Conclusion du premier article : les grossiers mensonges de don Guillaume Chevallier

"Méfiez-vous des faux prophètes qui viennent à vous déguisés en brebis, alors qu’au-dedans ce sont des loups voraces. C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez." ( Matthieu 7,15 )

DGC 
" Conclusion : l’œuvre de Maria Valtorta nous met en présence d’une forme particulière d’abus spirituel, à deux niveaux. D’abord, dans le domaine proprement religieux. Malgré quelques précautions littéraires, le texte atteste – mensongèrement – d’un processus de rédaction d’origine divine. "
 
 

---> DGC entre à présent dans la pure imitation du faux jugement appelant une sentence injuste sur le Christ ( Matthieu 26, 65-66 ) :

---> ayant été incapable de nier par ses sophismes l'origine surnaturelle de l'œuvre, il en tire pourtant une « conclusion ». Mais que conclure lorsque comme lui, on n’a rien dit de vrai ?

Si le texte contient l'attestation qu’il est d’origine divine :

---> c’est bien sûr que le Christ n’est pas un menteur, et ainsi ne peut rien dire d'autre que la vérité,

---> et c’est le lecteur de bonne volonté qui le découvre tout seul, sans même avoir besoin de cette attestation destinée aux seuls récalcitrants :

---> de même que le spectacle de la Création amène naturellement à la certitude de l’existence d’un Dieu Créateur unique, sans avoir nécessairement besoin de lire sa signature divine ( "Dieu" ) gravée sur l'écorce d'un arbre, sur une pierre ou encore écrite dans les nuages, de même la lecture de l’EMV amène naturellement à la certitude de son origine divine ;

---> et les nombreux examens théologiques et scientifiques de l’œuvre réalisés depuis confirment ce que dit Mgr Maurizio Raffa : « Pour écrire une seule partie de l’Œuvre de Maria Valtorta, il faudrait être un auteur (qui n’existe pas aujourd’hui) tout à la fois poète, bibliste talentueux, théologien confirmé, expert en archéologie, en topographie, en astronomie, en zoologie, en botanique etc, et profond connaisseur de la psychologie humaine. »

---> Rien ne peut expliquer une telle œuvre à ce point exacte et sans erreur théologique, venant d’un auteur sans aucune culture biblique, sans connaissances scientifiques d’aucune sorte, et qui plus est, malade physiquement au dernier degré, sinon : une inspiration divine.

---> Il est d'ailleurs très important de noter que l’EMV coche les 9 critères permettant de confirmer son origine céleste :

la première locution, le 23 avril 1943 à 11h45 , et les innombrables autres qui la suivirent, eurent un caractère :

1 ) imprévu, ce que saint Ignace de Loyola et sainte Thérèse d'Avila déclarent unanimement être le signe de la présence du divin ;

2 ) inattendu, Maria Valtorta s'en croyant indigne ;

3 ) non cherchées, Maria Valtorta étant d'une grande humilité qui lui venait de l'amour de la croix du Christ, et sans aucune prétention ;

4 ) non voulues : la messagère en eut peur au contraire, et aussitôt après la première, elle fit courir chercher le père Migliorini, son directeur spirituel, pour se soumettre à son avis ;

5 ) non "évoquées" , soit : tout le contraire d'une expérience spirite, où l'on évoque les défunts, ou une "entité" : nous allons voir plus loin combien Maria Valtorta détestait le spiritisme et toute œuvre des ténèbres ;

6 ) non "architecturées" : aucune planification pour élaborer une tromperie, visant à duper son père spirituel ;

7 ) subies , c'est-à-dire qui s'imposaient à Maria Valtorta, sans possibilité ni de les freiner, ni de les préparer, ni de les contrôler par ses propres forces ;

8 ) constantes dans ces caractéristiques, jusqu'à la fin, sans aucun changement ;

9 ) pour finir, Maria "était par nature extrêmement prudente et remplie de crainte par rapports aux révélations et aux prophéties privées (...) terrorisée, elle l'était par toutes ces choses, en général (...) Elle craignait d'avoir mal compris, elle avait peur de se tromper : elle se renfermait en elle-même et se taisait au point de maintenir un silence obstiné, même malgré les invitations répétées de notre Seigneur à divulguer ces choses. (...) Et cela se produisait, non pas parce qu'elle aurait été une femme indécise, irrésolue et peureuse, étant donné qu'elle était, tout à l'opposé, confiante, spontanée, très résolue et très courageuse, parce qu'elle avait un infini respect pour les fameux "secret du roi".(...)

