INTRODUCTION, par don Guillaume Chevallier ( corrigée par mes soins attentifs et bienveillants, dans un soucis de vérité )
---> Grâce au jugement formellement positif de l’Église au sujet de l’œuvre de Maria Valtorta, par la voix de sa plus haute autorité en les personnes de Pie XII et de Benoît XVI, et faisant dès maintenant office de Nihil Obstat - et cela malgré les attaques perfides du désobéissant et décadent ex Saint Office et de ses quelques satellites - nombreux sont les fidèles qui nourrissent avec fruit leur vie spirituelle par la lecture de « Il Poema dell’Uomo-Dio », en français « L’Évangile tel qu’il m’a été révélé ».
---> Ils y sont encouragés par les sites et les forums dédiés, mais aussi par la diffusion d’extraits dans des mails quotidiens ou hebdomadaires intitulés « Jésus aujourd’hui, mieux connaître Jésus chaque jour » par l’Association Marie de Nazareth ou « L’évangile du dimanche et sa concordance dans l’œuvre de Maria Valtorta ».
---> Les membres de l’association Maria Valtorta organisent également depuis quelques années des conférences dans la France entière, d’une très grande qualité, et que l'on peut demander dans sa région, ayant pour objet : soit une présentation générale du sujet, soit un thème particulier, comme par exemple sainte Marie Magdeleine ou saint Joseph dans l’œuvre.
---> La plupart de ces excellentes conférences sont disponibles à l’écoute sur YouTube ( notamment celles de Bruno Perrinet et celles d’Arnaud Lefebvre ).
---> En outre, une nouvelle édition italienne a donné lieu à une nouvelle traduction française, qui sera prochainement suivie par une autre version encore meilleure, et annotée ( encore en gestation en 2024 ). La quatrième de couverture explicite : Il s’agit essentiellement de la vie de Jésus qu’elle reçoit par visions et révélations. Leur narration, à la fois poétique et très détaillée, renferme, de manière subtile et abordable, de nombreuses références astronomiques, topographiques, bibliques, historiques et anthropologiques. L’analyse scientifique permet de démontrer que ces écrits sont cohérents et crédibles sous tous les points de vue et ne peuvent être le simple fruit de l’imagination.
---> Le Christ, en toute fin de l’oeuvre, dicte les sept raisons majeures justifiant ce don précieux qu'Il a fait à l’humanité, et de la cinquième d’entre elles est tirée l’explication suivante : « Cette Œuvre a pour but d’éclairer des faits qu’un ensemble complexe de circonstances a couvert de ténèbres jusqu’à former des zones obscures dans la clarté du tableau évangélique ; ce qui paraît être des causes de rupture ne sont que des points devenus obscurs, entre l’un ou l’autre épisode, des passages indéchiffrables : les éclaircir, c’est donner la clé qui permettra la juste compréhension de certaines situations qui s’étaient créées et certaines manières fortes que j’avais dû avoir, qui contrastaient tellement avec mes exhortations continuelles au pardon, à la douceur et à l’humilité, certaines raideurs envers des adversaires entêtés et que rien ne pouvait convertir ». (X, 38, « L’adieu à l’œuvre », 299).
---> Ici, Jésus veut très clairement parler d’épisodes tels que « Les marchands chassés du Temple », ou celui de « La femme adultère », ou encore celui des « Noces de Cana » ou de celui du prétendu « doute de saint Jean Baptiste emprisonné » : autant de passages qui ne peuvent manquer d’interroger le lecteur qui ne disposerait que de leur version canonique, sans plus d’explication.
---> Qui par exemple, ne s’est jamais interrogé sur la douceur et l’humilité du Christ, alors qu’Il se met pourtant à chasser sans ménagement avec un fouet les vendeurs, ne faisant somme toute rien de plus que leur métier ayant son utilité ? Qui n’a pas risqué ici un complet contre-sens, en croyant naïvement que le Christ jetterait ainsi l’opprobre sur toute activité commerciale en ce monde ? Cette obscurité est balayée par la lecture du passage correspondant, dans l’EMV, rétablissant toute la lumière, et de même pour tant d’autres épisodes, où l’on apprend que le Précurseur n’a en réalité jamais douté dans sa prison, la nature et la cause des inscriptions de Jésus sur le sable, etc, etc.
---> Les descriptions pittoresques, les interactions des personnages, les développements doctrinaux qui explicitent des points obscurs des évangiles, aident les lecteurs à établir ce que saint Ignace appelle « une composition des lieux » et des situations.
