"Si certaines scènes apparaissent plus concrètes, plus touchantes, d’autres laissent dubitatif ; d’autres encore provoquent une gêne ou un malaise qu’un lecteur acquis à l’autorité divine de Maria Valtorta aura probablement du mal à s’avouer."
 

DGC utilise la technique de l’homme de paille. Le lecteur qui ne confesserait pas sa gêne à la lecture de certains passages réprouvés par DGC, serait alors par principe désigné par lui :

- soit comme un sot, quelqu’un de bien peu clairvoyant - et c’est dire là tout l'estime de l'auteur pour des personnalités telles que S.S. Pie XII, ou encore l’éminent mariologue Mgr Roschini, ou le bienheureux Gabrielle Allegra, fervent promoteur de l’EMV et bibliste de renom, et pour tant d'autres éminents promoteurs de l'oeuvre ;

- ou comme une personne sous emprise, dans l'impossibilité de confesser le trouble de sa conscience annihilée.

Dans tous les cas, DGC aura raison par principe, et ses contradicteurs n’auront qu’à se référer aux paroles qui s’écoulent de ses lèvres, sans avoir aucune légitimité pour s’y opposer.

---> Cependant on va voir s’effondrer devant les faits ce montage d'illusionniste, et comprendre que s'il y a ici une ou des personnes sous emprise, ce n'est pas du tout ceux que l'auteur désigne.

---> Je vous propose donc de suivre pas à pas l'article de DGC, et de nous rendre compte que toutes les accusations qu'il porte contre l'œuvre repose en réalité sur sa propre confusion profonde en matière de théologie et de psychologie, son seul et unique but étant de faire passer à tout prix l’œuvre originale de Maria Valtorta pour une sorte de « caricature sectaire d’elle-même », afin de faire illusion auprès des gens faibles et influençables.

 

"Nous avons étudié ailleurs la prétention à l’inspiration divine de "l’Évangile tel qu’il m’a été révélé" et commenté, à titre d’exemple, trois champs d’erreurs doctrinales sur des points majeurs de la foi catholique. Nous voudrions maintenant attirer l’attention sur des aspects psychologiques des personnages de l’Œuvre et de leurs relations, avec certains problèmes spirituels qui en découlent. Ces éléments continuent d’invalider, comme on va le voir, la prétention à l’inspiration divine."
 



On va pouvoir saluer tout l'effort qu'a fait DGC pour prendre des vessies pour des lanternes : son énergie est indéniable, mais tout son travail illusoire s’effondre et se disperse aux quatre vents , tout comme celui de son mentor Joachim Boufflet dont il subit l'emprise.

Car personne ne peut se dresser avec succès contre Dieu : or l’EMV est son Œuvre, nous allons le démontrer.


 

PRINCIPALE VICE, COMMUN À QUASIMENT TOUTES LES CITATIONS DES TROIS ARTICLES DE DGC :
 


Ce vice est que l'auteur croit pouvoir citer l'EMV de la même façon qu'on pourrait citer les quatre Evangiles : 

or c'est impossible, et conduit à une complète confusion du sens.

Exemple :

Lorsque l'on tire des quatre Evangiles une micro citation ( ex : "Je suis le Chemin", ou "Qui sont mes frères ?" ou encore "Va, et toi aussi : fais de même", etc ), le lecteur sait toujours immédiatement de quel passage il s'agit, et n'a pas besoin que l'on contextualise cette citation afin d'éviter un contre-sens : cela vient du caractère compendieux des Evangiles canoniques.

"Je vous laisse la paix" : chacun peut immédiatement savoir qu'il s'agit de l'Evangile de saint Jean ( 14,27 ), et citer de mémoire ce qui précède et ce qui succède à cette Parole du Christ : 

"(...) mais le Défenseur, l’Esprit Saint que le Père enverra en mon nom, lui, vous enseignera tout, et il vous fera souvenir de tout ce que je vous ai dit. Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix ; ce n’est pas à la manière du monde que je vous la donne. Que votre cœur ne soit pas bouleversé ni effrayé.(...)" etc.

---> Même chose ici : "Il s'assit, ses disciples se rassemblèrent autour de lui et il se mit à les enseigner". Tout le monde pense immédiatement au sermon sur la montagne, dans saint Matthieu, chapitre 5.

Versus :

Tout au contraire, voici une micro-citation tirée de l'EMV :
"(...) Le lieu et l'heure sont toujours les mêmes. Il y a encore plus d'affluence. Dans un coin, près d'un sentier, comme s'il voulait entendre sans provoquer l'hostilité de la foule, il y a un romain. (...)"

Qui pourrait spontanément dire d'où provient cette micro-citation dans l'oeuvre ? quel est son contexte, sa cause, son but ? Personne, car l'oeuvre est bien trop longue.

S'il n'est pas précisé que cette micro-citation est en fait tirée de l'épisode du sermon sur la montagne, il serait bien impossible de l'inventer.

Et fort de cette ignorance collective, quelqu'un de mal intentionné pourrait très bien prétendre que Jésus, dans l'épisode inconnu en question, fait en réalité la promotion d'un nouveau savon, ou bien harangue ses électeurs, car Il viendrait à l'instant de créer un nouveau parti démocratique dont Il serait le premier président élu ! ( ou n'importe quoi d'autre, encore plus farfelu : qu'Il prêche la première croisade, ou la désobéissance à César... ).

DGC va ainsi créer une multitudes inouïe de quiproquos en tout genre, en privant de minuscules citations de leur contexte, déchiquetant certains passages en autant de confettis, afin de créer de toute pièce des pseudo problèmes qui s'effondreront l'un après l'autre, grâce à la lecture intégrale du texte original de l'oeuvre, rétablissant la vérité.

"Mais à quoi joue-t-il ?" serait-on en droit de se demander... C'est ce à quoi nous allons répondre au cours de ce travail de réfutation.

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