( Albo Centoni, « Una vita con Maria Valtorta », cité par don Zucchini dans sa biographie de Maria Valtorta, p.84-85 )

---> Suit dans ce même livre une anecdote savoureuse de l'enfance de Maria, montrant à quel point elle était incroyablement méfiante vis-à-vis de tout ce qui faisait penser dans sa vie à du "surnaturel", combien cela la faisait fuir au lieu de l’attirer. ( ibid. )

---> Pour l'auteur, cela s'appelle : faire un flop.

 

" (...) qui permet de le comparer, voire de le substituer, à la révélation authentique. "
 
 

---> L'auteur a été débouté de ce piètre argument dès le premier volet de la réfutation : l’EMV ne prétend en aucune façon être un cinquième Evangile, encore moins un Evangile de substitution, n’étant :

---> ni un témoignage historique, comme le sont les quatre Evangiles canoniques,

---> et pas davantage un outil liturgique, comme ils le sont également.

---> Ce n’est donc qu’une révélation privée, et il est simplement risible de faire de son authenticité un « casus belli », en voulant monter Dieu contre Lui-même, alors qu’Il est souverainement libre de ses Dons.

---> Ici donc nulle crainte : ce n'est qu'un vulgaire flop de DGC.

 


" Ensuite, dans le domaine spirituel et psychologique. Le personnage de « Jésus » prodigue une éducation et tisse des relations toxiques avec les personnages du roman et, à travers eux, avec le lecteur ou la lectrice consentants. "
 
 

---> DGC s’est vu forcé, pour justifier cette accusation, de nous exposer sa propre gêne avec certaines paroles de l'Évangile, ou carrément sa méconnaissance de ce dernier, jusqu'à son refus du mystère de l'Amour Trinitaire circulant sans aucun narcissisme entre le Père, le Fils et le Saint Esprit, et c'est malheureux de le dire, son refus à peine voilé de l'incarnation bien réelle du Verbe :

---> Or tout au long de l’EMV, Jésus se révèle bien être le Dieu-fait-Homme, et de ce fait, aucune des accusations de DGC n'a de raison d'être, comme nous l’avons constaté et allons continuer de le faire.

---> On ne compte plus les flops de l'auteur.

 

 

" Même s’il était avéré que les informations de nature historique, géographique ou archéologique que prodigue Valtorta dans son œuvre étaient exactes, cela ne justifierait pas pour autant la formation qu’elle prétend donner aux maîtres spirituels et aux âmes, qui sera, en fonction du degré de perméabilité des lecteurs, soit sans réel intérêt, soit dangereuse. "
 

---> Et comme cette « formation » est strictement dans la même ligne que l’ « Imitation de Jésus-Christ » de Thomas a Kempis, les enseignements de saint Augustin, de saint Thomas d’Aquin, de saint Jean Chrysostome, de sainte Gertrude d’Helfta, etc, DGC nous affirme donc que tous ces éminents enseignements sont au moins sans réel intérêt, si ce n’est carrément dangereux !

---> À lui revient l'entière responsabilité de cette affirmation plus que douteuse.

D’autre part, il ne peut y avoir de milieu :

---> Soit l’œuvre n’est pas inspirée par le Ciel, et alors Maria Valtorta en est la seule cause, aidée ou non par le Démon. Mais on a vu que :

1) même aidée par une trentaine de moines équipés des ordinateurs de dernière génération ( inexistants dans les années 40-50 ), elle n’aurait pas pu écrire ne serait-ce qu’une partie de son œuvre,

2) et que l'EMV étant à ce point dépourvue de la plus petite erreur théologique, du moindre petit mensonge ou omission volontaire, il est à proscrire que le Démon, Prince du mensonge, puisse être invoqué comme étant sa cause partielle ou entière.

---> Soit l’œuvre est inspirée par le Ciel, et alors au strict minimum, tout doit y être exact, car Dieu ne se trompe pas.

---> Or l’exactitude des éléments scientifiques, que DGC tient ici pour hypothétique, a été en fait dument vérifiée sans aucun conflit d’intérêt, par des gens parfois réticents au départ, comme le fut Jean-François Lavère, ingénieur : c'est même pour justifier ses doutes qu'il commença son étude minutieuse, avant que celle-ci ne lui fasse entièrement changer d'avis : voir "l'authenticité scientifique de "l'Evangile tel qu'il m'a été révélé" de Maria Valtorta J.F.Lavère

---> Or, pour que tous les éléments scientifiques présents dans l’œuvre aient pu y cohabiter en parfaite cohérence les uns avec les autres par le simple fait du hasard ( ce qui aurait été nécessairement le cas, si l’auteur avait tout écrit d’elle-même ), il aurait fallu, non pas qu’elle gagne du premier coup le Jackpot du Loto, ce qui est déjà quasiment impossible : nous avons en effet une chance sur 20 millions de le gagner, ce qui est déjà matériellement impossible.

