"Lors d’un moment de solitude sur la montagne de Jiphtaël qu’il vient d’escalader avec peine, Jésus laisse éclater le motif premier de sa détresse: puis il s’assoit, la tête entre les genoux qu’il soulève et entoure de ses mains entrelacées, il appelle de toute son âme la Mère lointaine :
« Maman ! Maman ! Maman ! Mon éternelle douceur ! Oh ! Maman ! Oh ! Maman ! Comme je te voudrais tout près ! Pourquoi ne t’ai-je pas toujours, seul réconfort de Dieu ? » (IV, 5, 32-33)"

 

---> Par un raccourci fort commode, l'auteur encore une fois croit réussir à tourner en dérision cette scène, si poignante de vérité ( isolement et prière de Jésus pour Judas )

---> Oui, Jésus commence, en cette solitude recherchée, à laisser éclater sa peine : il n'y a pas à s'étonner de ce qu'en cette troisième année de sa Vie publique, récoltant haine et mépris pour prix de sa Bonté souveraine, de la part des siens qui ne l'accueillirent pas, incompris de ses proches, et se sachant d'avance trahi par son apôtre judas, Jésus commence à ressentir violemment tristesses et angoisses, même si, à la différence de sa mortelle Agonie du jardin des oliviers, Il avait encore toute fois le réconfort de pouvoir penser à l'amour de sa Mère : Et il faudrait en être choqué ?

---> Il n'y a qu'à lire le terrible épisode de l'agonie du Christ au Gethsémani, pour être persuadé qu'alors, la déréliction fut totale pour le Christ.

---> Et on comprend comment, dans le passage cité par DGC, après avoir supplié ardemment le Ciel pour obtenir le salut de son apôtre Judas - Ciel qui ne lui donna à cette heure pas plus de réponse qu'un bloc d'airain - le Christ, submergé par la douleur, s'effondra et appela sa Mère, son ultime réconfort, avec angoisse.

---> Cependant, ce n'est pas uniquement sa Mère qui était capable de Le réconforter, comme Il en témoigne Lui-même ainsi dans l'oeuvre :

EMV 355.4 - La deuxième annonce de la Passion.

(...) (...)
( La fille de Jaïre ) Oh ! maintenant je n'aurais pas voulu redevenir vivante pour ne pas voir cela, pour n'être pas là quand... cette horreur sera..."

"Alors tu n'y serais pas non plus pour me donner la consolation que tu me donnes maintenant. Ne sais-tu pas que la parole, même une seule parole, de quelqu'un qui est pur et de quelqu'un qui m'aime m'enlève toute peine ?"

"Si ? Oh ! alors tu ne devrais plus en avoir parce que je t'aime plus que ma mère, que mon père, que ma vie !"

"C'est ainsi."
(...)
------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
---> Après lui avoir fait un procès pour avoir rencontré de nombreuses fois sa tendre Mère après les noces de Cana durant sa Vie publique, alors que selon lui, Jésus aurait dû l'aimer de loin, DGC lui en fait maintenant un autre pour le motif qu'il l'invoque à distance, dans sa douloureuse prière ! Mais quelle contradiction...

---> DGC en arrive là en raison d'une simple erreur de lecture, lors de l’épisode des noces de Cana ( cf volet 5 ), pensant à tort que le Christ avait coupé tous liens avec sa Mère - hormis ceux d’une sorte d’amour éthéré sans affectivité ( déshumanisé ) - , se met donc à reprocher sa souffrance humaine au Christ agonisant...

---> Or Jésus notre Maître a bien souffert en tout comme un homme, jusqu’au paroxysme. Et quand un homme en arrive à ce degré de souffrance, fut-il même un roi, il appelle tout naturellement celle que tous les fils appelleraient douloureusement en pareille circonstance : « Maman ! ».

---> Et cela n’a rien de honteux, bien au contraire : c'est profondément humain, or nous avons déjà vu que Jésus l'était.

