Conclusion du premier article ( suite et fin ) - avis de la sainte Église sur l’œuvre de Maria Valtorta 

"Méfiez-vous des faux prophètes qui viennent à vous déguisés en brebis, alors qu’au-dedans ce sont des loups voraces. C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez." ( Matthieu 7,15 )

" Cette tentative d’emprise spirituelle, par voie littéraire, dure depuis le milieu du siècle dernier. "
 

---> Effectivement, en dépit de son abolition qui la rend désormais caduque, et bien qu’elle n’ait pas laissé la moindre trace dans les actes du Saint Siège, cette tentative d'emprise spirituelle du « Saint Office » dure déjà depuis bien trop longtemps.

---> Et celle initiée par DGC dure quant à elle depuis seulement quatre ans : il fallait donc sans plus attendre y porter remède.
 

" Le jugement d’un certain nombre de lecteurs, par une sorte de sidération, est suspendu ou même altéré pour ne plus discerner l’inacceptable. "

"Un certain nombre de lecteurs" : dont notamment le vénérable pape Pie XII, le saint padre Pio, le bienheureux don Allegra, Mgr Carinci de sainte mémoire, Mgr Roschini le plus grand mariologue du XXe siècle, etc, etc : mais quel incroyable faire valoir pour notre jeune théologien tout frais sorti de l'oeuf, que de moucher ainsi tout ce beau monde d'un seul coup d'un seul ! Mon Dieu mon Dieu, mais quelle promotion cela représente pour lui ! On voudrait pouvoir en rire, si cela n'était pas tout simplement pathétique de la part de l'auteur. "Sidérant" ! Voilà le mot.

---> Nous n’avons lu dans les articles de DGC que sophisme, sur sophisme, sur sophisme… des morceaux déformés et caricaturés de l’œuvre sans aucune honnêteté intellectuelle, une méconnaissance navrante de la psychologie humaine de base, et strictement rien d’inacceptable dans l'oeuvre, vue à travers la multitude des citations qu'en fait l’auteur dans ses articles.

---> On est donc en droit de se demander qui veut mettre ici ses lecteurs sous emprise, tel un véritable gourou, en usurpant l’autorité morale de l’Église. Car personne n'emploie des sophismes, comme le fait constamment l'auteur, si réellement il défend la vérité.
 

" Les suggestions de Maria Valtorta sont de nature à fausser les voies de la vie spirituelle et à endormir le discernement des fidèles, les rendant potentiellement vulnérables à toutes sortes d’autres abus spirituels. "

 

---> Don Guillaume Chevallier est la victime (consentante ?) de l’emprise spirituelle de J.Bouflet : homosexuel sataniste, faux disciple autoproclamé de padre Pio, destructeur de l’Église, persécuteur de vrais mystiques, et secrètement faux-mystique lui-même.

---> Par contre, la Voie de Dieu se faisant entendre par sa petite secrétaire ne procède pas par le moyen de l’emprisemais par celui de la Lumière qui resplendit dans l’Évangile éternel, et nous aide à bien discerner de tout.
 

 

" Il importe pour cette raison que le jugement de l’Église sur l’Évangile tel qu’il m’a été révélé, soit connu et pris en considération. Seule l’autorité de l’Église peut se prononcer sur ce qui se présente comme une prophétie au moins égale aux textes révélés. "
 
 

---> L'auteur crée volontairement ici la confusion entre :

1 ) Les opinions d'un moment au sujet de l'oeuvre, comme celle du Saint Office relayée par l'"Osservatore Romano" du 6 janvier 1960, celle du père Guiseppe Caprile relayée par la "Civilta Cattolica" du 1er juillet 1961, qui évoluèrent positivement au fil du temps, ne représentant donc rien de décisif,

2 ) et l'opinion de l'Eglise au sujet de l'oeuvre, ne pouvant contredire l'autorité suprême : S.S.Pie XII, dont nous sommes sûrs et certains que l'opinion fut très clairement positive, grâce à sa propre déclaration enthousiaste donnée lors de l'audience qu'il accorda aux postulateurs le 26 févier 1948, et au témoignage écrit de son confident intime, Mgr Carinci, lui aussi enthousiaste.

---> D'autre part, l'Eglise n'aurait jamais béatifié dom Gabriel Allegra, tout en réprouvant le fait qu'il ait défendu haut et fort l'oeuvre de Maria Valtorta, contre ce qu'en avait dit le saint Office : si réellement cela constituait de sa part un acte de défit contredisant l'opinion de l'Eglise, la sanction aurait été immédiate.

