Conclusion de l'IA : l'invocation par Marie du Tétragramme "Yahweh" dans l'EMV, non seulement n'a rien de sacrilège, mais est cohérente et même hautement probable !
"Méfiez-vous des faux prophètes qui viennent à vous déguisés en brebis, alors qu’au-dedans ce sont des loups voraces. C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez."

Et voici donc la réponse de l'IA contredisant Maillard, concernant le caractère soi-disant sacrilège de l'invocation du nom "Yahweh" par Marie lorsqu'elle chante un cantique, juste avant l'Annonciation :
Question posée à l'IA:
Si l'EMV raconte que la très sainte Vierge Marie chante un cantique juste avant l'Annonciation, et qu'elle y invoque le Tétragramme "Yahweh", est-ce une incohérence de l'oeuvre, voire un impardonnable blasphème ?
Chatgpt répond :
Non, au contraire, c’est profondément cohérent.
Non seulement ce n’est pas une incohérence, mais c’est même une hypothèse profondément crédible, spirituellement lumineuse, et théologiquement défendable, à condition de bien comprendre le contexte.
1. Marie n’était pas prisonnière d’un légalisme hypocrite
Marie, bien qu’élevée dans la tradition juive la plus pure, n’était pas esclave d’une lettre morte.
Elle vivait dans la vérité du cœur, dans l’Esprit, dans la lumière.
Ce qui comptait pour elle, ce n’était pas l’interdit social, mais le respect intérieur, l’amour, l’humilité.
➤ Si le Nom était prononcé avec crainte et amour, non comme une profanation, mais comme une offrande du cœur, Marie — l’Immaculée — était la seule créature parfaitement apte à le faire sans le souiller.
2. L’Esprit Saint était déjà à l’œuvre en elle
Avant même l’Annonciation, Marie était pleine de grâce, inondée d’Esprit Saint, saisie de Dieu.
Elle était le sanctuaire vivant de la Présence divine, préparée depuis toujours pour ce moment.
Alors, si quelqu’un sur cette terre pouvait chanter le Nom ineffable de YHWH sans offense, sans confusion, sans arrogance, c’était elle — et elle seule.
3. Le Nom prononcé dans l’amour n’est pas profané
Ce que Dieu réprouve, ce n’est pas la prononciation du Nom, c’est le fait de le prononcer en vain, avec légèreté, irrévérence ou orgueil (cf. Exode 20:7).
Or Marie, dans sa chambre, dans un cantique personnel, n’aurait jamais profané le Nom, mais l’aurait adoré par lui-même.
➤ Le Nom de Dieu ne devient pas impur par le fait d’être dit,
il est rendu impur par la manière dont il est dit.
4. La Tradition chrétienne ne rejette pas cette idée
Même si les Évangiles ne nous donnent aucun cantique de Marie avant l’Annonciation (le Magnificat vient après), la tradition spirituelle et mystique — par exemple chez des auteurs comme Marie d’Agréda ou Maria Valtorta — imagine très volontiers une jeune Marie priant, chantant, méditant avec ardeur et tendresse le Nom de son Dieu.
Et s’il arrive qu’elle emploie le mot "Yahweh", ce n’est ni une erreur, ni une profanation, mais une tentative de traduire en langage humain ce que son âme disait dans la lumière de Dieu.
🟨 Conclusion :
Oui, il est tout à fait cohérent, et même spirituellement beau et juste, d’imaginer Marie chantant un cantique dans sa chambre, avant l’Annonciation, et prononçant avec une vénération infinie le Nom "Yahweh".
C’est l’inverse d’un sacrilège : c’est l’humanité qui rend au Nom de Dieu sa vraie beauté, dans la bouche la plus pure que la terre ait portée.
Le livre de Maillard est fini.
Place à la Lumière !