---> Il faut entendre ce besoin des fidèles de se représenter les événements de l’évangile plus concrètement, plus humainement, mais aussi de recevoir un enseignement sur la divinité de Jésus, et dans ce cadre, on ne peut que recommander la lecture assidue des écrits de Maria Valtorta, qui ne présentent comme seul risque que celui de raviver l’amour de Dieu dans tous les coeurs, et spécialement pour l’Incarnation de son Fils Bien Aimé en Marie.
---> L’Église l’ayant clairement manifesté par les voix conjointes de Pie XII et de ses successeurs en demandant la publication et la diffusion de l’œuvre, toutes les autres tentatives d’entrave, comme la mise à l’Index disciplinaire du 16 décembre 1959, abolie par Paul VI le 7 décembre 1965, n’auront aucun effet et pour cause : que ce soit en 1966, en 1985, en 1992 ou plus récemment encore, les tentatives successives de ressusciter le torchon accusatoire enterré de l’ex-saint office décadent, se firent sans jamais prendre en compte aucun des très nombreux nouveaux éléments d’analyse – dont nous verrons l’exposé général plus loin - , répétant ainsi une erreur depuis longtemps périmée, tout comme une simple caisse de résonnance sans âme, alors que le saint office lui-même avait changé d’avis à ce sujet, rejoignant enfin celui de Pie XII.
---> Car sur l’impulsion de personnalités de très haute valeur comme Mgr G.M. Roschini, mariologue réputé et fondateur de l’institut théologique Marianum, conseillé au saint office, la position de ce dernier évolua considérablement par la suite, passant de la critique de l’œuvre à sa recommandation « comme celle d’un bon livre ».
---> De même, certains journaux, comme « Civilta Catholica » ( revue jésuite ), dont la critique de Maria Valtorta du 1er juillet 1961 écrite par le père Giovanni Caprile fut attribuée faussement au cardinal Razinger par son secrétaire peu scrupuleux du Dicastère pour la Doctrine de la foi, passa lui-aussi de la critique à la louange, prenant même fait et cause en faveur de l’EMV, une première fois le 22 décembre 1979 pour rassurer un lecteur sur le caractère licite et édifiant de sa lecture malgré la mise à l’index, une seconde fois le 4 octobre 1986 pour réprimer un livre ouvertement hostile à Maria Valtorta et à ses écrits.
---> Cette revue jésuite ne fut pas la seule à évoluer : le cardinal Razinger d’abord prudent le fit aussi, dès lors qu’il prit le temps d’examiner l’œuvre de Maria Valtorta par lui-même : l’occasion lui en fut donnée. Un témoin oral digne de confiance certifie le fait, la preuve écrite – une lettre de Benoît XVI – est localisée précisément en deux endroits, et il ne manque que l’occasion de l’exhumer des archives.
---> L’œuvre de Maria Valtorta n’est pas un roman, mais une révélation privée. Elle doit donc être discernée comme telle par l’Église, qui a reçu le charisme du discernement des esprits : il ne peut y avoir que trois solutions.
---> La première – l’unique envisageable - conforme au jugement positif initial de Pie XII et de son entourage fidèle, celle d’une prophétie authentique, qui appelle donc une annulation pure et simple de la cabale fomentée depuis le début par le décadent ex saint-office : mais c’est chose déjà faite par la parole ferme et claire du pape Pie XII, confirmée par celle de Benoît XVI.
---> La seconde, inenvisageable - puisque Maria Valtorta nous livre ses visions en direct sans aucun intermédiaire, et sous la haute surveillance du Christ - celle d’un texte mêlant prophétie authentique et impressions subjectives ou additions personnelles, dont il faut apprécier la qualité (ainsi des révélations d’Anne-Catherine Emmerich, dont le témoignage littéraire est compliqué du prisme personnel de leur auteur, Clemens Brentano) ;
---> La troisième, complètement farfelue, pour ne pas dire d’inspiration maligne tant il faudrait être tordu pour ne pas se rendre compte de son inspiration divine : celle d’une fausse prophétie.
---> Ce texte, qualifié par don Berti - dans le cas où l’on tiendrait absolument à qualifier l’œuvre de « roman », ce qu’elle n’est en aucune façon - de « vie de Jésus magnifiquement romancée, excellemment romancée, artistiquement romancée ! » pour répondre aux jugements fallacieuses des auteurs de la critique de 1958, devrait au grand minimum être considéré comme inoffensif, même par les esprits les plus chicaneurs, car il est impossible d’y déceler la moindre modifications dans la doctrine et la tradition de l’Église ( cf la réfutation de mes articles par apvs, publiée sur Gloria.tv).