---> L'auteur, déjà réfuté sur ce point dans le premier volet, ment effrontément lorsqu'il prétend que l'EMV serait présentée comme "un cinquième évangile au moins égal aux textes révélés":

---> Dans une dictée du 17 octobre 1944, où Jésus répondait aux objections et aux idées de Guiseppe Belfanti, alors encore imprégné des thèses du spirite Pietro Ubaldi, notre Seigneur dit :

(...) (...)
"Et venons-en au soi-disant « cinquième Évangile » (l’EMV, ndt). Les Évangiles sont au nombre de quatre. Maintenant, je les illustre pour conduire d'autres personnes à la lumière qu'ils ont perdue ou diminuée. Mais je ne crée pas un autre Évangile. Les Évangiles sont ce qu'ils sont et ils le resteront. Connus dans les détails ou laissés dans les grandes lignes, ce sont eux, et il n'y a rien de plus." (...)

---> Les no 66 et 67 du catéchisme de l'Église catholique fournissent la clef de lecture de l'EMV :

66 " l’économie chrétienne, étant l’alliance nouvelle et définitive, ne passera donc jamais et aucune nouvelle révélation publique n’est dès lors à attendre avant la manifestation glorieuse de notre Seigneur Jésus-Christ " (dv 4). Cependant, même si la révélation est achevée, elle n’est pas complètement explicitée ; il restera à la foi chrétienne d’en saisir graduellement toute la portée au cours des siècles.

67 Au fil des siècles, il y a eu des révélations dites " privées ", dont certaines ont été reconnues par l’autorité de l’Eglise. Elles n’appartiennent cependant pas au dépôt de la foi. Leur rôle n’est pas d’ "améliorer" ou de "compléter" la révélation définitive du Christ, mais d’aider à en vivre plus pleinement à une certaine époque de l’histoire. Guidé par le magistère de l’église, le sens des fidèles sait discerner et accueillir ce qui dans ces révélations constitue un appel authentique du Christ ou de ses saints à l’Église.
La foi chrétienne ne peut pas accepter des "révélations" qui prétendent dépasser ou corriger la Révélation dont le Christ est l’achèvement. C’est le cas de certaines religions non chrétiennes et aussi de certaines sectes récentes qui se fondent sur de telles "révélations" ( pensons par exemple aux mormons, ou aux témoins de Jéhovah, ndt ).

---> Or l'EMV n'apporte absolument rien de nouveau à la Révélation, ni aucune correction, quelles que puissent être les arguties frivoles de ses détracteurs.



" C’est contre cette autorité salutaire de l’Église que Maria Valtorta a laissé de nombreux éléments « immunisants » dans son texte. "
 
 

---> Jamais les "docteurs de la chicane" comme les appelle le Christ, et les autres pharisiens modernes n’ont obtenu l’honneur d’être appelés « autorité salutaire de l’Église », même s'ils le revendiquent frauduleusement.

---> Par contre, le pape est le représentant indéniable de cette autorité, et s’étant prononcé en faveur de Maria Valtorta, il ne peut plus être contredit.

---> Jésus ayant prévu d’avance les nombreuses attaques suscitées par le Démon contre son œuvre, il est assez simple de comprendre qu’Il en ait pris Lui-même la défense par des arguments que DGC se montre absolument incapable de contrecarrer.

---> De plus, est-ce qu'un pape tel que Pie XII se serait laissé influencer par des "éléments immunisants", alors qu'il aurait dû se prononcer sur l'orthodoxie d'une oeuvre ? Certainement pas. Pie XII, et de nombreuses autres personnalités éminentes de l'Église tel le bienheureux dom Allegra, bibliste chevronné, traducteur des Écritures saintes en chinois, et Mgr Roschini le plus grand mariologue du XXe siècle, n'étaient ni influencés, ni "mis en état de sidération", lorsqu’ils ne tarissaient pas d’éloge en faveur de l'oeuvre de Maria Valtorta.

---> Et comme le dit si bien François-Michel Debroise dans sa réponse à DGC : "Eux, parlent depuis leur chaire, Guillaume Chevallier depuis son banc."

 

 

" C’est cette autorité, constamment relativisée par des arguments superficiels, que ses éditeurs et ses défenseurs bafouent. "
 
 

---> L'auteur évoque ici l'opinion de 1960 du Saint Office - qui évolua ensuite positivement, notamment sous l'impulsion de Mgr Roschini qui en faisait parti -.

---> Or cette opinion était une grave désobéissance au pape lui-même, la preuve en est que si le saint Office mettant l'oeuvre à l'index avait vraiment eu la conscience tranquille, il n'aurait pas d'abord rongé son frein comme il le fit pendant dix ans ! Il aurait agit immédiatement, sans rien craindre du pape.

