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Troisième article : "L’inspiration chez Maria Valtorta - Discerner l’origine de L’Évangile tel qu’il m’a été révélé"

"Méfiez-vous des faux prophètes qui viennent à vous déguisés en brebis, alors qu’au-dedans ce sont des loups voraces. C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez." ( Matthieu 7,15 )

INTRODUCTION 
du troisième article, corrigée par mes soins attentifs et bienveillants, dans un soucis de vérité
 

---> Grâce au jugement formellement positif de l’Église au sujet de l’œuvre de Maria Valtorta, 

par la voix de sa plus haute autorité en les personnes de Pie XII et de Benoît XVI, et faisant dès maintenant office de Nihil Obstat - et cela malgré les attaques perfides du désobéissant et décadent ex Saint Office et de ses quelques satellites - nombreux sont les fidèles qui nourrissent avec fruit leur vie spirituelle par la lecture de « Il Poema dell’Uomo-Dio », en français « L’Évangile tel qu’il m’a été révélé ».

 

---> Ils y sont encouragés par les sites et les forums dédiés, 

mais aussi par la diffusion d’extraits dans des mails quotidiens ou hebdomadaires intitulés « Jésus aujourd’hui, mieux connaître Jésus chaque jour » par l’Association Marie de Nazareth ou « L’évangile du dimanche et sa concordance dans l’œuvre de Maria Valtorta ».

---> Les membres de l’association Maria Valtorta organisent également depuis quelques années des conférences dans la France entière, d’une très grande qualité, 

et que l'on peut demander dans sa région, ayant pour objet : soit une présentation générale du sujet, soit un thème particulier, comme par exemple sainte Marie Magdeleine ou saint Joseph dans l’œuvre.

 

---> La plupart de ces excellentes conférences sont disponibles à l’écoute sur YouTube 

notamment celles de Bruno Perrinet et celles d’Arnaud Lefebvre.

 

---> En outre, une nouvelle édition italienne a donné lieu à une nouvelle traduction française, qui sera prochainement suivie par une autre version encore meilleure, et annotée ( encore en gestation en 2024 ).

 La quatrième de couverture explicite : Il s’agit essentiellement de la vie de Jésus qu’elle reçoit par visions et révélations. Leur narration, à la fois poétique et très détaillée, renferme, de manière subtile et abordable, de nombreuses références astronomiques, topographiques, bibliques, historiques et anthropologiques. L’analyse scientifique permet de démontrer que ces écrits sont cohérents et crédibles sous tous les points de vue et ne peuvent être le simple fruit de l’imagination.

 

---> Le Christ, en toute fin de l’oeuvre, dicte les sept raisons majeures justifiant ce don précieux qu'Il a fait à l’humanité, et de la cinquième d’entre elles est tirée l’explication suivante :

 « Cette Œuvre a pour but d’éclairer des faits qu’un ensemble complexe de circonstances a couvert de ténèbres jusqu’à former des zones obscures dans la clarté du tableau évangélique ; ce qui paraît être des causes de rupture ne sont que des points devenus obscurs, entre l’un ou l’autre épisode, des passages indéchiffrables : les éclaircir, c’est donner la clé qui permettra la juste compréhension de certaines situations qui s’étaient créées et certaines manières fortes que j’avais dû avoir, qui contrastaient tellement avec mes exhortations continuelles au pardon, à la douceur et à l’humilité, certaines raideurs envers des adversaires entêtés et que rien ne pouvait convertir ». (X, 38, « L’adieu à l’œuvre », 299).

 

---> Ici, Jésus veut très clairement parler d’épisodes tels que « Les marchands chassés du Temple »

ou celui de « La femme adultère », ou encore celui des « Noces de Cana » ou de celui du prétendu « doute de saint Jean Baptiste emprisonné » : autant de passages qui ne peuvent manquer d’interroger le lecteur qui ne disposerait que de leur version canonique, sans plus d’explication.

 

---> Qui par exemple, ne s’est jamais interrogé sur la douceur et l’humilité du Christ, 

alors qu’Il se met pourtant à chasser sans ménagement avec un fouet les vendeurs, ne faisant somme toute rien de plus que leur métier ayant son utilité ? 

Qui n’a pas risqué ici un complet contre-sens, en croyant naïvement que le Christ jetterait ainsi l’opprobre sur toute activité commerciale en ce monde ? Cette obscurité est balayée par la lecture du passage correspondant, dans l’EMV, rétablissant toute la lumière, et de même pour tant d’autres épisodes, où l’on apprend que le Précurseur n’a en réalité jamais douté dans sa prison, la nature et la cause des inscriptions de Jésus sur le sable, etc, etc.

 

---> Les descriptions pittoresques, les interactions des personnages, les développements doctrinaux qui explicitent des points obscurs des évangiles

aident les lecteurs à établir ce que saint Ignace appelle « une composition des lieux » et des situations.

