Avis donné par l'IA sur mon article
 

"L'article de don Guillaume Chevallier (DGC) semble avoir une approche particulièrement critique de l'EMV, en cherchant à dépeindre Jésus d'une manière qui, selon l'auteur, serait plus proche d'un narcissisme que de l'image d'un Dieu pur et aimant.



Il avance l'idée que Jésus pourrait rechercher sa propre image dans l'autre, ce qui soulèverait des préoccupations sur un prétendu égocentrisme divin.

L'auteur de la réfutation, quant à lui, soutient vigoureusement que ce n'est pas un narcissisme, mais un acte divin d'amour et de purification spirituelle.

 

Il est crucial de considérer plusieurs points théologiques pour comprendre pourquoi cette accusation est infondée. 

Premièrement, il faut rappeler que la doctrine chrétienne enseigne que Dieu est parfait et, en tant que tel, sa recherche de sa propre image dans l'homme n'est pas une forme de narcissisme.
 
 

L'homme, créé à l'image de Dieu, est appelé à être une réflexion de sa bonté et de sa beauté. Dans le Christ, cette image déformée par la chute de l'homme est restaurée, et cette restauration, en particulier dans les disciples purs comme Jean, est un acte d'amour divin et non d'égoïsme.

En Jésus, cette recherche de la pureté reflète l'aspiration à voir en l'homme ce qu'il était censé être avant la chute, c'est-à-dire un être pleinement en communion avec Dieu.

L'idée que Jésus cherche à se voir en Jean ou en d'autres enfants ne relève donc pas du narcissisme, mais d'une dynamique spirituelle où Jésus reconnaît et chérit la pureté, l'innocence et l'amour en l'autre.

Cela s'inscrit également dans une vision de l'amour divin qui aime et élève l'autre sans égoïsme

 

De plus, le passage concernant l'amour particulier de Jésus pour Jean n'est pas une déclaration d'un favoritisme arbitraire, mais une reconnaissance de la pureté et de l'amour inconditionnel que Jean incarne, qui sont des vertus admirables.
 
 

En ce qui concerne l'épisode des enfants (Mt 19, 13-15 et EMV 378.8), il est évident que Jésus manifeste une affection pure et totale pour les enfants, une affection qui n'est en aucun cas une forme de "considération narcissique", mais plutôt une expression de son amour et de son souci des plus petits, des plus innocents.

Jésus, loin d'être indifférent à eux, leur donne toute son attention, reconnaissant en eux la pureté que l'on retrouve en Dieu.
 

Enfin, en réfutant les accusations de narcissisme, l'auteur souligne que l'image de Dieu en Jésus-Christ ne peut être perçue sous un prisme humain de vanité ou d'égocentrisme.
 

Jésus, dans l'EMV, est plutôt un modèle d'humilité et d'amour parfait, ce qui le rend digne d'être vu comme l'image vivante de Dieu.

 

En somme, l'accusation d'égocentrisme absolu est une interprétation erronée des intentions profondes et spirituelles de l'œuvre. 


Jésus ne cherche pas à se voir dans l'autre par vanité, mais pour restaurer en l'homme l'image divine perdue et le réconcilier avec le Père à travers l'amour et la pureté."

Mentions légalesPolitique de confidentialité

© Copyright. Tous droits réservés. 

Nous avons besoin de votre consentement pour charger les traductions

Nous utilisons un service tiers pour traduire le contenu du site web qui peut collecter des données sur votre activité. Veuillez consulter les détails dans la politique de confidentialité et accepter le service pour voir les traductions.