---> Mais alors, comment expliquer un tel délai ? C'est tout simplement que, muselé par le pape Pie XII grand défenseur de l'oeuvre, le saint Office attendait patiemment sa mort survenue en 1958 pour pouvoir agir enfin à sa guise, à l'abri - pensait-il à tort - de toute réprobation.

---> Cette attente plus que douteuse du saint Office signe donc aux yeux de tous sa forfaiture : cette mise à l'index était en réalité l'oeuvre de mafieux, et non de vrais censeurs catholiques qui n'auraient jamais procédé ainsi, en opposition au pape, craignant d'être publiquement réprimandés par lui, et souhaitant échapper à son contrôle. Nous allons voir un peu plus loin à quel point ses actions peuvent être qualifiées à juste titre de criminelles, et que cet organisme mérita très largement d'être dissout, quelques années plus tard.

---> Son avis frelaté sur l'oeuvre de Maria Valtorta n'a donc strictement aucune valeur, et ne reflète évidemment pas l'opinion de l'Eglise.

---> Ici, on peut réellement dire que c’est l’auteur qui bafoue la vérité à l’aide d’une vulgaire inversion accusatoire : rien n’est plus superficiel et inexact que l’ensemble de ses trois articles dans lesquels il se contrefiche de l’autorité papale, tout comme ses mentors mafieux du siècle dernier.

---> DGC a clairement fait son choix, se ralliant à ceux qui ont persécuté Maria Valtorta sans même l’interroger, et contre l’avis du pape, produisant une accusation digne des pires systèmes d’oppression communiste.

---> Apporter la preuve que Pie XII était favorable à l’œuvre n’est pas donner « un argument superficiel » qui « bafouerait l’autorité ».

---> Or nous en avons la preuve écrite des mains de Mgr Alfonso Carinci, le plus intime confident de Pie XII. Par ses fonctions, il eut à superviser 200 procès en béatification et 62 en canonisation, dont celui de saint Pie X, dont il fut également le confident intime. C’est lui qui, dans sa correspondance, atteste du soutien que Pie XII apporta à l’œuvre de Maria Valtorta et remercie « le Seigneur de nous avoir donné par l'intermédiaire de cette femme qui a tant souffert, qui est clouée au lit, une œuvre littérairement sublime, doctrinalement et spirituellement si élevée ».

---> Nous en avons également une preuve éclatante en ce que, après avoir lu l'oeuvre dans son intégralité pendant une année - au dire de ceux qui surveillaient le marque page sur sa table de nuit -, il persista néanmoins à vouloir accorder une audience à ses postulateurs, chose impensable si son avis avait été défavorable : il aurait alors délégué cette basse besogne à un quelconque exécuteur.

---> Mais qui bafoue l’autorité légitime de l'Eglise, ici ?

 

 

" Il revient aux pasteurs de l’Église d’expliquer ces choses, pour prévenir les fidèles contre de telles lectures. "

 

---> À quels « pasteurs de l’Église » l’auteur se réfère ici ? Il semble assez évident que cela soit à ceux qui, après l’avoir persécuté, tentèrent d’interdire les livres parlant du padre Pio, et dont les prédécesseurs avaient réussi à faire interdire les ouvrages de saint Jean d’Avila : nous parlons ici de ceux de l’ex « Saint Office » qui tentèrent également de violer Mlle Luigina Sinapi, une âme privilégiée bien connu de Pie XII, envoyée vers eux pour faire cesser leur persécution à l’encontre de l’EMV.

---> Il faut que les pasteurs de l'Eglise lisent à ce sujet la chronologie sans concession des faits, réalisée par François-Michel Debroise sur son site très documenté et qualitatif dédié à Maria Valtorta, pour qu'ils évitent de donner trop vite leur crédit à des gens sans foi ni loi, persécuteurs du padre Pio, de mère Yvonne-Aimée de Malestroit et d'autres saintes personnes, n'ayant même pas mis à l'index "Mein kampf" ni "le petit livre rouge", mais dont les prédécesseurs n'avaient pas manqué de condamner toute l'oeuvre de saint Jean d'Avila,

des gens qui allèrent jusqu'à vouloir violer la petite âme privilégiée Luigina Sinapi ( bien connue de Pie XII ), dans le but de la faire taire, car elle était venue défendre devant eux l'oeuvre qu'ils combattaient si injustement.