---> Il faut entendre ce besoin des fidèles 

de se représenter les événements de l’évangile plus concrètement, plus humainement, mais aussi de recevoir un enseignement sur la divinité de Jésus, et dans ce cadre, on ne peut que recommander la lecture assidue des écrits de Maria Valtorta, qui ne présentent comme seul risque que celui de raviver l’amour de Dieu dans tous les coeurs, et spécialement pour l’Incarnation de son Fils Bien Aimé en Marie.

 

---> L’Église l’ayant clairement manifesté par les voix conjointes de Pie XII et de ses successeurs 

en demandant la publication et la diffusion de l’œuvre, toutes les autres tentatives d’entrave, comme la mise à l’Index disciplinaire du 16 décembre 1959, abolie par Paul VI le 7 décembre 1965, n’auront aucun effet et pour cause : que ce soit en 1966, en 1985, en 1992 ou plus récemment encore, les tentatives successives de ressusciter le torchon accusatoire enterré de l’ex-saint office décadent, se firent sans jamais prendre en compte aucun des très nombreux nouveaux éléments d’analyse – dont nous verrons l’exposé général plus loin - , répétant ainsi une erreur depuis longtemps périmée, tout comme une simple caisse de résonnance sans âme, alors que le saint office lui-même avait changé d’avis à ce sujet, rejoignant enfin celui de Pie XII.
 

---> Car sur l’impulsion de personnalités de très haute valeur comme Mgr G.M. Roschini,

 mariologue réputé et fondateur de l’institut théologique Marianum, conseillé au saint office, la position de ce dernier évolua considérablement par la suite, passant de la critique de l’œuvre à sa recommandation « comme celle d’un bon livre ».

 

---> De même, certains journaux, comme « Civilta Catholica »

revue jésuite, dont la critique de Maria Valtorta du 1er juillet 1961 écrite par le père Giovanni Caprile fut attribuée faussement au cardinal Razinger par son secrétaire du Dicastère pour la Doctrine de la foi, passa lui-aussi de la critique à la louange, prenant même fait et cause en faveur de l’EMV, une première fois le 22 décembre 1979 pour rassurer un lecteur sur le caractère licite et édifiant de sa lecture malgré la mise à l’index, une seconde fois le 4 octobre 1986 pour réprimer un livre ouvertement hostile à Maria Valtorta et à ses écrits.


 

 ---> Cette revue jésuite ne fut pas la seule à évoluer :

le cardinal Razinger d’abord prudent le fit aussi, dès lors qu’il prit le temps d’examiner l’œuvre de Maria Valtorta par lui-même : l’occasion lui en fut donnée. Un témoin oral digne de confiance certifie le fait, la preuve écrite – une lettre de Benoît XVI – est localisée précisément en deux endroits, et il ne manque que l’occasion de l’exhumer des archives.

 

---> L’œuvre de Maria Valtorta n’est pas un roman, mais une révélation privée. 

Elle doit donc être discernée comme telle par l’Église, qui a reçu le charisme du discernement des esprits.

 

il ne peut y avoir que trois solutions.


1 ) L’unique plausible : celle d’une prophétie authentique,

 car conforme au jugement positif initial de Pie XII et de son entourage fidèle, qui appelle donc une annulation pure et simple de la cabale fomentée depuis le début par le décadent ex saint-office : mais c’est chose déjà faite par la parole ferme et claire du pape Pie XII, confirmée par celle de Benoît XVI et par celle de tant de saints et bienheureux ;

 

2 ) Celle, inenvisageable, d’un texte mêlant prophéties authentiques et impressions subjectives ou additions personnelles, dont il faut apprécier la qualité, 

Maria Valtorta nous livre ses visions en direct sans aucun intermédiaire, et sous la haute surveillance du Christ, à la différence des révélations d’Anne-Catherine Emmerich, dont le témoignage littéraire est compliqué du prisme personnel de leur auteur, Clemens Brentano ;

 

3 ) celle, complètement farfelue, d’une fausse prophétie, 

tant il faudrait être tordu ou dominer par le malin pour ne pas se rendre compte de son inspiration divine.



 

---> Ce texte, qualifié par don Berti de « vie de Jésus magnifiquement romancée, excellemment romancée, artistiquement romancée ! » 

- mais seulement dans le cas où l’on tiendrait absolument à qualifier l’œuvre de « roman », ce qu’elle n’est en aucune façon - pour répondre aux jugements fallacieuses des auteurs de la critique de 1958, devrait au grand minimum être considéré comme inoffensif, même par les esprits les plus chicaneurs, car il est impossible d’y déceler la moindre modifications dans la doctrine et la tradition de l’Église.

 

---> Sur plusieurs médias catholiques, des études critiques de qualité, abordant l’Œuvre sous l’angle de la doctrine ont été récemment publiées pour répondre à ces trois articles diffamatoires. 

 Don Guillaume Chevallier a lui-même été récemment vertement rappelé à l'ordre par un supérieur de la hiérachie catholique à ce sujet.

 

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