---> L'auteur fait un flop.
 

 

"« Jésus » ressent le besoin de s’expliquer sur ses relations avec sa Mère en finale :

« Certains trouvent trop affectueux l’amour de Marie pour Jésus ; je leur dis de se souvenir de qui était Marie : la femme sans péché et donc sans impureté dans son amour envers Dieu, envers ses parents, envers son époux, envers son fils, envers le prochain. Il leur faut prendre en considération que ma Mère voyait en Moi bien davantage que le fruit de son sein. Ils doivent enfin tenir compte de la nationalité de Marie : race hébraïque, race orientale, et temps très éloignés des temps actuels. Ces éléments expliquent certaines amplifications verbales de l’amour qui pour vous peuvent paraître exagérées. Le style oriental et hébraïque est fleuri, pompeux, même dans le langage ordinaire. Tous les écrits de ce temps et de cette race en sont une preuve, et le passage des siècles n’a pas beaucoup changé le style de l’orient.

(…) A ceux qui jugent trop affectueux l’amour de Jésus pour Marie, je dis de considérer qu’en Jésus était Dieu, et que Dieu un et trine trouvait son réconfort à aimer Marie, celle qui le repayait de la douleur de toute l’espèce humaine, le moyen pour que Dieu puisse revenir se glorifier de sa création et donner des habitants à ses cieux. Et qu’ils considèrent enfin que tout amour devient coupable uniquement quand il enfreint l’ordre, c’est-à-dire quand il va contre la volonté de Dieu et le devoir qu’il faut accomplir. »
(X, 38, 298- 299)"
 
 

---> Et ainsi, DGC finit de rendre un témoignage cuisant contre lui-même et ses injustes accusations envers l’EMV.

---> En effet, les propos du Christ ne pouvaient pas être plus lumineux, limpides et précis, pour justifier le tendre amour entre Lui et Marie.

---> Ici, DGC "s'auto-floppe". On peut dire qu'il est une sorte "d'auto-floppeur".

 

 

"Il y a de l’inconsistant et de l’anachronique dans ces arguments, exprimés dans un style embarrassé où « Jésus » ne parvient pas à parler de lui-même à la première personne du singulier ;"

 

Versus :

- « Certains trouvent trop affectueux l’amour de Marie pour Jésus ; je leur dis (...)»
- « ma Mère voyait en Moi (...)»
- « A ceux qui jugent trop affectueux l’amour de Jésus pour Marie, je dis (...)» ( première personne du singulier )

---> Les dernières affres de cet article sont plutôt comiques, et on ne sait plus très bien d’où DGC tire toutes ses salades. La fatigue aidant, il en oublie les b.a.ba de la grammaire. Et il est vrai que ses erreurs de lecture qui l’ont si bien fourvoyé ne riment pas vraiment avec intelligence.

---> On remarque que, quand là-bas l’auteur réclame à corps et à cris que Jésus soit moins centré sur lui-même dans l’EMV, ici, pour peu que notre Seigneur explique quoi que ce soit sans employer la première personne du singulier, il est jugé soi-disant « embarrassé, et n'arrivant pas à parler de lui-même ».

---> Mais de la part d’un illusionniste menteur et sophiste, c’est sans aucun doute le meilleur des compliments. Quoi qu'il en soit, c'est pour lui un flop.

 

 

"Mais le plus important relève du fond du propos. L’innocence de Marie et la divinité de Jésus doivent faire taire les objections aux excès et aux ambiguïtés de leur attitude."

 

---> "Excès" ? ce qui est infiniment aimable ne peut pas être aimé à l’excès.

---> "Ambiguïtés" ? elles ne se trouvent que dans l’esprit enténébré de l’auteur de cet article, lui qui ne peut aligner une seule phrase sans faire un mensonge ou un sophisme, comme nous venons de le constater.

---> Encore un flop !
 