La publication de l'oeuvre : 70 ans de rebondissements
L'irrévérence institutionnelle des censeurs
 

 

" Il convient également de s’interroger : à quels besoins légitimes la prédication ordinaire ou la formation chrétienne ne répondent-elles pas ? "

 

---> Quelle nouvelle !! DGC ferait-il donc des sermons d'une sagesse aussi sublime que ceux que nous lisons continuellement dans les dix tomes de l'EMV ?! Mais alors, il faut incontinent les publier en plusieurs langues, afin que le monde entier puisse être illuminé par tant de sagesse s'écoulant de sa bouche ! Comment laisser se perdre pareil nectar sans réagir ? Cependant, à mon avis : il n'en est rien. S'ils ne sont pas publiés, c'est qu'ils sont d'une banalité très attendue, faute de provenir d'un esprit d'exception.

 

---> Ce fut exactement le même argument que produisirent les détracteurs des révélations du Sacré-Cœur à sainte Marguerite-Marie Alacoque, pour justifier de leur hostilité à ce Message céleste dont ils prétendaient n’avoir nul besoin, se mettant ainsi à la place de Dieu Lui-même pour juger de tout à sa place.

---> Comme nous l’avons déjà dit , si DGC n’a que peu de chose à dire et évite absolument les trop longs sermons, c’est que n’ayant qu’assez peu d’amour dans le cœur pour les fidèles, il n’a que peu de nourriture spirituelle à leur donner. Tel n’est certainement pas le cas de notre Éternel Grand Prêtre et Seigneur Jésus Christ, qui « ayant pitié des foules parties à sa recherche, se mit à les enseigner longuement » (Marc 6,30)


" Quel sentimentalisme ne parvient-elle pas à évangéliser ? "
 

 

---> "Sentimentalisme" devrait donc désigner ici tout ce qui dans le récit de l'EMV dépasserait les seuls formes littéraires des quatre Evangiles, le Credo, et la somme théologique de saint Thomas d'Aquin. 

---> C'est donc extrêmement curieux d'entendre par ailleurs don Guillaume Chevallier décrire sur RCF la formation des prêtres au séminaire d'Evron comme "une formation humaine complète", comprenant du foot, des jeux, des sorties, des visionnages de films, des fêtes, des moments fraternels, des insertions paroissiales, des accompagnements de jeunes etc.. : alors que selon le principe dégécien, tout ce qui dépasse les seules études philosophiques et théologiques devrait être éradiqué de la vie des séminaristes, puisque cela serait sensé n'être que du "sentimentalisme" inutile ! L'auteur est en pleine contradiction avec lui-même. 

 

---> L'auteur appelle « sentimentalisme » tout ce qui lui rappelle un peu trop l’Amour assumant l'Incarnation.

---> Or le Verbe n’est pas venu pour nous désincarner, mais pour nous sauver du péché, en nous rejoignant dans notre humanité, jusqu’à mourir sur la Croix. Il a voulu pour ses disciples une véritable formation humaine, qui dépassait de très loin la tâche de scribes chargés de regarder et écouter de loin ce qu'Il disait et faisait. 

---> Au nom de quel dogme les proches du Christ auraient dû être moins formés humainement que des séminaristes d'Evron ? On se le demande bien.

 

 

" Le peuple de Dieu a besoin d’une représentation vivante et concrète de la vie du Seigneur dans son contexte géographique et culturel, qui fasse place au quotidien et à la vérité de cette vie humaine d’un Dieu incarné, silencieux pendant trente ans. "

 

 

---> Alors qu'il ne craint pas de le faire sur RCF, il est significatif que DGC peine à avouer ici dans son article qu'il préfère à la représentation vivante et concrète de la Vie du Seigneur, à la sureté théologique, à l'exactitude surnaturelle de l'oeuvre de Maria Valtorta le visionnage décevant de "The Chosen", série médiocre réalisée par le protestant évangélique Dallas Jenkins, bourrée d'inexactitudes et d'inconvenances propres à le rassurer, car cela lui ouvre la possibilité de se répandre en commentaires qu'il juge surement très intéressants.

---> DGC pense probablement que par sa merveilleuse exactitude, l'EMV lui couperait toute possibilité d'y ajouter ses commentaires et explications personnelles ? Mais alors, comment ce fait-il qu'il commente en tant que prêtre les quatre Evangiles au moins tous les dimanches, alors que ceux-ci sont exacts ? L'auteur nage en pleine contradiction depuis le début de ses articles.

