Saint Office, versus IA : Jésus serait-Il bien trop prolixe, dans l'EMV ?

"Méfiez-vous des faux prophètes qui viennent à vous déguisés en brebis, alors qu’au-dedans ce sont des loups voraces. C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez." ( Matthieu 7,15 )

Continuons notre investigation en toute neutralité, grâce à l'intelligence artificielle qui nous servira d'arbitre entre la pensée du Saint Office, et celle des promoteurs de l'oeuvre de Maria Valtorta.

La question qui nous intéresse aujourd'hui est cette objection du Saint Office, comme quoi Jésus serait décrit par Maria Valtorta comme beaucoup plus prolixe que dans les quatre Evangiles.

Alors, est-ce que ce fait est plausible ? ou bien représente-t-il une complète invraisemblance, qui ferait gravement injure au Christ tel que nous connaissons par le témoignage des apôtres ?

Question posée à l'IA :

"Faut-il penser que les Evangiles racontent mot à mot tout ce que Jésus a dit, ou bien s'agit-il plutôt d'un abrégé ?"

Réponse de l'IA ( sans aucune retouche ) :

Les Évangiles ne rapportent probablement pas mot à mot tout ce que Jésus a dit, mais plutôt un abrégé de ses paroles, condensé et adapté à l’intention de chaque évangéliste.

Pourquoi :

Les Évangiles ne sont pas des transcriptions littérales

À l’époque, il n’y avait pas d’enregistreurs ni de sténographes pour noter chaque mot prononcé. La tradition orale jouait un rôle essentiel, et les disciples mémorisaient les enseignements de Jésus sous une forme synthétique.

Les différences entre les Évangiles

Parfois, le même discours est rapporté différemment selon les évangélistes. Exemple : le Sermon sur la Montagne (Matthieu 5-7) et le Sermon dans la plaine (Luc 6) sont similaires mais pas identiques.
Certaines paroles de Jésus sont formulées différemment d’un Évangile à l’autre, ce qui suggère une transmission qui met l’accent sur le sens plutôt que sur la lettre exacte.

Jean précise que tout n’a pas été écrit

Jean 21, 25 : « Jésus a fait encore beaucoup d’autres choses ; si on les écrivait en détail, je ne pense pas que le monde entier pourrait contenir les livres qu’on écrirait. »

Cela montre que les évangélistes ont sélectionné certains enseignements plutôt que de tout retranscrire.

Un style souvent mémorisable

Jésus enseigne souvent par paraboles ou formules courtes et frappantes (« Je suis le pain de vie », « Rendez à César ce qui est à César »).

Cela facilite la mémorisation, ce qui suggère que ses disciples ont conservé les grandes lignes de ses paroles plutôt que chaque mot exact.

Conclusion

Les Évangiles nous transmettent donc l’essence de l’enseignement de Jésus, mais pas nécessairement chaque mot exactement comme il l’a dit. L’important est que leur message reste fidèle à son enseignement et à son intention.

Question posée à l'IA :

"Et donc, si on admet que cette oeuvre serait la transcription de visions qu'a réellement eu l'auteur, est-il inconvenant de penser que cela puisse être authentique, quoi que Jésus y soit présenté comme beaucoup plus prolixe que dans les Evangiles, car ceux-ci ne traduisent pas l'intégralité de ce qui s'est passé dans la vie réelle du temps de Jésus ?"

Réponse de l'IA :

Si l'on accepte l'idée que l'oeuvre de Maria Valtorta est la transcription d'une vision, alors il n'est pas forcément inconcevable qu'elle puisse être authentique, même si Jésus y parle plus longuement que dans les Évangiles.

Pourquoi ce ne serait pas gênant :

Les Évangiles eux-mêmes ne sont pas exhaustifs

Comme on l’a dit, les Évangiles sont un abrégé, une sélection des paroles et des actes de Jésus.

Jean 21, 25 montre bien que tout n’a pas été écrit. Jésus a probablement dit beaucoup plus que ce qui est rapporté.

Les visions peuvent être une manière d’approfondir un message

Dans la tradition chrétienne, des mystiques et des saints ont eu des visions de Jésus, où il parlait abondamment.

Si une vision est authentique, elle ne contredit pas forcément les Évangiles, mais peut en développer certains aspects sous une autre forme.