 

"C’est précisément l’argument des manipulateurs et des directeurs spirituels intrusifs, qui font valoir que la pureté des êtres renouvelés par la foi, de leurs relations « en Dieu », justifient toutes les exceptions et toutes les inconvenances."

 

---> Et justement, Jésus et Marie n’étaient en rien comparables à un père spirituel terrestre "classique" et à son novice : au contraire, les Deux Purs vivaient continuellement au cœur d’un Mystère d’Amour que rien ne peut décrire, si ce n’est le Cantique des cantiques.

---> Jésus avec Marie : c'était déjà en toute réalité le Paradis ici-bas, l'Amour du Ciel, partagé entre deux Êtres parfaits sur la terre.

---> Alors qu'un père spirituel et son novice ne sont que deux pécheurs ( en voie de conversion ) - même si effectivement : obéir à son supérieur, c'est obéir au Christ -.

---> Et c'est uniquement dans cette dernière proposition que peut se loger une ambiguïté, si un père spirituel mal intentionné - tel don Jean-François Guérin, le fondateur de la communauté saint Martin - décide d'en profiter ( cf. volet 2 ). On devine facilement que c'est à cela que DGC fait allusion, peut-être en tant que victime... Mais cela ne justifie en rien qu'il se venge sur Notre Seigneur et sa très sainte Mère !

---> Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus quant à elle, écrit ceci dans la dernière partie de son autobiographie à mère Marie de Gonzague sur la direction des âmes, et que malheureusement, DGC lit certainement à la manière dont il lit l’EMV :

« (...) (...) A quinze ans, lorsque j'eus le bonheur d'entrer au Carmel, je trouvai une compagne de noviciat qui m'avait précédée de quelques mois ; elle était plus âgée que moi de huit ans mais son caractère enfant faisait oublier la différence des années, aussi bientôt vous avez eu, ma Mère, la joie de voir vos deux petites postulantes s'entendre à merveille et devenir inséparables. Pour favoriser cette affection naissante qui vous semblait devoir porter des fruits, vous nous avez permis d'avoir ensemble de temps en temps de petits entretiens spirituels. Ma chère petite compagne me charmait par son innocence, son caractère expansif, mais d'un autre côté je m'étonnais de voir combien l'affection qu'elle avait pour vous était différente de la mienne. Il y avait aussi bien des choses dans sa conduite envers les soeurs que j'aurais désiré quelle changeât...

Dès cette époque le bon Dieu me fit comprendre qu'il est des âmes que sa miséricorde ne se lasse pas d'attendre, auxquelles Il ne donne sa lumière que par degré, aussi je me gardais bien d'avancer son heure et j'attendais patiemment qu'il plaise à Jésus de la faire arriverRéfléchissant un jour à la permission que vous nous aviez donnée de nous entretenir ensemble comme il est dit dans nos saintes constitutions : pour nous enflammer davantage en l'amour de notre époux, je pensai avec tristesse que nos conversations n'atteignaient pas le but désiré ; alors le Bon Dieu me fit sentir que le moment était venu et qu'il ne fallait plus craindre de parler ou bien que je devais cesser des entretiens qui ressemblaient à ceux des amies du monde. Ce jour était un samedi, le lendemain pendant mon action de grâces, je suppliai le bon Dieu de me mettre à la bouche des paroles douces et convaincantes ou plutôt de parler Lui-Même par moi. Jésus exauça ma prière, il permit que le résultat comblât entièrement mon espérance car : Ceux qui tourneront leurs regards vers lui en seront éclairés (Ps. XXXIII) (Ps 34,6) et La Lumière s'est levée dans les ténèbres pour ceux qui ont le coeur droit. (Ps 112,4) La première parole s'adresse à moi et la seconde à ma compagne, qui véritablement avait le coeur droit... L'heure à laquelle nous avions résolu d'être ensemble étant arrivée, la pauvre petite soeur en jetant les yeux sur moi, vit tout de suite que je n'étais plus la même ; elle s'assit à mes côtés en rougissant et moi, appuyant sa tête sur mon coeur, je lui dis avec des larmes dans la voix tout ce que je pensais d'elle, mais avec des expressions si tendres, en lui témoignant une si grande affection que bientôt ses larmes se mêlèrent aux miennes.