 

---> Le peuple de Dieu a besoin de lire « l’Évangile tel qu’il m’a été révélé », avec l’assurance que cette révélation privée vient bien du Ciel. Il a besoin de prêtres qui l’aient lu et s’en inspirent dans leurs sermons. Il a besoin de le faire lire à leurs enfants, petits et grands, pour se fortifier dans la pratique des vertus.

 

 

" Il a besoin d’un enseignement élaboré sur les fins dernières, sur les voies de la vie spirituelle, sur la place et la purification de l’affectivité dans la relation à Dieu et dans les relations humaines. "

 
 

---> Et en plus de tout cela, il a besoin d'une formation humaine et spirituelle complète, celle que le Seigneur reprochait aux scribes et aux pharisiens de mépriser cordialement, du haut de leur science desséchante pour le coeur. 

---> Il a donc besoin de lire et relire « l’Évangile tel qu’il m’a été révélé », ce pur froment du Ciel adapté à tous ses besoins spirituels, afin de mieux comprendre l’Évangile et de se convertir au Christ jusque dans les profondeurs de son affectivité et de toutes ses passions, par sa relation à Dieu et aux hommes.

---> Il n'a nul besoin de déformer son jugement en visionnant des séries évangéliques médiocres comme "The Chosen", ce que lui recommande pourtant l'auteur mal inspiré.
 

 

" Il a besoin d’un enseignement sur le Verbe fait Chair et sur la Trinité, qui le conduise à comprendre ce qui peut l’être et à adorer. "

 

---> Or il ne reçoit cet enseignement que de manière extrêmement parcimonieuse, au compte goutte, de la part des prêtres qui sont le plus souvent mal formés, et pas à la hauteur de leur tâche immense ! 

---> Il a donc grand besoin qu'on l'encourage à lire et relire « l’Évangile tel qu’il m’a été révélé », en qui toute la vraie théologie devient accessible sans aucune source d’erreur, ce qui le portera à la vraie adoration du Verbe fait Chair et de la sainte Trinité, en esprit et en vérité.

 

" Des lecteurs et admirateurs de « l’Évangile tel qu’il m’a été révélé » seront sans doute blessés par cette critique, mais, s’ils l’acceptent, ils seront certainement libérés. "

 

---> Suivons donc le bon conseil de DGC, et regardons "The Chosen", cette série protestante hérétique sur la Vie du Christ : c'est le meilleur chemin de libération que DGC ait pu trouvé pour nous ! Et abandonnons cette incroyable source de grâce céleste qu'est l'EMV, donnée par Dieu pour nous libérer des erreurs qui foisonnent de nos jours sur le Christ, jusque dans l'Eglise catholique ! 

---> Outre le fait qu’ils en seront effectivement blessés ( mais surtout navrés pour DGC ), ils seront très justement scandalisés par cette critique odieuse et mensongère sur toute la ligne, indigne en tout point d’un père spirituel, et d'un chrétien tout court.

---> Mais lorsqu’on est privé comme DGC de sa liberté de discernement par l’emprise d’un gourou - en l'occurence : Joachim Bouflet - on ne peut pas ensuite prétendre être un père spirituel, ni être le libérateur de quiconque, il ne faudrait pas non plus tout inverser.

 

 

" En reconnaissant la vérité du jugement de l’Église, prononcé peu après la publication de l’œuvre... "

 

 ---> Impressionnante confusion de l’auteur, puisque l’Église n’a jamais revendiqué ce jugement comme étant le sien : seul le journal "l'Osservatore Romano" du 6 janvier 1960 l'a relayé, rien de plus. L'auteur confond "jugement de l'Église" et "article journalistique".

 

---> De même, son secrétaire attribua faussement au cardinal Ratzinger - alors préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la foi - les propos incongrus sur l'EMV qui étaient en réalité ceux du père Caprile, et qui furent publiés dans le 'Civilta Cattolica" du 1er juillet 1961, un journal dont l'opinion changea ensuite pour devenir très favorable à l'EMV, réprimandant les détracteurs. 

---> Aucune de ces opinions journalistiques du moment ne représentèrent le jugement de l'Eglise, pas plus que la récente opinion de Tucho, pornographe officiel du Vatican - alias "monseigneur Fernandez"-, auteur de mauvais livres pour adulte, et devenu par une abomination incompréhensible chef du Dicastère pour la Doctrine de la Foi. 

---> En février 2024, François envoyait la lettre édifiante, retranscrite en page d'accueil de ce site, et adressée à don Zucchini, principal promoteur de l'oeuvre en Italie.