---> Sur plusieurs médias catholiques, des études critiques de qualité, abordant l’Œuvre sous l’angle de la doctrine ont été récemment publiées pour me répondre. Moi-même, don Guillaume Chevallier, j'ai récemment été vertement rappelé à l'ordre par un supérieur de la hiérachie catholique, en raison de mes trois articles diffamatoires à l'encontre de l'EMV.
---> Trois motifs peuvent être cités ici en exemple, permettant de mettre l’œuvre de Maria Valtorta au-dessus de tout soupçon :
1 ) l’invalidité ou le caractère tout relatif de la sentence de mise à l’Index, puisqu’elle ne fut prononcée que pour un motif d’ordre disciplinaire, et non doctrinal : en effet, ce fut l’excès de zèle des promoteurs de l’œuvre - et non de Maria Valtorta entièrement soumise aux demandes de l’Église – qui voulurent la faire publier avant le temps prescrit, qui motiva cette mise à l'index disciplinaire, n’ayant rien à voir avec le contenu du livre. À contrario, si l’œuvre avait eu à subir une mise à l’index pour un motif d’ordre doctrinal, alors cela aurait concerné ses erreurs internes, et cela aurait été très grave pour elle :
---> mais rappelons que même ses pires détracteurs acharnés du décadent ex saint office ne purent rien faire d’autre que de la louer ( preuve s'il en est que Dieu existe ! ), sans y trouver la moindre erreur à dénoncer, si on met à part leur virulence sans objet réel, du style « c’est très mal écrit », ce qui ne trompe personne.
---> Et pour clore ce chapitre : même cette sentence disciplinaire fut tout simplement abolie en même temps que le saint office décadent, ce qui enferme dans la désobéissance ceux qui prétendraient cependant la maintenir par effet de leur volonté propre.
2 ) les opinions personnelles et injonctions de saints ou de papes, toutes vérifiables parce que reposant sur des témoignages oraux mais aussi écrits, comme par exemple :
---> le fameux avis positif de Pie XII et sa phrase mémorable invitant à « publier cette œuvre, ceux qui la liront comprendront », lors de l’audience privée accordée aux pères servites promoteurs de l’EMV, avis positif dont nous possédons une confirmation écrite de Mgr Carinci, ancien confident de saint Pie X, puis celui de Pie XII, en charge de dossiers aussi importants que la canonisation du premier de ses éminents confidents,
---> ou bien encore, l’apologie de l’œuvre de Maria Valtorta par le bienheureux don Allégra - béatifié par Benoît XVI - qu’il publia au lendemain de la fameuse « mise à l’index » que les saboteurs du décadent saint office n’osèrent produire qu’après la mort du plus fervent défenseur de l’EMV, à savoir Pie XII en personne, car visiblement l’obéissance n’était pas leur point fort.
3 ) Le caractère miraculeux de ces milliers de pages écrites sans ratures, comportant de multiples indications de temps et de lieux que l’auteur ne pouvait à l’évidence pas connaître.
"Sans ratures" :
---> Par comparaison, n’importe quel auteur littéraire qui rédige un livre est obligé de faire un plan préalable, et de faire ensuite en brouillon une multitude de ratures, rajouts, gommages, déchirement de pages et autres corrections en tout genre, du moment qu’il est le seul auteur de ce qu’il écrit, car le cerveau humain est tout simplement trop faible pour éviter ses ratures. On peut le constater en visualisant par exemple les brouillons ultra raturés de Marcel Proust, de Victor Hugo et de tant et tant d’autres auteurs. Maria Valtorta, elle, n’a pas de plan, aucun brouillon, et pas la moindre rature dans ses cahiers ! Et cela, c’est déjà un prodige totalement inexplicable.
---> Mais ce n’est pas encore le meilleurs : nous venons de parler d’une œuvre littéraire, écrite du début à la fin, avec un plan. Mais non seulement Maria Valtorta n’avait aucun plan préétabli, mais elle reçut également ses visions dans le désordre, pour au moins un tiers d’entre elles, alors que chaque passage de ses écrits est à ce point détaillé et interdépendant avec le précédent et le suivant, que les rédiger au hasard, dans le désordre, sans aucun plan ni aucune préparation, et espérer ensuite atteindre une pleine cohérence entre eux, préservant parfaitement les nombreux fils conducteurs tricotés ensemble dans le récit, tient du pur délire, et a une probabilité de se réaliser égale à zéro ! Or, sans jamais que Maria ne se préoccupe de rien, tout s’imbrique comme un puzzle parfaitement pensé, parfaitement structuré, sans aucun défaut, lorsqu’on remet ses visions dans l’ordre : preuve que cet ordre ne venait pas d’elle, mais d’une Cause surnaturelle.