Elle convint avec beaucoup d'humilité que tout ce (que) je disais était vrai, me promit de commencer une nouvelle vie et me demanda comme une grâce de l'avertir toujours de ses fautes. Enfin au moment de nous séparer notre affection était devenue toute spirituelle, il n'y avait plus rien d'humain. (Ps 19,15) En nous se réalisait ce passage de l'Ecriture : " Le frère qui est aidé par son frère est comme une ville fortifiée ". (Pr 18,19) Ce que Jésus fit avec son petit pinceau aurait été bientôt effacé s'Il n'avait agi par vous, ma Mère, pour accomplir son oeuvre dans l'âme qu'Il voulait tout à Lui. L'épreuve sembla bien amère à ma pauvre compagne mais votre fermeté triompha et c'est alors que je pus, en essayant de la consoler, expliquer à celle que vous m'aviez donnée pour soeur entre toutes, en quoi consiste le véritable amour. Je lui montrai que c'était elle-même qu'elle aimait et non pas vous, je lui dis comment je vous aimais et les sacrifices que j'avais été obligée de faire au commencement de ma vie religieuse pour ne point m'attacher à vous d'une façon toute matérielle comme le chien qui s'attache à son maître. L'amour se nourrit de sacrifices, plus l'âme se refuse de satisfactions naturelles, plus sa tendresse devient forte et désintéressée. Je me souviens qu'étant postulante, j'avais parfois de si violentes tentations d'entrer chez vous pour me satisfaire, trouver quelques gouttes de joie, que j'étais obligée de passer rapidement devant le dépôt et de me cramponner à la rampe de l'escalier. Il me venait à l'esprit une foule de permissions à demander, enfin, ma Mère bien-aimée, je trouvais mille raisons pour contenter ma nature... Que je suis heureuse maintenant de m'être privée dès le début de ma vie religieuse ! Je jouis déjà de la récompense promise à ceux qui combattent courageusement. Je ne sens plus qu'il soit nécessaire de me refuser toutes les consolations du coeur, car mon âme est affermie par Celui que je voulais aimer uniquement. (Jdt 15,10-11) Je vois avec bonheur qu'en l'aimant, le coeur s'agrandit, qu'il peut donner incomparablement plus de tendresse à ceux qui lui sont chers que s'il s'était concentré dans un amour égoïste et infructueux. (…) »
( Manuscrit C, folio 20 )
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

1 ) DGC ne retiendra probablement pas cette phrase, pourtant significative : « nous entretenir ensemble comme il est dit dans nos saintes constitutions : pour nous enflammer davantage en l'amour de notre époux ».

---> C’est bien là tout ce que peuvent faire saintement deux âmes encore pécheresses sur la terre : tâcher de s’enflammer mutuellement d’amour pour Dieu, mais sans devenir l’une pour l’autre un but auquel s’attacher de manière purement humaine.

2 ) C’est pour dire à quel point Thérèse ne parlait pas ici pour Jésus et Marie, puisque précisément, Jésus était le But ultime pour Marie, qui elle, à son tour était le Paradis terrestre, le repos souverain de Jésus, en tant qu’Immaculée.

---> Leur perfection mutuelle les empêchaient par principe de s’aimer en dehors de Dieu seul, de rester comme cette jeune novice dans des futilités, et ils auraient donc pu faire leur cette parole de Thérèse : « Je ne sens plus qu'il soit nécessaire de me refuser toutes les consolations du coeur, car mon âme est affermie par Celui que je voulais aimer uniquement. » (Jdt 15,10-11)

---> Il n’y a plus de règle pour ceux qui sont Amour, rien qu’Amour. Les règles de discipline sont pour les imparfaits que nous sommes.