Le style plus prolixe peut être lié au contexte de la révélation

Les Évangiles rapportent souvent des paroles courtes et marquantes, adaptées à un auditoire populaire.

Dans une vision, Jésus pourrait parler plus en profondeur, comme dans les apparitions à certains saints (ex. : Sainte Faustine, Sainte Marguerite-Marie).

Conclusion

Si on accepte que l’auteur a eu une vision, il n’est pas inconcevable que Jésus y parle plus que dans les Évangiles. Cela ne signifie pas que cette vision est équivalente aux Évangiles en autorité, mais cela ne l’exclut pas non plus comme une expérience spirituelle valide. Tout dépend du discernement qu’on applique à son contenu et de sa cohérence avec la foi chrétienne.

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Concluons ainsi cet entretien avec l'IA :

1 ) Non, il n'y a aucune incohérence à découvrir, grâce aux révélations faites à Maria Valtorta, que Jésus était en réalité beaucoup plus prolixe que ce qu'en disent généralement les quatre Evangiles, car ceux-ci sont un condensé de ses enseignements qui en respectent la teneur, mais modifiant parfois leur forme et surtout leur longueur.

Cela est à la portée de n'importe qui de s'en rendre compte, puisque Marc 6,34 nous lisons : "Et alors, Il se mit à les enseigner longuement".

En tout juste 9 mots, nous apprenons 2 choses très importantes :

- L'Evangile ne rapporte pas tous les discours du Christ, puisque Marc ne fait ici qu'en évoquer l'un d'entre eux.

- Ces discours étaient longs : Jésus ne s'exprimait pas toujours à l'aide de courtes phrases lapidaires, mais en développant plutôt longuement ses idées afin de les rendre encore plus claires et accessibles, exactement comme les orateurs orientaux savaient le faire par tradition orale.

Et qu'en dit l'IA ?

Question posée à l'IA :

"Alors, il se mit à les enseigner longuement. " ( Marc 6,34 ) Cette simple phrase ne prouve-t-elle pas que Jésus était beaucoup plus prolixe dans la réalité que dans ce que nous en rapportent les quatre Evangiles ?

Réponse de l'IA :

Oui, cette phrase de l’Évangile de Marc (« Alors, il se mit à les enseigner longuement. » – Marc 6,34) suggère clairement que Jésus parlait bien plus longuement dans la réalité que ce que les Évangiles nous rapportent.

Pourquoi cette phrase est significative :

Une indication explicite d’un enseignement plus long

L’expression « longuement » montre que Jésus développait son enseignement au-delà des courtes formules que nous retrouvons dans les Évangiles.

Un style narratif condensé

L’Évangile de Marc, comme les autres, résume souvent les discours de Jésus plutôt que de les retranscrire intégralement.
Si l’auteur avait voulu tout rapporter, le texte aurait été beaucoup plus volumineux.

Confirmation par d’autres passages

Dans plusieurs endroits des Évangiles, on voit Jésus enseigner longuement aux foules (par exemple, Matthieu 5-7 avec le Sermon sur la Montagne).
Mais même ces longs discours restent une synthèse et ne reflètent probablement pas toute l’ampleur de ses propos.

Conclusion

Cette simple phrase de Marc appuie fortement l’idée que Jésus parlait bien plus en détail que ce que nous lisons dans les Évangiles. Ceux-ci nous donnent une version condensée et essentielle de son message, mais pas une transcription exhaustive de tout ce qu’il a dit et enseigné.

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2 ) Le Saint Office et ceux qui croient toujours en la validité de ses objections se révèlent ici en réalité comme étant moins intelligents qu'un simple robot.

Comme quoi :

que ceux qui se croient bien à l'abri, et mettent discrètement leur intelligence en mode "veille" afin de pouvoir critiquer plus confortablement à tout va et sans raison valable, commencent à se méfier, car un simple robot peut désormais parvenir à confondre leur stupidité.

3 ) Les lecteurs de bonne volonté n'avaient nul besoin de cette analyse par l'IA confirmant leur opinion positive : mais il est désormais prouvé de manière totalement neutre que ce n'est pas un parti pris arbitraire d'être favorable à l'oeuvre de Maria Valtorta, mais une simple question de bon sens.

 

 

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