---> Mais bien plus encore ! Pour arriver par hasard à cette cohérence dans son œuvre, il aurait fallu que Maria Valtorta gagne du premier coup le Jackpot d'un jeu de hasard, avec une probabilité de gagner de :

---> 1 chance sur 10 puissance 80, ce qui fait qu'elle aurait eu très exactement :

---> 0,000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000001 chance de gagner ( !!! ), ce qui est définitivement impossible : même en astronomie, des chiffres aussi infimes n'existent pas.

---> Et cependant, Maria Valtorta gagne ce "Jackpot" du premier coup : le hasard est ici totalement exclu.

---> C’est une preuve définitive, que plus personne ne peut désormais ignorer, car elle a été vérifiée sans aucun doute possible par de très puissants logiciels de dernière génération.

---> Autre élément ne pouvant laisser planer le moindre doute : pour un tiers de l’œuvre, Maria Valtorta qui n’avait pas fait le moindre plan préalable d’écriture, a reçu les épisodes dans le désordre :

---> Or il est rigoureusement impossible qu'un auteur arrive à procéder ainsi, car chaque épisode de l’EMV étant étroitement lié au précédent et au suivant, c’est un peu comme si l’on vous demandait de réaliser sans aucune erreur, les yeux bandés, un puzzle de plusieurs milliers de pièces : ce serait tout simplement impossible.

---> Giuseppe Belfanti, le propre cousin de Maria Valtorta, revint du spiritisme à la foi et à la pratique catholique grâce à la constatation de ce miracle.

---> Précisons que les manuscrits ne présentent aucune rature, intégralement rédigés d’un seul jet, avec une étonnante rapidité, et sans le recours à l’écriture automatique : or là encore, c'est rigoureusement impossible, dans le cas d'une oeuvre normalement écrite par un humain.

---> Mais ces preuves scientifiques ne suffisent bien évidemment pas à prouver que l'inspiration de l'EMV viendrait de Dieu : c'est au lecteur de s'en rendre compte par lui-même.

---> Si l'oeuvre avait été inspirée par le démon, on n'y rencontrerait pas une si incroyable exactitude théologique, tant sur chacun des dogmes de foi, que concernant chaque personnage et épisode évangélique excellemment décrit, sans omission et sans extrapolation.

---> Enfin, tant de merveilles et une telle absence de la plus petite obscurité ne laisse plâner aucun doute sur son inspiration divine : "Ceux qui liront comprendront" ( Pie XII ).

---> Incontestable flop de l'auteur.

 

" Il conviendrait de demander à un spécialiste d’analyser les sources possibles de la création du personnage littéraire de « Jésus », une fiction qui veut s’imposer, au-delà de la fiction, pour réalité divine. Ce Maître, qui s’impose par son verbe, qui interprète tout, autorise et défend ce qu’il veut, se soumet les êtres, présente des traits qui, si on les rencontrait dans la vie ordinaire ou chez un maître spirituel, ne seraient pas acceptables. "

 

---> Répondons à la demande de DGC : vu les 9 critères cochés par l’EMV, ainsi que les très nombreux miracles internes à sa rédaction, sa source ne peut en aucune manière être chercher du côté de l’homme, à moins de se montrer farfelu jusqu’au dernier degré. Ce qui est encore confirmé par la parfaite cohérence et similitude entre le Jésus des quatre Évangiles canoniques, et Celui décrit dans les visions de Maria Valtorta, sans la moindre faille sur le plan théologique ou psychologique.

---> Les livres domestiques qui auraient pu être susceptibles d'inspirer Maria Valtorta dans la rédaction de l'EMV sont tous connus et dûment répertoriés ( cf le livre biographique de référence écrit par don Zucchini, qui en donne la liste exhaustive ), et au-delà du fait qu'ils étaient tenus sous clef par Iside Valtorta hors de portée de sa fille grabataire, leur contenu est incapable d'expliquer quoi que ce soit.

---> Notons donc que DGC manifeste ici des griefs contre un Jésus :

---> qui serait Dieu,

---> qui se ferait appelé "Maître",

---> dont la Parole s'imposerait avec autorité,

---> qui aurait toujours réponse à tout,

---> qui prétendrait être Lui-même la Source de la Loi divine,

---> à la puissance de Qui tout se trouverait soumis,

---> et qui serait bien trop extraordinaire pour être confondu avec un quelconque maître spirituel d'abbaye ou de séminaire.

---> Ce que DGC reproche donc au "Jésus de l'oeuvre", c'est en réalité d'être pleinement conforme au Jésus des Evangiles !