 

... , ils limiteront les conséquences d’un soupçon longuement entretenu sur le magistère et sa mission de vérité et de miséricorde. "

 

---> Ceux de l'ex Saint Office qui allèrent jusqu'à menacer de viol la petite âme privilégiée Luigina Sinapi afin de la dissuader de prendre la défense de Maria Valtorta, c’est-à-dire les mêmes qui employèrent des méthodes d'intimidation purement mafieuses pour empêcher successivement trois prélats catholiques d'accorder l'imprimatur à l'EMV, ne représentent ni le Magistère, ni sa mission de vérité et de miséricorde : on ne peut pas comme eux se comporter en vulgaires criminels, et prétendre ensuite être la voix de l'Église.

---> Plusieurs papes : Pie XII, Paul VI, Jean-Paul II, Benoît XVI et tout récemment François, se prononcèrent en faveur de l’EMV sans aucune contestation possible. C’est dire le peu de cas qu’il nous faut faire du torchon accusatoire de l'ex Saint Office, qui manqua tellement à son rôle qu’il finit peu d’années après par être purement et simplement dissous, sans que cela ne provoque la moindre vague d’étonnement parmi les cardinaux, qui connaissaient tous ses nombreux méfaits.

---> Ce n'est pas par respect pour le torchon de l'ex Saint Office que le bienheureux don Allegra publia très peu de temps après sa fameuse "apologie de l'oeuvre de Maria Valtorta". Les membres de l'ex Saint Office ne furent pas proclamés bienheureux, lui si. Entre les deux, le choix est vite fait.

 

" Il faudra encore qu’ils s’efforcent de parcourir un chemin de purification de la mémoire et de l’imaginaire pour que ne se présentent pas spontanément à l’esprit, quand on proclame l’Évangile, les descriptions et les situations interpolées par Maria Valtorta. "
 

---> Au nom de quoi les apôtres auraient-ils dû "se purifier la mémoire" de leurs inévitables et abondants souvenirs de leur longue proximité avec le Christ ? Tous ces souvenirs qui faisaient dire à saint Jean que le monde entier ne suffirait pas à contenir les livres qu'on pourrait écrire sur Jésus ! 

---> Mais suivons donc le conseil "sage et avisé" de DGC, dépouillons-nous de ce puits sans fond de vérité évangélique qu'est l'EMV, et remplissons-nous l'esprit des hérésies véhiculées par la série protestante "The Chosen", comme il nous le recommande : désolé, mais c'est le seul "chemin de libération de l'imagination" que notre gourou a pu nous dénicher, il n'a pas trouvé mieux pour nous, hélas ! Nous sommes passés juste à ça de bien connaître le Christ, en accueillant comme il se doit une authentique révélation privée.

---> Combien de chrétiens aujourd'hui n'écoutent régulièrement et avec fruit les quatre Evangiles au cours de la Messe, que parce qu'ils ont eu la chance de les redécouvrir par l'intermédiaire de l'EMV, ce qui les a ramenés dans le sein de l'Eglise catholique ? Comment un si mauvais arbre pourrait-il porter des fruits aussi suaves ?

---> D'autre part, est-ce qu'un roi qui ferait visiter à ses hôtes toutes les magnificences de son domaine royal, ses jardins magnifiques, ses écuries, ses terrains de chasse, qui permettrait de rencontrer les gens de sa cour, de leur parler, de manger avec eux, et qui autoriserait ses invités à participer de tout près à sa vie quotidienne, serait par la suite moins honoré par ceux qui auraient profité de ses généreuses prodigalités ? N'est-ce pas plutôt exactement l'inverse qui se produirait ? Car plus on est bon, plis on est aimé en retour.

---> Est-ce que ces gens ne penseraient plus alors qu'aux arbres, aux animaux, aux superbes bâtisses du domaine royal, et non plus au roi en personne qui les y aurait invité ? 

 

 

" C’est à ce prix seulement qu’ils pourront, avec l’aide de Dieu, trouver ou retrouver un sens authentique de l’Incarnation du Verbe et de nouveaux réflexes de discernement. "

 

---> Ce n'est certainement pas en oubliant leur vécu avec le Christ, que les apôtres purent "retrouver un sens authentique de l'Incarnation du Christ" ! Si les évangélistes choisirent de n'en dirent pas plus sur la Vie du Verbe Incarné - alors qu'ils en avaient largement la capacité -, c'est que leur but n'avait strictement rien de commercial, mais était uniquement de transmettre l'essentiel de la foi en Jésus-Christ au monde entier. S'ils avaient voulu devenir très riches, alors ils auraient pu profiter de leur incroyable célébrité personnelle pour écrire et éditer leurs abondants souvenirs, et les vendre avec succès ! 

