabilité infiniment élevée de se tromper des centaines de millier de fois, quasiment à chaque ligne de ses écrits imaginatifs.
 

---> Soit Maria Valtorta est sincère, et son œuvre est le fruit d'une authentique révélation privée,

 mais alors on ne peut raisonnablement accepter d’y trouver des aberrations, des inexactitudes et autres erreurs scientifiques et théologiques, qui montreraient tout l’inverse ! La logique étant que le Ciel ne peut pas se tromper.

 

 

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