3 ) Thérèse parle de son combat violent pour ne pas s’attacher humainement à celle qui tient dans la communauté la place du Christ, et qu’il faut aimer comme telle.

---> Mais si réellement, il n’y avait pas la moindre différence entre le supérieur d’une communauté religieuse et le Verbe Incarné marchant sur terre parmi les hommes, alors : que DGC nous explique pourquoi les moines et les moniales jeûnent, et mènent un genre de vie tout imprégné de pénitence, puisque le Christ Époux serait avec eux ?
« Tant qu’ils ont l’Époux avec eux, ils ne peuvent pas jeûner. Mais des jours viendront où l’Époux leur sera enlevé, alors, ce jours-là, ils jeûneront. » (Marc 2,18-22)

---> Si les consacrés pouvaient imiter en tout point les rapports des disciples et de la sainte Vierge avec le Christ, alors pourquoi DGC n’a pas lui-même un disciple bien-aimé, à qui il accorde de reposer la tête sur sa poitrine durant les repas au réfectoire, au moins le dimanche, à la manière de Jean à la sainte Cène ?

---> La tendresse entre Jésus et Marie fut un signe incarné de ce qu’il est impossible pour nos pauvres humanité de s'accaparer, à savoir le Feu de l’Esprit-Saint, que seuls les saints peuvent connaître par la contemplation amoureuse de Dieu.

---> Il serait aussi vain de prétendre imiter pareille intimité entre les Deux Immaculés, que de prétendre s’emparer du don des miracles, ou de celui d’avoir des apparitions.

---> Deux âmes pécheresses ont besoin nécessairement de règles strictes, pour ne pas tomber dans le péché : alors que Jésus et Marie ne connaissaient aucune limite, ni dans leur affection humaine non sujette au péché, ni dans leur amour spirituel, totalement divinisé.

---> Pour DGC, c'est un flop.

---> Laissons le mot de la fin à Jésus Lui-même :

EMV 45.9 :

« Sais-tu, Maria, ce que tu fais ? Ce que je fais, plutôt, en te dévoilant l’Evangile ? C’est une tentative plus forte pour amener les hommes vers moi. Tu l’as désiré par des prières ardentes. Je ne me borne plus à la parole. Elle les fatigue et les éloigne. C’est un péché, mais c’est comme ça. J’ai recours à la vision, à la vision de mon Evangile et je l’explique pour la rendre plus claire et plus attrayante.

A toi, je donne le réconfort de la vision. A tous, je donne le moyen de désirer me connaître. Et si une fois encore elle ne sert à rien, si, comme des enfants cruels, ils rejettent le don sans en comprendre la valeur, à toi, mon don restera et à eux ira mon indignation. Je pourrai, une fois encore leur faire cet ancien reproche : “ Nous avons joué de la flûte et vous n’avez pas dansé. Nous avons entonné des lamentations et vous n’avez pas pleuré. ”

Mais peu n’importe. Laissons les “ inconvertibles ” accumuler sur leurs têtes des charbons ardents et tournons-nous vers les brebis qui cherchent à connaître le Pasteur. Le Pasteur, c’est Moi et tu es la houlette qui les conduit à moi. »

 

---------------------------------------------------------------------------------

---> Dans le volet suivant, DGC va tenter de nous persuader « qu'il y en aurait trop sur Marie », dans l'EMV, où serait entretenu comme "un climat de légende" : or, comme nous allons le voir à présent, l'oeuvre n'a pas grand chose à voir avec des récits apocryphes – rien, en fait -.

 

Mentions légalesPolitique de confidentialité

© Copyright. Tous droits réservés. 

Nous avons besoin de votre consentement pour charger les traductions

Nous utilisons un service tiers pour traduire le contenu du site web qui peut collecter des données sur votre activité. Veuillez consulter les détails dans la politique de confidentialité et accepter le service pour voir les traductions.