---> Mais si vendre des bons livres sur le Christ représente aujourd'hui un très grand bien, et est voulu par Dieu à notre époque qui a tant besoin de retrouver ses repères - sans que cela soit un facteur d'enrichissement extraordinaire - , telle n'était pas la vocation des premiers messagers de la Bonne Nouvelle : les miracles qu'ils accomplissaient au nom du Christ et les Saintes Ecritures leur suffisaient pour embraser le monde.

---> Aujourd'hui, au coeur du grand combat que livre le démon pour éteindre en nous la vraie foi, Dieu prend l'initiative de nous donner ces révélations privées, dans son Amour infini, car Il juge que c'est le meilleurs moyen de nous ramener à Lui au plus vite.

---> Ainsi, don Guillaume Chevallier a lui-même choisi de devenir un authentique négateur de la Vérité, et de se mettre en guerre ouverte contre Dieu et contre son Christ.

 

---> Son discours est quasiment celui d'un négateur de l'Incarnation du Verbe ! cf volet 13. Rien n'est moins sûr que DGC puisse en retrouver un jour un sens authentique et un discernement sûr, tant il en est éloigné aujourd’hui.

---> Quant à l’abbé Guy Pagès, voici le témoignage ultime qu’il donna lors d’une journée nationale sur Maria Valtorta :

« Si le Jésus de « l’Évangile tel qu’il m’a été révélé » reçu par Maria Valtorta n’est pas réellement le Jésus de Nazareth, le Sauveur né de la Vierge Marie à Bethléem il y a 2000 ans, le Fils de Dieu fait Homme dont parlent les Évangiles, alors moi, Guy Pagès, je ne connais pas le Christ ! »

---> Citons encore une fois l’excellent livre biographique sur Maria Valtorta de don Ernesto Zucchini :

" ( ... ) Ces visions de Maria Valtorta, qu'on peut qualifier de "visions ignaciennes", parce que, comme enseigne ce saint dans les exercices spirituels, Maria voyait les personnages et les lieux ; elle observait ce que faisaient les diverses personnes, elle entendait les paroles et les dialogues en plus des bruits, sons et musiques ; de plus - et ceci est spécifique à Maria Valtorta - elle percevait les parfums et les conditions de l'environnement. Elle était présente dans chaque situation.

Il faut préciser que dans les exercices de saint Ignace, il y a les "applications des sens", dans lesquelles l'exercitant est guidé à goûter avec ses cinq sens physiques tout ce qui se produit dans la contemplation elle-même.

Nous pouvons donc affirmer que tout ce que saint Ignace demande à l'exercitant de réaliser simplement avec ses propres forces, Maria Valtorta l'obtient par don, c'est-à-dire sans effort de volonté pour recréer des environnements, des lieux, des personnes et des gestes. Elle devait seulement accepter, le reste venait d'en haut. C'était comme si Maria Valtorta vivait continuellement dans les exercices de saint Ignace de Loyola. ( ... )"
("Maria Valtorta, sa vie, ses visions, sa croix", p.99 )

---> Notons enfin qu'à l'exception de celle révélée à Maria Valtorta, il n'existe pas à ce jour une seule « vie de Jésus », qui soit véritablement cohérente en tout point avec les Évangiles.

 

 

" Buvant aux sources pures de l’Écriture et de la Tradition, des grandes figures spirituelles qui ont prêché le Christ vrai homme et vrai Dieu – pensons à saint Bernard, à sainte Catherine de Sienne – ils pourront enraciner leur spiritualité eucharistique et mariale dans de plus solides fondements. "


---> Or, si saint Bernard et sainte Catherine de Sienne sont effectivement  "de sûrs fondements", c'est qu'ils ont tout reçu du Christ, pour nous le donner : ce que fit humblement à son tour Maria Valtorta, sans rien inventer par elle-même. Et ainsi, seul le démon cherche sans succès à opposer ce qui nous vient de Dieu, avec ce qui nous provient de la même Source pure et céleste.


---> Avec l’EMV, nous nous plongeons avec bonheur et simplicité dans la grande tradition des Exercices de saint Ignace de Loyola, qui nous apprennent à mieux lire l’Évangile.

---> Si vraiment DGC connaissait saint Bernard autrement qu'en parole, nous avons déjà vu qu'il n’en viendrait pas à attaquer si injustement l’EMV.

« Boire aux sources pures de l’Écriture et de la Tradition, des grandes figures spirituelles qui ont prêché le Christ vrai homme et vrai Dieu », c'est tout simplement suivre les traces de Maria Valtorta elle-même !