---> Ce fait tient du miracle absolu, et réussit même à convaincre son propre cousin Giuseppe Belfanti, alors perdu dans le spiritisme, de revenir avec toute sa famille à la foi catholique et à la pratique régulière des sacrements.
---> Autre élément et non des moindres : dans un roman, un auteur n’est capable de mener de front pour les faire interagir entre eux que cinq à sept personnages principaux au grand maximum, car au-delà de cette limite, il lui serait impossible de maitriser l’action impliquant autant de psychologies différentes, sans provoquer de profondes incohérences dans le récit, des lacunes, incompréhensions, etc. Le cerveau humain a ce genre de limites, c’est ainsi.
---> Maria Valtorta, elle, sans produire le moindre effort de préparation, mène parfaitement de front dans son récit une véritable multitude de personnages ayant chacun un caractère psychologique très distinct, chacun interagissant avec les autres au fil du récit, et gardant sa cohérence propre sans la moindre sensation d’artifice ou de difficulté, mais avec un naturel extraordinaire qui tient lui aussi du pur miracle, d’autant plus que nous reconnaissons effectivement en Jésus, en Marie, en chacun des apôtres et en chaque personnage connu exactement ce que nous nous serions imaginé de lui, d’après les Évangiles canoniques. Là encore : rien d’humain ne peut expliquer une pareille performance. Cela ne peut donc venir en aucun cas du seul talent littéraire de Maria Valtorta.
---> "comportant de multiples indications de temps et de lieux que l’auteur ne pouvait à l’évidence pas connaître" :
Il n’y a que deux solutions :
---> soit c’est Maria Valtorta qui a tout écrit d'elle-même, et alors son œuvre est une supercherie, puisque celle-ci proclame être le fruit de visions et de dictées données par le Christ à son humble instrument. Et dans ce cas, Maria Valtorta aurait donc produit tous ses écrits au hasard de son imagination, y décrivant avec un luxe inouïe de détails une multitude de lieux non encore redécouverts par les archéologues, mais aussi la faune et la flore de la Terre Sainte du temps de Jésus, l’astronomie, les coutumes sociales, le mode de travail, etc… choses qui lui étaient absolument inconnues et hors de portée de ses éventuelles investigations - on connait d’ailleurs précisément les livres qui étaient chez elle, et que sa mère Iside tenait sous clef, hors de portée de sa fille grabataire : et de toute façon, aucun d’entre eux n'aurait pu l'aider en quoi que ce soit pour écrire l’oeuvre - : tout ceci au hasard, avec donc une probabilité infiniment élevée de se tromper des centaines de millier de fois, quasiment à chaque ligne de ses écrits imaginatifs.
---> Soit Maria Valtorta est sincère, son œuvre est authentiquement une révélation céleste ( quoi que privée ), mais alors on ne peut raisonnablement accepter d’y trouver des aberrations, des inexactitudes et autres erreurs scientifiques et théologiques, qui montreraient tout l’inverse ! La logique étant que le Ciel ne peut pas se tromper.
---> C’est uniquement la première de ces deux hypothèses qui est retenue par les membres décadents de l’ex saint office dans leur torchon accusatoire frelaté, et ils prétendent – cette fois avec raison ! – que puisque tout viendrait uniquement de l’imagination débordante et fort imprudente de l’auteur, les scientifiques y trouveraient facilement plus tard tout un fourmillement d’erreurs factuelles, lorsqu’ils se pencheraient sur l’œuvre pour analyser son contenu de manière rigoureuse.
---> Or c’est ce qui se produisit, quelques décennies après la publication du torchon accusatoire, mais pas du tout avec le résultat escompté par l’ex saint office : bien au contraire, au fur et à mesure de leurs investigations impartiales concernant quelques 20 000 données de l'oeuvre, les scientifiques découvrirent que tout y était absolument exact et fiable. Signalons le travail disponible en deux tomes de Jean-François Lavère, ingénieur, premièrement très sceptique, avant de devenir plus qu’enthousiaste : « L’énigme Valtorta », exposant bien toutes ses prodigieuses découvertes.
---> La conclusion est depuis lors définitive et irrévocable : Maria Valtorta n’a rien pu inventer par elle-même, l'hypothèse du contraire est désormais impossible à soutenir, à moins de vouloir passer pour un parfait abruti. La source de ces écrits n’est plus à chercher dans celle qui tenait la plume, mais uniquement dans une cause surnaturelle qui l’inspirait et la guidait.