---> Ce que confirme M. l’abbé Guy Pagès, témoignant lors d’une journée nationale de l’EMV :

---> « Si le Jésus de Maria Valtorta n’est pas le vrai Jésus de Nazareth dont il est question dans les quatre Evangiles, alors moi, Guy Pagès : je ne connais pas le Christ. »

---> La seule chose qui nous fait rejoindre l’avis de DGC, c’est qu’effectivement, si un maître spirituel ordinaire prétendait nous donner son propre corps à manger, et son propre sang à boire, ce serait inacceptable de sa part.

---> L'auteur va de flop en flop !



" De quelles projections affectives, de quel besoin de domination ce personnage fantasmé de « Jésus » est-il le produit ? "

 

---> On voudrait - et on a déjà - poser cette même question à l'auteur de l'article :

---> par quelle besoin de domination, par quelle projection affective blessée et personnelle en vient-il à voir le mal dans ce qui est bien, l'obscurité dans ce qui est entièrement lumineux ? Mais la réponse est devenue depuis tristement évidente, DGC s’est lui-même fourvoyé en se mettant à l’école du pire mentor qui puisse être à l’heure actuelle : Joachim Boufflet, et s'enferme lui-même dans la projection affective qu'il fait sur l'EMV de sa blessure personnelle, liée aux agressions homosexuelles commise par le fondateur de sa communauté, don Jean-François Guerrin, sur certains des séminaristes de saint Martin.

---> À sa décharge, l'auteur porte des blessures personnelles très profondes, s'étant cru victime lui-même par le passé d’une emprise sectaire, dans le cadre de son appartenance à la communauté charismatique de Bois-le-Roi, et visiblement s'en parvenir jusqu'à ce jour à se libérer intérieurement de ce traumatisme, qu'il soit fictif ou réel :

---> ayant souffert, à son tour il fait souffrir : processus psychologique bien connu des spécialistes.

---> Quoi qu'il en soit, on ne l'arrête pas dans sa course aux flops.
 

 

" Si nous pouvions hasarder une hypothèse, nous évoquerions une immaturité affective transposée en termes religieux, trouvant ainsi une autojustification absolue. "

 

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---> À l'évidence : l'auteur nous livre ici un portrait de lui-même, qui serait d'une très rare sincérité si par impossible il l'assumait. Mais cette dernière hypothèse n'est pour le moment rien de plus qu'un rêve.

---> DGC n’a tout simplement pas conscience de la très grave emprise sectaire dans laquelle il vit, et ce ne sont pas pour l’instant ses confrères qui le protègent contre les « très méchants réfutateurs de ses articles » qui pourront l’aider à y voir clair. Espérons que, grâce à Dieu et à l’intercession toute puissante de sa Bienheureuse Mère, cet état de fait puisse évoluer.

Anecdote :

---> Maria Valtorta eu de nombreuses occasions de combattre des "spirites", dont les pratiques sataniques lui faisaient horreur. Elle chassa un jour par la prière de l'exorcisme de S.S.Léon XIII deux d'entre eux, qui louaient une chambre chez sa mère. Ils durent décamper, incapables de supporter cet exorcisme, sans savoir que Maria en était la cause...

---> Lorsqu'à la fin de sa vie, toujours alitée, elle cessa complètement de parler, plongée dans un état d'absence psychique que connut avant elle un certain saint Thomas d'Aquin avant de mourir, trois personnes vinrent la saluer : le père Berti, l’éditeur de l’œuvre Emilio Pisani, et un docteur en "parapsychologie"- en d'autres termes : un spirite -, Luciano Raffaele.

---> À ce moment précis , Marta Diciotti sa dame de compagnie, l'entendit distinctement s'écrier : " Va-t-en ! Va-t-en ! Va-t-en ! ". Elle accourut, et vit Maria Valtorta, avec le doigt pointé vers la porte, qui criait cet ordre au "docteur" Raffaele. Elle chercha à s'entremettre en faveur de celui-ci, mais il n'y eut rien à faire. Ferme et décidée, continuant à indiquer la porte, elle répétait : " Va-t-en ! Va-t-en ! Va-t-en ! ". Le spirite ne tenta même plus de lui prendre la main, et il sortit en ne cachant pas son désappointement.
( Albo Centenier, « Ricordi di donne che conobbero Maria Valtorta »,
cité par don Ernesto Zucchini dans son ouvrage biographique de référence " Maria Valtorta, sa vie, ses visions, sa croix " )

"Que Dieu se lève, et ses ennemis se dispersent,
et ses adversaires fuient devant sa Face !
Comme la fumée se dissipe, qu'ils disparaissent de même,
et comme la cire fond au feu,
ils périssent les impies, en face de Dieu."
( Psaume 67 )

---> Et tout s'achève donc sur un magnifique flop de l'auteur.

---> Dans le volet suivant, il va poursuivre son pamphlet en s'attaquant à une merveilleuse définition que Jésus donne de Dieu, dans l'EMV.

 


 

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