---> En effet, elle chérissait particulièrement l'oeuvre de Jan van Ruysbroeck, bienheureux mystique rhéno-flamant, disciple de maître Ekhart, car elle y retrouvait les mots qui parlaient le mieux de sa propre vie intérieure,
elle connaissait également bien :
- sainte Thérèse d'Avila ( « le Chemin de la Perfection ») ,
- sainte Catherine de Sienne,
- saint François d'Assise,
- saint Jean de la Croix,
- soeur Benigna Consolata,
- la petite sainte Thérèse de Lisieux,
- etc.

---> Et ce n’est certainement pas elle qui nous dira d’abandonner ces saintes lectures, ni celle des quatre Évangile ! Lisons à ce propos un extrait de sa biographie par don Ernesto Zucchini :

« (...) Jusque là, Maria Valtorta n'avait jamais possédé ni lu les Évangiles. Au début de 1924, elle découvrit à la maison, apporté quelques années plus tôt par son père, l'Évangile de saint Luc. Ce fut une vraie découverte. L'année suivante, 1925, elle acheta les quatre Évangiles. Dès lors, elle ne les abandonna plus :

" Je n'ai plus jamais su me séparer de l'Évangile. C'est le pain quotidien de mon esprit. Je n'ai même plus besoin de le lire, car je le connais par cœur mais cependant je le relis parce que j'y trouve toujours un nouvel enchantement.
Quand je me sens si mal, quand j'ai très peur de quelque chose, je me mets le petit volume des quatre Évangiles, acheté au début de 1925, sur le cœur, et je n'ai plus peur de rien. Il me semble que Jésus, de ces pages, me dit : "Ne crains pas", et aux choses : "Ne faites pas de mal à cette femme" ...
(...)
" Mais l'Évangile ! Si j'ai un doute, une mélancolie, je prie le Saint-Esprit, pour qui j'ai beaucoup de dévotion, et puis j'ouvre au hasard l'Évangile. Je trouve toujours la Parole qui me réconforte, ou m'illumine, ou répond au pourquoi qui m'assaille. »

---> DGC devrait veiller attentivement à ne pas mériter, par son opiniâtreté dans ses mauvaises dispositions, que le Christ lui adresse les mêmes reproches qu’au père Migliorini, ancien père spirituel de Maria Valtorta :

Cahiers de 1945-50, p.399-400, p.430-431 :

( Jésus ) "Toi, Romualdo (don Migliorini), tu n'as été pour mon instrument ni un père, ni un directeur spirituel, mais un parâtre et un tentateur. (...)

Toi, un père pour Maria ? Non. Tu l'étais. Puis, très vite, Satan a circonvenu ta paternité et l'a altérée. De spirituelle qu'elle était, il l'a changé en matérielle : tu n'es plus devenu bon que pour les choses de la terre. Ensuite, au fur et à mesure que Satan resserrait les liens autour de toi, tu as même cessé d'être paternel en ce qui concernait la chair de cette personne, et tu es seulement devenu rigoureux, dur, mordant.

Directeur spirituel, toi ? Non. J'ai dû redresser la barre et la voile de cette pauvre âme, car ta conduite était un aquilon qui la déroutait et la portait à se heurter aux écueils de certaines connaissances, de certaines déceptions que je voulais lui épargner pour ne pas scandaliser cet enfant qu'est mon petit Jean, qui croyait fermement que tout prêtre est un autre Christ.

Un autre Christ ! En vérité, si J'avais été comme cela, Je n'aurais certainement pas attiré à Moi le doux André, ni Jean, l'aimant !

En vérité, si J'avais été comme toi, Je n'aurais pas attiré à Moi les enfants, les pécheurs ou les païens. Ne t'est-il pas cuisant comme une brûlure de penser : J'ai détruis l'œuvre de mon Seigneur, qui avait ramené les Belfanti à l'Église, au sacerdoce" ?

Pierre, lui, a du moins pleuré sur le scandale qu'il avait causé la nuit de ma capture, jusqu'à en avoir les joues creusées. Mais toi ! " (...)

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---> Concluons ce chapitre par une prière :

" Seigneur, donnez-nous de saints prêtres, beaucoup de saints prêtres, capables de discerner vos divines inspirations, et à en nourrir vos enfants sans les en détourner ! Et puissiez-vous délivrer le pauvre don Guillaume Chevallier, votre fils, de l'esprit rebelle à votre Volonté qui le domine jusqu'à aujourd'hui, lui faisant nier la réalité de l'Incarnation du Verbe, dont témoigne unanimement les saints apôtres." 

Amen +

 

 

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