---> Les exemples frappants sont trop nombreux pour être tous évoqués ici, et ils l’ont déjà été dans la réfutation de mes trois articles bidons qu’a récemment publié apvs sur Gloria.tv.
---> Par exemple, Maria Valtorta révèle les noms très rares et phonétiquement improbables des 70 membres du Sanhédrin du temps de Jésus, noms à peine connus par une minuscule poignée de spécialistes dans le monde, et surement pas de la plus ignorante de tous : Maria Valtorta.
---> Mais plus encore, elle révèle par exemple la position géographique exacte de la ville de Bethsaïda, que les archéologue cherchaient très naturellement en bordure du lac de Tibériade, alors qu’en réalité, il fallait la chercher plus à l’intérieur des terres, en raison des alluvions ayant modifié le rivage au cours des 2000 dernières années, faisant reculer le lac plus au sud. Maria Valtorta ne pouvait le savoir simplement en étudiant les draps de son lit qu’elle ne quittait jamais ! Le penser serait absurde.
---> Même chose lorsqu’elle décrit avec une précision d’orfèvre la demeure luxueuse de Lazare à Béthanie, palais dont la trace avait été jusqu’alors complètement perdue, enfoui depuis des siècles sous la terre, possiblement à jamais. Ses indications permirent de le localiser et de le ramener au grand jour, et on le découvrit exactement tel qu’elle l’avait décrit dans l’EMV, au détail près, comme en particulier cette pièce entièrement ornée de pierres rouges – chose extrêmement rare et cher à cette époque – où Jésus mangea souvent avec ses disciples, et qui fut retrouvée telle quelle par les archéologues.
Hasard ? Mais le hasard est ici complètement impossible, comme il est impossible de soutenir que Maria inventait quoi que ce soit.
---> Et que dire de la pyramide unique – alors que chacun sait qu’il y en a trois - que la sainte famille réfugiée en Égypte voyait depuis Matarea où elle habita trois années, car la plus grande d’entre elles cachait les deux autres, les trois monuments étant en ce lieu parfaitement alignés dans le champ visuel ? Personne n’aurait pu inventer cela, et surement pas Maria Valtorta.
---> Les nombreux détails astronomiques ? Déjà, ils avaient chacun individuellement très peu de chance de tomber juste comme par hasard ; mais pour que tous concordent les uns avec les autres dans une exactitude absolue, par le pur produit du hasard : il n’y avait qu’une seule chance sur 10 puissance 80 ! ( pour gagner le gros lot à la loterie nationale : c’est une chance sur 10 puissance 7 ). C’est dire que si Maria avait tout inventé, on s’en serait facilement aperçu par ses erreurs, notamment sur l'astronomie : comment aurait-elle pu tomber toujours juste par hasard, avec une probabilité si incroyablement élevée de se tromper ? Et cependant tout tombe juste dans ses écrits, toutes les phases lunaires décrites avec précision, toutes vérifiées grâce à un logiciel astronomique moderne surpuissant permettant de revenir à l’époque du Christ pour en examiner le ciel, sans que le moindre doute soit permis.
---> Ce fait, indéniable sauf par les persécuteurs acharnés et stupides, complète encore l'aspect absolument miraculeux de cette rédaction de la Vie du Christ.
---> Ces arguments possèdent l’inconvénient de ne pas avoir trait à la nature même du projet de l’œuvre, pourtant clairement explicité à de nombreux endroits du texte.
---> Cependant, si ce projet était uniquement la supercherie d'une pauvre folle, imbue de son imagination débordante, comment alors expliquer une telle exactitude de l’œuvre, manifestant très clairement tout l’inverse ?
---> Les splendides merveilles d’ingéniosité et de diversité présentes dans la nature – et que les scientifiques et artistes sont bien loin d’avoir entièrement décrites – sont la preuve de l’absolu géni du Divin Créateur dont elles proviennent toutes : qui, en les contemplant, pourrait raisonnablement conclure à une supercherie, à l’inexistence de Dieu, et à une création de toutes ces merveilles par l’homme, afin de faire croire faussement qu'il y aurait un Dieu ? Cela n’aurait aucun sens.
---> Même chose pour l’EMV, dont l’origine divine resplendit de mille et mille preuves merveilleuses, pour peu que l’on accepte d’ouvrir les yeux.
---> Cet article se penchera sur les attestations internes à l’Œuvre de sa propre inspiration, et de sa relation aux textes canoniques, et sera entièrement corrigé et réfuté par mon grand frère dans la foi, apvs, l’ensemble de mon travail d’investigation étant tout simplement bidon, comme vous aurez l'occasion de le voir avec lui.
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